DZIEŁA - Cyfrowa Biblioteka Narodowa Polona
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*jlo Dokumenta. — V.<br />
tions, et que le Saxe et la Pologne ne pourraient qu'y gagner.<br />
Un second avantage, c'est que le nouveau souverain ne pourrait<br />
pas prendre pour la France le même intérêt que Léopold;<br />
qu'un neveu ne pourrait en politique prendre la même part<br />
qu'un frère aurait prise pour la politique de sa soeur, et qu'il<br />
regarderait les affaires de la France comme intimement liées<br />
à celles de la Pologne; puisque, si l'Empereur et le roi de<br />
Prusse marchaient contre la France, il est très-sûr que les<br />
Russes entreraient en Pologne, et que les <strong>Polona</strong>is non secourus<br />
par aucun voisin ne pourraient que devenir leur proie;<br />
enfin que la machine de Vienne était montée de telle manière,<br />
que la perte de Kaunitz est la seule qui pourrait produire<br />
un grand mal, mais que l'Empereur ne meurt jamais».<br />
Potem dały się słyszeć inne opinie, z których można wyciągnąć<br />
następną konkluzyą: que cette alliance entre l'Autriche et la<br />
Prusse est principalement dirigée contre la Russie, et qu'on<br />
veut se servir de la Pologne comme d'une barrière. Zapalczywość<br />
ich doszła do tego, źe jeden z rozprawiających powiedział:<br />
«Je ne conseille pas aux Russes de nous déclarer la<br />
guerre. Nous ferions à leur pays mille fois plus de mal qu'ils<br />
ne nous en ont fait dans le nôtre. Nous avons des moyens<br />
pour les rendre ennemis les uns des autres, et les circonstances<br />
du moment prêteraient beaucoup pour leur exécution».<br />
2j lutego fj marca .<br />
W klubie ciągną się rozprawy nad środkami uwolnienia<br />
włościan. Mazzei napisał w téj materyi rozprawę. Wedle ich<br />
zdania sprawa ta winna być natychmiast przedstawioną Sejmowi<br />
i skończoną w jednym dniu.<br />
Przed niejakim czasem mówiono tu, źe elektor ofiarował<br />
Polsce 30.000 rusznic, teraz zaś chodzi wieść, iż broń ta tajną<br />
drogą już sprowadzoną została, i tu się znajduje; żadne jednak<br />
poszukiwania dowodu na to nie dostarczyły.<br />
Niezależnie od przeszkód, jakie sąsiednie mocarstwa stawią<br />
w przyjęciu polskiej korony przez elektora, on sam jeszcze<br />
Dziennik Bułhakowa. 319<br />
wyszukuje powodów do odmówienia jéj ; znajduje on, iż władza<br />
królewska zbyt została ścieśnioną przez konstytucyę 3go<br />
m ąja, i różne w téj mierze czyni uwagi; to spowodowało marszałka<br />
Potockiego do odezwania się w następujący sposób;<br />
«Si nous avions pu prévoir comment la journée du 3 mai se<br />
terminerait, nous aurions été bien plus loin, et aurions changé<br />
le chapitre du roi du tout en tout, car les <strong>Polona</strong>is veulent<br />
être menés....» Oto plan ich, za pomocą którego myślą pozyskać<br />
dla króla nieograniczoną władzę. «Le roi devrait aller<br />
avec son habit de couronnement, son sceptre, sa couronne et<br />
toute la pompe de la majesté royale, dans l'église de Sainte-<br />
Croix, où il devrait y avoir un Te Deuni pour remercier le<br />
Roi des rois de ce qu'il a bien voulu donner aux <strong>Polona</strong>is un<br />
prince qui les a tirés de l'opprobre, qui a été la terreur de<br />
leurs ennemis et le régénérateur de leurs droits. Après le Te<br />
Deum, le roi, sur son trône, environné de toutes les marques<br />
extérieures de sa dignité, devrait recevoir l'hommage des remercîments,<br />
de la reconnaissance de tous les députés des palatinats,<br />
puis les députés des villes et des différents ordres.<br />
Cette cérémonie faite, le roi devrait faire un discours où il<br />
devrait établir que l'assentiment général, les voeux de la nation<br />
sur la succesion ayant été manifestés d'une manière si<br />
positive, il était nécessaire de renouveler à la face des autels<br />
le serment d'être fidèle au roi et de maintenir la constitution.<br />
Il devrait ajouter que pour le bien de la patrie, pour empêcher<br />
les manoeuvres des mécontents et des ennemis, il croyait devoir<br />
se mettre à la tête de sa nation, et que l'autorité qu'elle<br />
lui confierait ne serait employée que pour accélérer l'ouvrage<br />
de sa félicité. La pompe de ce jour, l'appareil de la cérémonie,<br />
la grande majorité des amis du roi, toutes les troupes qui<br />
seront sur pied, ne peuvent que faciliter le succès, les circonstances<br />
semblent le promettre. La facilité est démontrée, les<br />
suites sont calculées, car les puissances voisines, qui seules<br />
pouvaient en arrêter l'effet, ont déjà des motifs de mécontentement<br />
assez plausibles pour déclarer la guerre, si elles ont