DZIEŁA - Cyfrowa Biblioteka Narodowa Polona

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Doknmenta. y.
qu'il engage vivement l'Électeur à accéder au traité entre
l'Autriche et la Prusse».
List ten nie był podpisany, więc niepodobna było tu dojść
jego autora; lecz jeżeli Schónfeld, minister saski w Wiedniu
jeszcze dotąd w Dreźnie bawi, to prawdopodobnie, będzie to
list od niego, pismo bowiem było do ręki jego podobne.
Sj/c kwietnia.
Posądzają tu ogólnie Lucchesiniego, iż poduszczał do wprowadzenia
w wykonanie prawa uchwalonego 16, pod nazwą:
Gotowość do obrony, jakkolwiek stara on się przekonywać, źe
tak nie było. Gdy go zapytano, dlaczego temu nie przeszkodził,
odpowiedział: «Je ne devais pas l'empêcher, car j'étais censé
n'en rien savoir; en outre, j'ai toujours évité d'entrer dans des
explications formelles sur cette affaire. J'ai dit au roi que je
ferais mon rapport à ma cour, mais que je ne pourrais pas lui
répondre comment on trouverait cela. On voulait aussi faire
une milice: je les en ai adroitement dissuadés, et Chreptowicz
m'en a remercié. Le roi veut avoir Kalkreuter et lui offre
12,000 ducats; je ne me mêlerais pas encore de tout cela,
mais si j'étais roi de Prusse, je congédierais aussitôt Kalkreuter,
lequel a eu le peu de délicatesse, étant ici, de marchander
pour quitter le service de Prusse. J'ignore s'ils l'auront ou
non, mais je puis vous assurer que dans deux ans il brouillerait
toute l'armée. Aussi sur les 20,000 fusils, qu'ils veulent
avoir, j'ai répondu que ce contrat avait été fait par Herrzberg
et que le Roi avait oublié apparemment de me répondre;
qu'en outre, peut-être il en aura besoin lui-même pour les
affaires de France. Essen n'est pas content de l'explication
donnée aux dix points de la note par le prince général.
A Dresde il y a deux partis, l'un pour l'acceptation de la couronne,
l'autre contre. Quoique la cour de Prusse ne veuille pas se
mêler des affaires intérieures de la Pologne, cependant tous ces
préparatifs de guerre ne lui plairont point, pouvant allumer la
Dziennik Bułhakowa. 353
guerre dans le Nord». Na zapytanie co do Sejmu, odpowiedział
on pod wielkim sekretem: «La Diète et les mêmes nonces
seront prolongées; mais pour tranquilliser la nation, on
a trouvé l'expédient de déclarer que la Diète ne sera plus législative,
mais seulement une diète de vigilance, pour aider en
cas de besoin le pouvoir exécutif».
Dwulicowość Lucchesiniego nie podlega najmniejszej wątpliwości.
Pochlebia wszystkim stronnictwom i z kolei każde
oszukuje. Pan Essen, który miał z nim stosunki, powiadał
Wczoraj: «Qu'il ne croyait pas que Lucchesini eût osé donner
la moindre assurance officielle sur quelque assistance de la
part de sa cour pour le soutien de l'ouvrage des enragés d'ici,
que, bien au contraire, il savait à n'en pas douter, que la jour
même, après la séance de lundi (5/12), le maréchal Małachowski
s'étant rendu chez Lucchesini pour lui en annoncer
lui-même le succès, et en même temps en tirer une sorte
d'aveu ou d'approbation, il en avait eu une réponse qu'il se
gardera bien de communiquer à la Diète. Qu'il savait bien
que ce Protée jouait le rôle d'un double agent, l'un pour luimême,
envers les personnages d'ici pris séparément, pour se
soutenir personnellement lui même, et pour soutenir l'autel
qu'il avait érigé contre celui de la Russie; et l'autre en sa
qualité d'agent d'un pays dont les intérêts étaient absolument
incompatibles avec la consolidation des opérations de
ces faiseurs d'ici. Que lui, Essen, avait chauffé si fort les fours
sur les suites qui pourraient résulter, pour son pays, de l'idée
polonaise de la négociation armée, énoncée dans la « Gotozvosc'
do obrony*, synonyme d'un «Pospolite ruszenie», które teraz
zawisło od króla, que Lucchesini en était convenu en pâlissant
et l'assurant bien fortement qu'il en écrira à sa cour,
pour y mettre la holà, et que d'ailleurs le corps de 18,000
hommes dans la Prusse occidentale avait été remis sur le pied
de guerre et qu'on pourrait l'augmenter au besoin».
Pan Essen zapytany, co go mogło spowodować do wysłania
sztafety do Drezna z wiadomością o tern co tu w po-
Ks Walerjan Kalinka T. II. 23