La Femme De Papier

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— La chatte… — Oui, moi aussi, et puis encore ? — La foufre, la moule, la tchoune, la chcrame… — Oui, mais ça, ça, comment tu l’appelles ? — Le con… — Pas le con, ça, regarde de plus près. Tu vois, ça bande aussi, touche, touche-le, passe ton doigt, tu sens ? C’est le clitoris, le clito. Dis bonjour au monsieur, Clito, c’est Djamel. Je ne sais pas si Djamel a déjà vu un clitoris bander dans sa vie, tu sais… Hein, Djamel, tu as déjà observé ça de tout près ? - … J’ai vu des photos… — Des photos, mais une vraie femme ? — Non, jamais. — Jamais fait l’amour ? — Si, un peu… — Comment, un peu ? — Deux ou trois filles… — Deux, ou trois ? — Deux, vite fait, dans la cave, le soir… — Ah ! Bien sûr, la cave, ce n’est pas l’endroit rêvé pour traquer les clitos !… Et c’était bien avec ces filles ? — Heu… Non, pas très… — Pas très pour elles ou pour toi ? — Pour moi. — Et pour elles ? — Je sais pas… — Tu leur as pas demandé ?
— Non. — Bon, alors aujourd’hui, Djamel, on recommence tout, comme s’il n’y avait jamais eu de filles, jamais de photo, jamais de cave ? D’ac ? Je te montre tout, je te dis tout, et toi aussi, tu me dis tout, absolument tout ce que tu penses, tout ce que tu ressens… — C’est pour l’écrire ? — Oui, si tu veux, c’est pour l’écrire, et puis c’est aussi pour toi, et pour toutes les prochaines filles, plus tard, peut-être ailleurs que dans la cave… D’abord, viens, viens sur le lit avec moi. Installe-toi. Je vais te caresser parce que j’en ai envie, parce que c’est normal, parce qu’il faut se caresser. Avec le bout des doigts. Ferme les yeux, abandonne-toi bien… Je me promène sur toi. Là, sur tes bras, sous tes bras, ne bouge pas, ne te crispe pas, ça ne chatouillera plus si tu te détends. Sur les côtés du ventre. C’est bon, hein ? Ça te fait creuser l’estomac… Là, sur les poils. Tu as un buisson épais, j’adore gratouiller dedans. Ah ! Voilà ta queue qui veut m’empêcher. Elle est jolie, cette queue. Tu sais que je n’avais jamais vu une queue aussi brune ? Sous les couilles, du bout des doigts… Dismoi, tu aimes mes doigts sous tes couilles ? — Oui, j’aime bien, ça me fait bander. — C’est bien, laisse-toi bander. Je vais te faire grossir encore plus. Tu aimerais si je te prenais dans ma bouche ? — Oui. — Je vais le faire, mais il faut que tu parles, que tu m’encourages, que tu m’expliques ce que ça te fait… » …
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FRANÇOISE REY L A F E M P A P I E
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DU MÊME AUTEUR CHEZ POCKET LA RENC
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AVERTISSEMENT AU LECTEUR Lecteur, I
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CHAPITRE PREMIER J’étais en ce t
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même pas !… Je crois bien que j
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trop te gêner, cependant, tu joues
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outons, les fermetures éclair, d
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Je pousse à ta rencontre, et j’a
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demandais si j’aurais la force de
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s’est émue. J’ai voulu la char
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queue végétale : une formidable r
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qu’elle n’eut jamais l’audace
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Mes doigts s’amusaient dans leur
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dans mon con que le bout de ta bite
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CHAPITRE IV C’est tout de suite a
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passionnée, plus directive. Pourta
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éclairaient d’une note vive le b
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quelques mouvements rapides et vert
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de prendre pour une reddition. J’
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CHAPITRE V Tu avais été souvent b
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corps, mon domaine. Je cours sur to
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Dans l’épaisseur de cette nuit o
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J’ai cherché très brutalement t
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peux pas la voir, il fait noir. Tu
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CHAPITRE VI Tu m’avais promis, po
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venir au monde millimètre carré p
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était en train de faire l’amour,
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virent triton, sirène, peut-être
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CHAPITRE VII J’ai revu l’autre
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laquelle j’avais envie de me lais
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chacun. Le partage était d’avanc
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qu’ils viennent ensemble et que l
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notre trio se dirigea tranquillemen
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sexe d’homme, bien dressé, bien
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ôdé la cadence, et vous, attentif
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Je me sentais toujours doublement c
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plaisir. Mais vous m’avez rejoint
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ornière jusqu’à mon cul. J’é
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celui que j’ai décidé de suivre
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parce que différents. Déshabillez
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me donnes à lui et où il va me pr
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aussi mon sang-froid à cette minut
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médecin, et cette idée, qui avait
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À l’intérieur de mes cuisses, t
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la chatte encore plus douloureuse q
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tu venais de placer. L’un d’eux
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moi, tellement les effleurements du
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CHAPITRE IX J’effeuille avec déc
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des deux créatures géantes qui s
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intéressé, presque incrédule, m
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quand ? » t’entends-je penser et
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j’arrive à sa chatte encore reco
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laisser le temps de prendre l’ins
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ont fourragé dans l’échancrure
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Retourne-toi ! », la terreur me ga
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dans la culotte à te faire gougnot
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l’arracher des rognons, te sonder
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longtemps convoité, le triomphe de
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ÉPILOGUE Il serait malhonnête de
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dans sa petite tête et voyait le m
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lubriques qui les jaunissaient. Mai
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Oh ! Ce qu’il dit ! Ce qu’il di
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ventre, tu vas me faire partir trè
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manche, la position toute particuli
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cette entremetteuse redoutable. Tu
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de cœur, de celles dont on croit v
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