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peur, ça mord pas. Mets un doigt. Non, pas tout de suite,<br />
mouille-le d’abord. Oui, mouille-le là… Mets-le<br />
maintenant. Tu leur feras ça aussi, aux filles de la cave.<br />
Mais en douceur, toujours délicatement. Tu leur feras ?<br />
— Oui.<br />
— Répète tout, tout ce que tu leur feras…<br />
— Je les ferai bander, bander et juter. Bander les seins,<br />
le clito. Couler la chatte. Je leur mettrai un doigt dans le<br />
cul, très cool… Je le mouille d’abord avec du jus de chatte,<br />
et je le mets doucement…<br />
— Très bien. Très, très bien. Parfait. Et tu les laisses<br />
cavaler sur toi, et tu respires pour les attendre.<br />
— Je respire pour les attendre…<br />
— En bougeant ton doigt…<br />
— En bougeant mon doigt…<br />
— Tu les laisses se frotter à ton nœud aussi longtemps<br />
qu’elles ont envie… Monter, descendre, le bouffer aussi<br />
longtemps qu’elles ont envie…<br />
— Aussi longtemps que je peux, quoi !<br />
— C’est bientôt, bientôt fini, Djamel, Chéri, Petit<br />
prince, tu as la queue la plus douce, la plus douce que j’ai<br />
jamais vue… C’est bientôt là, bientôt là, enlève pas ton<br />
doigt, c’est trop chouette, c’est là, laisse partir, laisse<br />
partir et raconte, dis-moi tout, tout !…<br />
— Moi aussi ! Moi aussi !… Mais comment tu<br />
t’appelles ? Comment tu t’appelles ?… »<br />
<strong>La</strong> joie lui a fait redresser la tête vers moi ; il m’a<br />
regardée une seconde avec des yeux fous, un air égaré et<br />
ravi, désolé aussi parce que son premier vrai plaisir
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