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sentir la douceur de ses seins sur la face interne de mes<br />
cuisses et dans l’ouverture de ma fente. Je me suis mise à<br />
la désirer follement ; j’aurais voulu qu’elle me fasse<br />
l’amour avec sa poitrine, ses mamelons devenaient de<br />
plus en plus persuasifs. Elle savait en diriger, d’une main<br />
audacieuse, la pointe sur mon bouton et ce délicieux<br />
frottement me procurait de véritables décharges<br />
électriques…<br />
Elle m’a dit : « Regarde comme je bande ! » et c’était<br />
vrai, ses seins s’étaient allongés, les bouts avaient grossi<br />
et durci, on aurait dit des doigts pointés vers moi. J’étais<br />
stupéfaite, angoissée, troublée. Elle m’a forcée à me<br />
coucher par terre, s’est mise à genoux, a tiré mes jambes<br />
à elle, a installé mes fesses sur ses cuisses imposantes,<br />
m’a écartée. « Ouvre bien ta chatte, m’a-t-elle<br />
recommandé, je vais t’en mettre un… » Et elle l’a fait !…<br />
J’ai senti d’abord le mamelon, long et dur, qui s’appuyait<br />
sur mon con et l’enfilait, et puis je me suis ouverte,<br />
ouverte, et son sein est entré en moi jusqu’à la base.<br />
L’écartèlement m’était plus voluptueux que douloureux,<br />
j’étais envahie, comblée, bouchée à fond.<br />
« Allez, tète ! a-t-elle ordonné. Comme lorsque tu étais<br />
petite, tu aimais ça, hein, téter les nichons de ta maman ?<br />
Allez, tu es toute petite, bois ! » Alors, j’ai bu. J’avais une<br />
véritable bouche entre les cuisses, et je la pompais. Elle<br />
coulait, d’un liquide très épais, et je ne m’étonnais même<br />
pas de ce prodige qui faisait que j’en percevais le goût.<br />
C’était douceâtre, sucré, et ça avait l’air intarissable.<br />
Parfois – je n’arrivais pas à avaler assez vite, et le flot me<br />
submergeait, me noyait le con, dégoulinait dans mon