La Femme De Papier

le cul, et tu n’en peux plus. Sens-moi bien, profites-en
bien, tu es le pédé le plus bandant du monde et je n’ai
vécu jusqu’à ce jour que pour t’enculer. Maintenant que
tu l’as avalée, je vais empoigner ton gros dard et le
secouer, le faire coulisser jusqu’à ce que tu lâches tout…
Non, je ne peux pas retirer la bite de ton cul, même si tu
supplies, parce que je te l’ai enfilée entièrement. Je ne la
tiens plus, elle a disparu dans ton cul, et si tu veux t’en
débarrasser, il faut le faire tout seul, il faut la pousser hors
de toi… Et ce ne sera pas facile, parce que sa forme est
étudiée pour entrer par un bout, et pas pour ressortir par
l’autre… Débrouille-toi, ça ne me regarde plus, je ne
m’acharne plus qu’à branler cette énorme pine juteuse et
apoplectique. Pousse pendant que je te brosse, pousse-la
hors de toi, chie-la tout seul, tes efforts ont quelque chose
de désespéré, d’atroce et de sublime. Tu vas jouir en
chiant un monstrueux gode de plastique, et je vais
allumer la lumière, parce que, rien qu’à guetter son
apparition entre tes fesses, je me sens défaillir de plaisir,
et parce que je veux ajouter à ton calvaire le supplice
d’être vu ainsi, en pleine honte, écartelé entre la
jouissance et la souffrance, écartelé par des cordes que tu
as approuvées, par un accouchement étrangement
obscène, par une créature mi-femme, mi-homme qui
t’astique le manche avec frénésie et qui savoure sa
vengeance, écartelé entre ton plaisir d’homme, qui vient à
grands jets, et ton plaisir d’animal enfin délivré dans le
sang et la merde…
As-tu compris, cette fois-là, à ma docile cruauté et à
mes exigences éhontées, à quel point je tenais à toi ?