Histoire_des_vierges_les_peuples_[...]Jacolliot_Louis_bpt6k96754219

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diatement être transporté dans un des grands maraës consacres au Dieu suprême Oro. Les maraës acquéraient aussi une grande importance par leur antiquité. Ainsi tous les grands maraës royaux reconnaissaient au maraë royal d'Opoa, à Raïatea, l'île sainte, une suprématie sur euxmêmes, et ils le lui exprimaient par un tribut de victimes humaines. Ils devaient lui envoyer un certain nombre de cadavres par an, et ce n'était que le surplus de ce nombre qu'ils avaient le droit de conserver. L'ossuaire d'Opoa était énorme. Il y avait aussi une pratique singulière, dont on retrouve des exemples dans l'Inde primitive. Lorsqu'un grand chef, ou un guerrier d'une bravoure éprouvée, venait à mourir, on ne l'enterrait pas comme les autres. Le grand maraë le plus voisin réclamait sa dépouille mortelle, ce qui était un grand honneur pour.la famille. Le corps était alors hissé au sommet d'un des arbres du bois sacré qui entourait l'enceinte du temple, et il restait là jusqu'à ce que le travail de la décomposition l'eût fait disparaître en entier. L'opération était lente par les temps de sécheresse, et il n'était pas rare que le bocage d'un grand maraë comptât parfois jusqu'à quinze ou vingt de ces funèbres ornements. Les prières finies, le grand prêtre psalmodiait un chant monotone et grave, auquel répondaient les chanteurs et une partie de la foule. Cet hymne était toujours un récit des innombrables exploits d'Oro, le dieu créateur. Les louanges des dieux inférieurs étaient abandonnées aux prêtres subalternes. Alors un des oreros ou rapsodes s'avançait sur le devant de l'autel, et jusqu'à une heure avancée de la nuit, souventmême jusqu'aux premiers rayons du soleil levant, il racontait, sans
que son débit se ralentît et sans la moindre hésitation, l'histoire des dieux et de la création. Dès que l'orero avait fini son récit, la cérémonie était terminée, les gardiens rentraient l'idole, les cadavres des victimes étaient jetés au charnier, et chacun rentrait dans son village, emportant ses dieux pénates qu'il avait apportés avec lui au sacrifice,attendant un nouvel appel des coureurs sacrés pour se rendre de nouveau au maraë principal.
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Louis Jacolliot. Histoire des vierg
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HISTOIRE DES VIERGES
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LOUIS JACOLLIOT. HISTOIRE DES PARIS
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Combien de théories présentées d
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des sauvages de l'Amérique du Sud,
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une profonde admiration. Mais je do
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PREMIÈRE PARTIE LES GENÈSES DE L'
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éalité géographique, et de cherc
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plus arbitraire qu'on ne croirait d
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lisation antéhistorique. Quant au
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CHAPITRE l1l. LES RUINES D'ELLORA D
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CHAPITRE IV. LA GENÈSE DE TOUS LES
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organes des sens, qui est sansparti
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« Le soleil établit la division d
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pour qualité la saveur : de l'eau
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la terre, reçoit les noms d'Agni,
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on n'a encore retrouvé que des fra
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Lorsque Nari, le principe mère, di
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ces nombreuses tribus de divinités
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de la même manière. Les prophéte
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actions hu- Dans la quatrième, il
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Christna est en même temps le pivo
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l'intérieur, lorsque ces derniers
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CHAPITRE VII. FAKIRS ET BAYADÈRES.
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attributs de la virilité, ou bien
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ses ministres. Ils marmottent des p
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peut, moyennant une somme d'argent
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plies par des jeunes filles vierges
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On tient beaucoup aux choses dont o
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Ces quatre solennités ont lieu en
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adorateurs des morsures des serpent
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qu'il avait fondées dans le but d'
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quoi on répond : — Nous avons tr
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Nous savons, du reste, aujourd'hui
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qui travaillèrent à l'édificatio
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5° Le Madou-parka ; le prêtre con
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pagnait quel était l'usage de ce m
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endez-vous de tous les esprits erra
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ils voilent, cependant tout ce qui
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forme d'un chien, d'un tigre, ou de
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Mais ceux dont l'effet est décisif
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plus habiles que lui ne parviennent
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s'imaginent à chaque acte de leur
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sacrés, parfois même sur les cham
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Ces idées sur les influences visue
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humbles de la sélection naturelle,
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Lorsque les Indous apprennent, soit
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L'âne de la sobriété, etc... Com
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au front, une figure aux yeux écar
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superstitions dans un esprit de cas
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CHAPITRE XII. DES PLANTES SACRÉES.
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CHAPITRE Xlii. ARASSA-MARAM. (L'arb
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« Mais quant au fruit de l'arbre q
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science officielle, celle qui élè
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CHAPITRE XV. TRADITIONS CIVILES. LE
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tout et pour la plus grande partie
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« Le brahme ne peut rendre de sent
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« On ne doit admettre comme témoi
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Liaux; comme s'il en avait tué dix
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sage, les pagodes consacrées aux d
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(cCelui qui enlève des jeunes gens
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Ammon, — le Père. Mouth,-la Mèr
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CHAPITRE XVII. LE PANTHÉON ÉGYPTI
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Le rôle que jouent les animaux dan
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CHAPITRE XVIII. GENÈSE HÉBRAÏQUE
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* La terre donc produisit de l'herb
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domestiques, et sur la terre et sur
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nitaire, et n'avons nulle envie de
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Toute la révélation juive et chr
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n'est au delà du Jourdain vevs le
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Quel est donc son auteur ? A la Bib
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Allez consulter l'Éternel « pour
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« Adoration à Nari, la mèr(dn mo
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dans cette admirable statue. Déjà
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CHAPITRE II. MOUTH-ISIS. LA VIERGE
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Mouth, ainsi que le prouve le nom d
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CHAPITRE III. ASTAROTH ! . IA VIERG
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La Bible elle-même va nous fournir
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CHAPITRE IV. ASTARTÉ OU HASCHTORET
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CHAPITRE V. APHRODITE-ANADYOMÈNE.
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CHAPITRE VI. VESTA. LA VIERGE CRÉA
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CHAPITRE VII. LUONNOTAR. LA VIERGE
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(c Et il pensa dans son esprit, il
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CHAPITRE VIII. HERTA. LA DÉESSE DE
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Les druides reconnaissaient un dieu
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CHAPITRE X. INA. LA VIERGE MÈRE OC
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CHAPITRE XI. IZA. LA VIERGE JAPONAI
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éformes sociales et religieuses de
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Iza-nagi s'unissant ensuite à Jza-
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Nari, Mouth, Isis, Ina, Luonnotar,
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PREMIÈRE PARTIE. LES GENÈSES DE L
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CHAPITRE XXIX. Les this 278 CHAPITR
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