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CHAPITRE PREMIER.<br />

LES CHEVAUX SUÉDOIS ET NORVÉGIENS.<br />

Le chiffre de la population chevaline de la presqu'île<br />

Scandinave en 1890 était de 638,302, dont 487,429 appartenaient<br />

à la Suède et 150,873 à la Norvège.<br />

Par la grandeur de leur taille, par leur conformation robuste<br />

et trapue, leur résistance, leurs allures sûres et leur tempérament<br />

docile, les chevaux des deux pays se ressemblent<br />

entre eux et rappellent beaucoup nos chevaux finois (voir<br />

page 77, figure 28 et planche XIX); élevés, comme ces<br />

derniers, au milieu des montagnes, ils sont aussi bons pour<br />

tous les usages, mais surtout pour le harnais. De même que<br />

parmi nos finois, on trouve parmi eux de très bons trotteurs.<br />

Ils se rapprochent aussi de nos finois par les couleurs de<br />

leur robe, ordinairement claires : bai clair, alezan, souris ou<br />

isabelle, souvent avec la raie cle mulet; rarement gris.<br />

Sans doute il y a des différences entre les chevaux de la<br />

Suède, de la Norvège et de la Finlande, et même dans chacun<br />

de ces pays les chevaux de montagnes diffèrent de ceux<br />

de plaines, ces derniers étant ordinairement moins secs et<br />

plus grands de taille que les premiers, mais le type général<br />

est le même dans tous.

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