Deutsch - Krebsliga Schweiz

Psychosoziale Forschung
Präsentation der bewilligten Forschungsprojekte 2011
Texte in Originalsprache
Ballmer Peter E. | Einfluss von Ernährung und
Bewegung auf die Lebensqualität von Tumorpatienten
(KFS 02833­08­2011)
Influence of a combined intervention by nutritional
support and physical exercise on quality of life
in cancer out-patients treated in palliative intention
Laufzeit: 02. 01. 2012 – 01. 01. 2015
Menschen, die an Krebs erkrankt sind, leiden häufig unter
Appetitlosigkeit und Müdigkeit. Bei 40 bis 80 % der Patientinnen
und Patienten führen diese Symptome zusammen
mit der Grunderkrankung zu Gewichtsverlust,
Muskelschwund und einer verminderten Lebensqualität.
Ausserdem treten vermehrt Nebenwirkungen der medizinischen
Behandlung auf. Möglicherweise kann diesen
Symptomen durch den frühzeitigen Einsatz von Ernährungsberatung
und Bewegungstherapie vorgebeugt werden.
Deshalb wollen wir in dieser prospektiven randomisierten
Studie die Wirkung einer kombinierten
Ernährungs­ und Bewegungsintervention untersuchen.
Die Patienten werden von einer Ernährungsberaterin
betreut und nehmen regelmässig an einem speziell ausgearbeiteten
Trainingsprogramm unter der Leitung eines
Physio therapeuten teil. Wir hoffen, dadurch die Leistungsfähigkeit,
den Ernährungszustand und die Lebensqualität
von tumorkranken Menschen verbessern zu können.
Projektverantwortlicher
Prof. Dr. med. Peter E. Ballmer
Klinik für Innere Medizin
Departement Medizin
Kantonsspital Winterthur
Postfach 834
CH­8401 Winterthur
Tel. +41 (0)52 266 23 01
peter.ballmer@ksw.ch
Berney Alexandre | Enseignement aux étudiants
en médecine centré sur l’annonce de diagnostic
en oncologie (KFS 02776­02­2011)
Pregraduate training for medical students on breaking
bad news in oncology
Durée: 01. 08. 2011– 01. 08. 2013
L’annonce d’un diagnostic de cancer ou d’un traitement
lourd est une tâche quotidienne en oncologie. La manière
dont cette tâche est accomplie a un impact important sur
le patient et sur le médecin. La plupart des médecins rapportent
un manque de formation dans ce domaine. L’enseignement
pré­gradué pourrait contribuer de façon importante
à améliorer cette situation. Un tel enseignement
permet d’aborder des thématiques essentielles telles que
la transmission d’informations médicales complexes (diagnostic
et thérapie), ainsi que la gestion de la charge
émotionnelle associée. Notre étude vise à évaluer l’impact
d’un enseignement dans lequel chaque étudiant en médecine
pourra exercer son aptitude à annoncer un diagnostic
oncologique lors de plusieurs rencontres avec un
patient simulé, les entretiens étant filmés et supervisés.
S’il s’avère efficace, cet enseignement sera inclus dans le
curriculum des études de médecine avec l’espoir que cela
contribuera à améliorer les soins aux patients.
Responsable de l’étude
PD Dr Alexandre Berney
Service de psychiatrie de liaison (PLI)
Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV)
44, rue du Bugnon
CH­1011 Lausanne
Tél. +41 (0)21 314 11 91
alexandre.berney@chuv.ch
Burton­Jeangros Claudine | Le point de vue
des femmes sur le cancer du col de l’utérus
et son dépistage (KFS 02816­08­2011)
Women’s views on cervical cancer screening.
A qualitative study of barriers to screening and
HPV self-sampling acceptability
Durée: 01. 02. 2012 – 31. 01. 2013
Il est estimé qu’en Suisse 30 à 40 % des femmes ne participent
pas au dépistage du cancer du col de l’utérus. Les
études de sciences sociales ont identifié différents obstacles,
dont notamment des barrières liées à l’information,
des barrières émotionnelles (embarras, inconfort) et des
barrières pratiques (accès, interactions avec les professionnels
de la santé). Il est supposé que les stratégies
d’auto­prélèvement HPV pourraient réduire certaines de
ces barrières. Cette étude vise à décrire les attitudes des
femmes face au dépistage du cancer du col de l’utérus,
mesurer les différents obstacles limitant leur participation
au dépistage et évaluer les bénéfices et désavantages de
l’auto­prélèvement HPV. Les résultats seront issus d’une
vingtaine d’entretiens collectifs – représentant 100 à 120
femmes – menés à Genève. Ces résultats aideront à formuler
des recommandations relatives à l’organisation du
dépistage.
Responsable de l’étude
Prof. Dr Claudine Burton­Jeangros
Département de sociologie
Université de Genève
40, bd du Pont d’Arve (bureau 4210)
CH­1211 Genève 4
Tél. +41 (0)22 379 83 02
claudine.jeangros@unige.ch
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