these approches numeriques pour la simulation du bruit a large ...
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Méthodes numériques 75<br />
ψij = qiqj<br />
ρ + ρVSiVSj + qiVSj + qjVSi +<br />
�<br />
Cp ρ − 1<br />
−<br />
2 M 2 �<br />
δij<br />
ref<br />
qn = qiˆni, λM = λiMi, λr = λiˆri, χr = χiˆri<br />
ψMM = ψijMiMj, ψMr = ψijMiˆrj, ψMr ˙ = ψij ˙ Miˆrj, ψrr = ψij ˆriˆrj<br />
˙ψMr = ˙ ψijMiˆrj, ˙ ψrr = ˙ ψijˆriˆrj, ¨ ψrr = ¨ ψij ˆriˆrj<br />
(λi et χi sont les termes sources <strong>du</strong> <strong>bruit</strong> de charge et ψij correspond au <strong>bruit</strong> qua-<br />
drupo<strong>la</strong>ire)<br />
L’utilisation de grandeurs adimensionnées dans les équations précédentes per-<br />
met un recentrage des grandeurs numériques manipulées et une cohérence avec ce<br />
qui est généralement utilisé dans les codes aérodynamiques (en particulier, Proust).<br />
De même, on suppose que le calcul est effectué dans le référenciel lié à <strong>la</strong> surface, ce<br />
qui est aussi fréquent dans les codes aérodynamiques.<br />
Par ailleurs, on notera que <strong>la</strong> contribution de l’énergie cinétique turbulente k issue<br />
des calculs RANS est prise en compte dans <strong>la</strong> pression:<br />
Cp = 2 {(γ − 1) [ρet − ˘qi.˘qi/(2ρ) − k] − p0/2}<br />
Dans ce cas, ˘qi correspond à <strong>la</strong> grandeur qi résolue par le calcul RANS (i.e. compo-<br />
sante moyenne + fluctuations déterministes).<br />
Enfin, le code Advantia, bien que basé sur une solution en temps retardé, est<br />
imp<strong>la</strong>nté selon une procé<strong>du</strong>re en temps avancé [17]. Ce<strong>la</strong> signifie que le calcul acous-<br />
tique progresse avec le calcul aérodynamique, calcule les contributions acoustiques<br />
ultérieures (intégrandes des eq. (2.24) à (2.26)) en fonction de l’instant d’émission<br />
considéré, et les stocke. A <strong>la</strong> fin des itérations aérodynamiques, les contributions aux<br />
instants acoustiques choisis sont regroupées afin de construire le signal.<br />
Les interpo<strong>la</strong>tions temporelles sont effectuées au point d’écoute, et <strong>la</strong> précision, gou-<br />
vernée par le critère de Shannon, est beaucoup moins sévère que celle requise aux<br />
points sources. Ainsi, l’interpo<strong>la</strong>tion est moins sujette aux erreurs et donc moins<br />
coûteuse que <strong>pour</strong> l’approche c<strong>la</strong>ssique en temps retardé.<br />
De plus, cette procé<strong>du</strong>re a <strong>pour</strong> avantage de permettre le calcul acoustique en pa-<br />
rallèle avec le calcul aérodynamique, le calcul acoustique étant généralement moins<br />
coûteux. Le stockage en mémoire est alors ré<strong>du</strong>it car il est inutile de sauvegarder<br />
le champ aérodynamique tridimensionnel, il suffit de stocker les intégrandes des<br />
équations.<br />
Enfin, le temps avancé est toujours une fonction algébrique des positions de <strong>la</strong> source