le sourire immobile pdf - Vincent-Paul Toccoli a-nous-dieu-toccoli
le sourire immobile pdf - Vincent-Paul Toccoli a-nous-dieu-toccoli
le sourire immobile pdf - Vincent-Paul Toccoli a-nous-dieu-toccoli
You also want an ePaper? Increase the reach of your titles
YUMPU automatically turns print PDFs into web optimized ePapers that Google loves.
G L O S S A I R E<br />
(94 items)<br />
des mots<br />
sanskrits (skrt), chinois (chin), coréens (cor), japonais(jap) et tibétains (tib)<br />
et<br />
des noms<br />
de quelques Patriarches et Maîtres des traditions correspondantes.<br />
A (8)<br />
Abhava (skrt) : l’inexistence.<br />
Aksulamuma (skrt) : <strong>le</strong>s trois poisons envie, haine, illusion).<br />
Ananda (skrt) : deuxième patriarche indien, demi-frère de Siddhârta <strong>le</strong> Bouddha, reçut la transmission de<br />
l’esprit par Mahakasyapa.<br />
Anatman (skrt) : la non-vie, la non-existence.<br />
Anuttarapurusadamyasarathi (skrt) : <strong>le</strong> chef insurpassé de tous <strong>le</strong>s étudiants.<br />
Arhat (skrt) : celui qui a atteint la Bodhi, inspire <strong>le</strong> respect, et ne se consacre plus à rien d’autre que la<br />
méditation.<br />
Arthakrtya (skrt) : engagement effectif au service des autres.<br />
Atman (skrt) : la vie, l’existence.<br />
B (8)<br />
Baghavat (skrt) : <strong>le</strong> saint.<br />
Bodhi (skrt) : l’illumination.<br />
Bodhicitta (skrt) : la pensée de l’illumination.<br />
Bodhidharma (skrt) : <strong>le</strong> premier patriarche de la lignée chinoise, venue de l’Inde au 7ème sièc<strong>le</strong>, propager<br />
la “dhyana”.<br />
Bodhissatva (skrt) : un aspirant sur <strong>le</strong> chemin du Mahayana, soit qu’il ait décidé de poursuivre l’Illumination soit<br />
qu’il soit en train de la gagner.<br />
Buddh (skrt) : racine morphologique signifiant “éveil, savoir”.<br />
Bouddha, Le (skrt) : <strong>le</strong> Prince Siddhartha, Gautama, Sakya, devenu <strong>le</strong> Bouddha, ayant atteint l’Illumination<br />
tota<strong>le</strong>.<br />
Buddhanusmrti (skrt) : <strong>le</strong> souvenir du Buddha, dévotion et aussi une espèce de Zen, consistant à invoquer son<br />
nom.<br />
C (7)<br />
Ch’an (chin) : nom chinois du dhyana, importé par Bodhidharma.<br />
Chao-chu (chin) : (ZHAOZHOU : 778-897) maître de ch’an des 8-9èmes sièc<strong>le</strong>s, dynastie T’ang, célèbre<br />
pour son hwadu “wu = non”.<br />
Ching-hsüan (chin) : maître de ch’an des 10-11èmes sièc<strong>le</strong>s.<br />
Chinul (cor) :(1158 – 1210) <strong>le</strong> fondateur du Sôn coréen, adaptation du dhyâna indien et du ch’an chinois,<br />
aux 12-13 èmes sièc<strong>le</strong>s.<br />
Chogye (cor) : nom d’une célèbre montagne, au-dessus de Songgwang sa et nom actuel de la secte Sôn<br />
la plus importante de Corée.<br />
Confucius (chin) : originaire du Shandong, philosophe du 6ème sièc<strong>le</strong> avant J-C, qui influence encore<br />
toute la vie chinoise, en Chine et hors de Chine.<br />
Chuang-Tse (chin) : maître de ch’an, célèbre pour ses hwadu.<br />
D (3)<br />
Dana-paramita (skrt) : vertu du don, de la générosité.<br />
Dharma (skrt) : <strong>le</strong>s différentes vérités découvertes par <strong>le</strong> Bouddha, concernant <strong>le</strong> fonctionnement de l’univers; au<br />
pluriel, <strong>le</strong>s entités discrètes de ce qui existe.<br />
Dhyâna (skrt) : nom original de la méditation importée d’Inde en Chine, par Bodhidharma au 7ème sièc<strong>le</strong>, et dont<br />
dérivent ch’an, sôn et zen.<br />
H (6)<br />
Hakuin (chin) : (1685-1768) forgea la formu<strong>le</strong>:” A grand doute, grand éveil!’<br />
Hi-shiryo (jap) : <strong>le</strong> penser-non-pensé; absence de concepts.<br />
Huang-po (chin) : ( ?- 850) maître de ch’an du 8ème sièc<strong>le</strong>, fondateur de la secte “Lin Chi” (jap, Rinzaï) et<br />
de la pensée non conceptuel<strong>le</strong>; auteur du célèbre traité sur la “Transmission de l’esprit”.<br />
Hui-haï (chin) : célèbre maître de ch’an.<br />
Hui-neng (chin) :(638-713): sixième patriarche chinois du ch’an. Il donnait cette définition de la<br />
“méditation assise” ou “za zen”: “za”, extérieurement être dans <strong>le</strong> monde du bien et du mal, mais sans<br />
aucune pensée dans <strong>le</strong> cœur; “zen”, intérieurement, contemp<strong>le</strong>r sa vraie nature, mais sans s’écarter de<br />
cette contemplation (Kusan 1982:115, note 1).