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Ce document numérisé est le fruit d'un long travail approuvé par le ...

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l'épithélium gastrique (figures 22D-22F). Un pic d'intensité <strong>est</strong> observé à 15 semaines (figure<br />

22E). Pour des stades ultérieurs, <strong>le</strong> marquage <strong>est</strong> essentiel<strong>le</strong>ment nucléaire (figure 22F).<br />

Dans l'int<strong>est</strong>in fœtal, l'anticorps anti-PPAR~ donne une plus forte immunoréactivité<br />

dans l'iléon (figures 22J-22L) que dans <strong>le</strong> jéjunum (figures 22G-221) aux différents stades<br />

étudiés. Au cours du développement fœtal, l'intensité des signaux dans <strong>le</strong>s cellu<strong>le</strong>s de<br />

l'épithélium jéjunal r<strong>est</strong>e modérée, mais <strong>est</strong> plus forte dans <strong>le</strong>s cellu<strong>le</strong>s iléa<strong>le</strong>s.<br />

A 22 semaines de vie in utero, l'intensité du signal <strong>est</strong> plus forte dans <strong>le</strong>s cellu<strong>le</strong>s de<br />

l'épithélium des cryptes de l'iléon que dans <strong>le</strong>s cellu<strong>le</strong>s différenciées des villosités (figure<br />

22L).<br />

L'expression de PPAR~ <strong>est</strong> aussi détectée dans <strong>le</strong>s différentes assises du colon<br />

fœtal humain de la Sème (figure 22N) à la 20 éme semaine de développement foetal (figure<br />

220). PPAR~ <strong>est</strong> essentiel<strong>le</strong>ment localisé dans <strong>le</strong>s noyaux des cellu<strong>le</strong>s épithélia<strong>le</strong>s et<br />

mésenchymateuses. Comme pour l'iléon, un fort marquage <strong>est</strong> observé dans <strong>le</strong>s régions des<br />

cryptes. Par contre, il n'<strong>est</strong> pas détectab<strong>le</strong> à 14 semaines (figure 22N).<br />

c. Expression de PPARy<br />

Les différents anticorps utilisés (anti-PPARy1l'y2 et anti-PPARy2) en<br />

immunocytochimie donnent des résultats similaires tout au <strong>long</strong> du développement du<br />

tractus dig<strong>est</strong>if fœtal humain. Par contre, l'immunoréactivité <strong>est</strong> toujours plus forte avec<br />

l'antisérum anti-PPARy2 com<strong>par</strong>ativement à cel<strong>le</strong> obtenue avec l'antisérum anti-PPARy1/y2.<br />

C'<strong>est</strong> pourquoi, seuls <strong>le</strong>s résultats réalisés avec cet antisérum sont présentés ici.<br />

La présence de la protéine PPARy2 <strong>est</strong> détectée à 7 (figure 23A), 14 (figure 238) et<br />

20 semaines (figure 23C) dans l'œsophage fœtal humain. Au cours du développement<br />

embryonnaire de cet organe, l'intensité du signal r<strong>est</strong>e constante. Il <strong>est</strong> essentiel<strong>le</strong>ment<br />

présent dans <strong>le</strong>s noyaux des cellu<strong>le</strong>s épithélia<strong>le</strong>s et extra-épithélia<strong>le</strong>s.<br />

L'expression de la protéine PPARy2 <strong>est</strong> plus faib<strong>le</strong> dans l'épithélium gastrique (figures<br />

23D-23F) que dans celui œsophagien. Une légère augmentation du signal <strong>est</strong> observée à 15<br />

semaines du développement foetal (figure 23E).<br />

Le marquage avec l'antisérum anti-PPARy2 <strong>est</strong> <strong>par</strong>ticulièrement fort dans <strong>le</strong>s noyaux<br />

des cellu<strong>le</strong>s épithélia<strong>le</strong>s du jéjunum (figures 23G-231) et de l'iléon (figures 23J-23L). Comme<br />

<strong>le</strong>s noyaux sont localisés dans la <strong>par</strong>tie basa<strong>le</strong> des cellu<strong>le</strong>s épithélia<strong>le</strong>s, l'immunoréactivité<br />

pour PPARy2 montre une distribution <strong>le</strong> <strong>long</strong> de la lame basa<strong>le</strong>. L'intensité de la fluorescence<br />

ap<strong>par</strong>aît plus forte dans <strong>le</strong>s régions des cryptes com<strong>par</strong>ativement à cel<strong>le</strong> observée au niveau<br />

des régions des villosités (figures 231, 23K et 23L).<br />

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