APPROCHER D'AUTRES MONDES EST POSSIBLE - sudoc

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457 Ibid., p. 72. 458 Ibid. 459 Ibid. Tableau 3. Doit-on poser des conditions aux pays en voie de développement avant de les aider ? (réponses présentées selon le niveau d’éducation, en %) Diplôme obtenu le plus élevé Oui (en %) Non (en %) Ne sait pas (en %) Enseignement primaire 65,3 % 19,8 % 14,9 % Enseignement secondaire général inférieur Enseignement secondaire technique inférieur Enseignement secondaire professionnel inférieur Enseignement secondaire général supérieur Enseignement secondaire technique supérieur Enseignement secondaire professionnel supérieur Enseignement supérieur de type court Enseignement supérieur de type long 64,8 % 27,2 % 8,0 % 67,7 % 17,2 % 15,1 % 64,2 % 23,2 % 12,6 % 69,1 % 23,0 % 7,9 % 68,1 % 23,0 % 8,8 % 57,5 % 27,4 % 15,1 % 69,9 % 21,9 % 8,2 % 60,8 % 26,2 % 13,1 % Enseignement universitaire 68,2 % 24,7 % 7,1 % Autres 68,8 % 25,0 % 6,3 % Total 66,9 % 23,2 % 9,8 % Le rapport de la DGCD de 2004 examine aussi « l’attitude personnelle des personnes interrogées vis-à-vis de la coopération au développement » 457 . Le tableau statistique qui suit 458 tend à démontrer que « le niveau d’éducation joue un rôle dans le fait que l’on soit intéressé ou non par la coopération. Les peu qualifiés sont moins fréquemment très intéressés ou assez intéressés que les très qualifiés » 459 . Cependant, en ce qui concerne notre public-cible, on n’observe pas de différence notoire selon la forme d’enseignement suivi. Ainsi, les résultats obtenus pour le degré supérieur de l’enseignement secondaire sont assez similaires toutes filières confondues. Pour le degré inférieur, alors que les diplômés du secondaire technique se montrent sensiblement moins intéressés, la filière dans laquelle les diplômés se montrent les plus intéressés sont, de façon assez surprenante, ceux de l’enseignement professionnel (même si la différence avec les élèves du secondaire général est maigre). 82
Tableau 4. Intérêt dans la coopération au développement (selon le niveau d’éducation) 460 DGCD, op. cit., p. 74. 461 Ibid. Diplôme obtenu le plus élevé Très intéressé + assez intéressé (en %) Enseignement primaire 47,6 % Enseignement secondaire général inférieur 63,8 % Enseignement secondaire technique inférieur 54,3 % Enseignement secondaire professionnel inférieur 64,6 % Enseignement secondaire général supérieur 65,7 % Enseignement secondaire technique supérieur 62,4 % Enseignement secondaire professionnel supérieur 62,1 % Enseignement supérieur de type court 71,6 % Enseignement supérieur de type long 71,4 % Enseignement universitaire 76,2 % Autres 50,0 % Total 65,7 % 4.2.3. LE NIVEAU DE « PASSAGE A L’ACTION » DES ELEVES DES ENSEIGNEMENTS Technique ET PROFESSIONNEL 4.2.3.1. Apport du sondage d’opinion de la DGCD d’août 2004 Le sondage de la DGCD de 2004 tente également d’évaluer dans quelle mesure les personnes interrogées sont disposées à agir concrètement en faveur de la coopération au développement. Une conclusion importante pour nous est que « c’est surtout le niveau d’éducation qui détermine le choix de payer ou non plus d’impôts : plus le niveau [d’éducation] est élevé, plus on est prêt à payer plus d’impôts afin de les consacrer à la coopération au développement » 460 . Si l’on se réfère au tableau suivant 461 , on peut constater que ce sont surtout les élèves de l’enseignement secondaire professionnel, aussi bien dans le degré inférieur que dans le supérieur, qui sont à la traîne sur ce point. En effet, il existe nettement moins de diplômés de cette filière qui se déclarent décidés à payer davantage d’impôts en faveur de la coopération au développement. De même, les diplômés de l’enseignement professionnel sont largement plus nombreux (de manière encore plus marquée dans le degré supérieur) à refuser d’envisager une telle hypothèse que dans les deux autres filières d’enseignement. 83
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24 Ibid. 25 DELLISSE, Ph., op.cit.,
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60 Ibid., article 8. 61 Ibid. 62 Ib
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