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Programme scientifique paris 2010 - AFVAC

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CONGRÈS <strong>AFVAC</strong> PARIS <strong>2010</strong> 10-11-12 DÉCEMBRE<br />

• Pour en savoir plus :<br />

Kyles AE, et al.,.Management and outcome of cats with ureteral calculi : 153 cases (1984-<br />

2002). J Am Vet Med Assoc. 2005 ; 226:937-44.<br />

Kyles AE, et al., Clinical, clinicopathologic, radiographic, and ultrasonographic abnormalities<br />

in cats with ureteral calculi : 163 cases (1984-2002). J Am Vet Med Assoc. 2005 ;226:932-6.<br />

Ling GV. Nephrolithiasis : prevalence of mineral type. In : KIRK RW ? BONAGURA JD.<br />

Editors. Current Veterinary therapy XII. Small animal practise. Philadelphia : WB Saunders,<br />

1995,980.<br />

>< Confl its d’intérêts<br />

Néant.<br />

Incontinence urinaire rebelle à un choix<br />

thérapeutique de première intention.<br />

Ne pas jeter l’éponge J.-Y. DESCHAMPS<br />

Maître de conférences, Service d’urgences – ENVN – Atlanpôle – La<br />

Chantrerie – BP 40706 – F-44307 NANTES Cedex 03<br />

Toutes les classifi cations de l’incontinence sont possibles : congénitales ou acquises,<br />

neurologiques ou non, médicales ou chirurgicales, mais en pratique, il y a deux<br />

types d’incontinence : celles qui répondent au Propalin® (ou médicament<br />

apparenté) et les autres !<br />

L’incompétence sphinctérienne (IS) représente la grande majorité des incontinences<br />

du chien et surtout de la chienne. Le traitement médical (estriol, phénylpropanolamine,<br />

éphédrine) est effi cace dans 80 à 90 % des cas. Donc la majorité des incontinences<br />

sont faciles à traiter ! Malheureusement, les autres le sont souvent moins.<br />

LES PRINCIPALES CAUSES D’ÉCHEC<br />

La cause de l’incontinence n’a pas été identifi ée et<br />

traitée spécifi quement<br />

C’est souvent le cas lors d’incontinence associée à une polyurie, une cystite, une urolithiase,<br />

une obstruction urétrale partielle, un syndrome de la queue-de-cheval, etc. Ces<br />

causes doivent être privilégiées chez un animal âgé car les formes congénitales sont<br />

exclues et l’IS est moins probable si la stérilisation est ancienne.<br />

Lors de PUPD, il ne s’agit pas vraiment d’une incontinence car les mictions sont volontaires<br />

: l’animal ne perd pas de gouttes mais émet volontairement une mare d’urines<br />

à distance de son lieu de couchage. Les polyuries peuvent toutefois provoquer des<br />

pertes d’urines involontaires (vessie qui déborde), particulièrement quand la polyurie<br />

est très marquée, lors de diabète insipide par exemple ; une densité urinaire basse<br />

(< Confl its d’intérêts<br />

Néant.<br />

Lithiases du haut appareil urinaire chez le chat :<br />

quand y penser, comment les diagnostiquer ?<br />

T. FRANCEY<br />

Texte non remis<br />

Identifi er et qualifi er une protéinurie lors d’hématurie<br />

T. FRANCEY<br />

Texte non remis<br />

Cystites idiopathiques : dialogue médicocomportemental<br />

C. MAUREY-GUENEC (1) , C. MEGE (2)<br />

1. Service de médecine – ENVA - 7 avenue du Général de Gaulle<br />

F-94700 MAISONS ALFORT<br />

2. F-21300 CHENÔVE<br />

La cystite idiopathique, encore appelée cystite interstitielle du chat a été identifi ée<br />

depuis longtemps. Le caractère idiopathique, récidivant, en fait un véritable défi tant<br />

diagnostique que thérapeutique. L’infl uence du stress, et plus précisément de l’anxiété,<br />

est suspectée depuis longtemps. Les traitements font classiquement appel à<br />

des anti-dépresseurs tricycliques.<br />

SYMPTÔMES<br />

La CI se traduit par une dysurie, une strangurie et une hématurie macro ou microscopique.<br />

La malpropreté est un signe fréquent d’ABAU et peut être injustement considérée<br />

comme un trouble comportemental, d’autant qu’elle peut persister après guérison<br />

du trouble urinaire. La présence d’une obstruction urétrale ne permet pas d’exclure<br />

une cystite idiopathique ; on suspecte en effet que l’infl ammation et la desquamation<br />

cellulaire qu’elle engendre puissent participer à la formation de bouchons protéiques.

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