12.01.2015 Views

Chauffage Compressionnel de l'Environnement des Disques ...

Chauffage Compressionnel de l'Environnement des Disques ...

Chauffage Compressionnel de l'Environnement des Disques ...

SHOW MORE
SHOW LESS

You also want an ePaper? Increase the reach of your titles

YUMPU automatically turns print PDFs into web optimized ePapers that Google loves.

189<br />

Pour mention, on je donnne ici la solution sans courant pour n = 1 dans les variables<br />

(r; z) :<br />

[ ( ) ]<br />

r<br />

r 2 −3/2<br />

B r (r, z) ∝<br />

(z + z 0 ) 3 1 +<br />

(D.10)<br />

z + z 0<br />

B z (r, z)<br />

∝<br />

[ ( ) ]<br />

1<br />

r 2 −3/2<br />

(z + z 0 ) 2 1 +<br />

z + z 0<br />

(D.11)<br />

Ici, z 0 une hauteur caractéristique qu’on peut se fixer. Les lignes <strong>de</strong> champ sont les droites<br />

d’équation :<br />

r<br />

= cste<br />

(D.12)<br />

z + z 0<br />

On peut remarquer que dans cette géométrie, les droites se coupent toutes virtuellement en<br />

un point situé <strong>de</strong> l’autre côté du disque, en z0 justement.<br />

Forces projetées<br />

tel-00011431, version 1 - 20 Jan 2006<br />

Pour pouvoir étudier le mouvement <strong>de</strong>s particules <strong>de</strong> la couronne, il faut maintenant<br />

projeter les différentes forces sur ces lignes <strong>de</strong> champ droites. En présence simultanée d’ions et<br />

d’électrons, un potentiel électrostatique <strong>de</strong> séparation <strong>de</strong> charge se crée. Dans la limite quasineutre,<br />

il se traite heureusement <strong>de</strong> manière simple. Dans la limite où la masse <strong>de</strong>s électrons<br />

est négligeable, les énergies potentielles <strong>de</strong>s ions et <strong>de</strong>s électrons sont respectivement :<br />

E i = m i Φ G + eΦ E (D.13)<br />

E e = −eΦ E (D.14)<br />

Sauf dans <strong>de</strong>s cas extrêmes, la force électrique est en fait bien plus forte que les autres forces<br />

en jeu, et assure partout la quasi-neutralité. Ions et électrons doivent donc possé<strong>de</strong>r la même<br />

distribution spatiale dans le puits <strong>de</strong> potentielle, c’est à dire avoir la même énergie potentielle.<br />

On en déduit donc que :<br />

Φ E = 1 2 Φ G<br />

si bien que les hamiltoniens <strong>de</strong>s ions et <strong>de</strong>s électrons sont respectivement :<br />

(D.15)<br />

H i = 1 2 m iv 2 ‖ + µB + 1 2 m iΦ G (D.16)<br />

H e = 1 2 m ev 2 ‖ + µB + 1 2 m iΦ G (D.17)<br />

Dans la suite et dans le corps du texte, nous désignons donc le potentiel effectif 1 2 m iΦ G par<br />

le terme générique potentiel gravitationnel.<br />

Avec la géométrie <strong>de</strong> champ choisie, le force gravitationnelle effective et la force centrifuge<br />

s’écrivent pour les ions comme pour les électrons :<br />

g = GMm i<br />

2r 2 0<br />

x/r 0 + c<br />

((x/r 0 ) 2 + 2cx/r 0 + 1) −3/2<br />

(D.18)<br />

ḡ = GMm i<br />

2r0<br />

2 c(1 + cx/r 0 ) (D.19)<br />

où M est la masse centrale.<br />

La force miroir est par définition parallèle au champ magnétique. Il s’agit donc uniquement<br />

<strong>de</strong> la calculer et on trouve :<br />

1 + n + 2ncx/r 0<br />

F µ = −µ∂ x |B| = µB 0 c<br />

(1 + cx/r 0 ) 2 (1 + ncx/r 0 ) 2 (D.20)

Hooray! Your file is uploaded and ready to be published.

Saved successfully!

Ooh no, something went wrong!