L’INTERACTION VILLE - EQUIPEMENT EN VILLE NOUVELLE - RECEPTION ET ADAPTATION DE LA FORMULE DE L’EQUIPEMENT SOCIO-CULTUREL INTEGRE Rapportdéfinitif - Février 2005CHAPITRE IILa converg<strong>en</strong>ce <strong>en</strong>tre la doctrine psychiatrique <strong>de</strong> secteur et la formule <strong>de</strong>l’équipem<strong>en</strong>t intégré :La démarche programmatique initiale sur le terrain <strong>de</strong> l’hygiène m<strong>en</strong>tale consiste à développer la« doctrine <strong>de</strong> secteur ». Cette doctrine repose sur un certain nombre <strong>de</strong> principes et <strong>de</strong> notions quiinterfér<strong>en</strong>t avec le discours <strong>de</strong> l’équipem<strong>en</strong>t intégré :Le premier principe est celui du prima <strong>de</strong> l’équipe <strong>de</strong> soins sur le découpage <strong>de</strong>s institutions et sur « lebéton » 94 . Cette primauté <strong>de</strong> l’activité <strong>de</strong> l’équipe <strong>de</strong> soins rejoint le discours sur la pré-animationdéveloppé dans le champ <strong>de</strong> l’action culturelleLe <strong>de</strong>uxième principe est celui d’une nécessaire diversification <strong>de</strong> la prise <strong>en</strong> charge <strong>de</strong>s pati<strong>en</strong>ts et <strong>de</strong>la nécessité <strong>de</strong> développer <strong>de</strong>s structures extrahospitalières. La conception <strong>de</strong> ces structures interfèreavec celle <strong>de</strong>s autres structures sanitaires et sociales, c<strong>en</strong>tre <strong>de</strong> PMI, c<strong>en</strong>tre social, crèches. Cetteconception va dans le s<strong>en</strong>s du regroupem<strong>en</strong>t <strong>de</strong> ces structures et <strong>de</strong> leur coordination 95Il s’agit <strong>en</strong> fait d’une t<strong>en</strong>sion à introduire <strong>en</strong>tre la conc<strong>en</strong>tration <strong>de</strong>s prises <strong>en</strong> charge dans l’hôpital et leurdispersion dans la <strong>ville</strong>, au plus près <strong>de</strong> l’<strong>en</strong>vironnem<strong>en</strong>t quotidi<strong>en</strong> <strong>de</strong>s habitants. Cette t<strong>en</strong>sion conduitau troisième terme interférant avec le discours sur les équipem<strong>en</strong>ts intégrés, la notion <strong>de</strong> réseau.La démarche <strong>de</strong> rapprochem<strong>en</strong>t du CERFI avec les principes initiaux d’aménagem<strong>en</strong>t <strong>de</strong>s <strong>ville</strong>s <strong>nouvelle</strong>sse construit au départ à partir du projet concret d’hôpital à Evry. La réflexion sur la mise <strong>en</strong> place d’un<strong>en</strong>ouvelle instance <strong>de</strong> concertation et sur la mise <strong>en</strong> place <strong>de</strong> structures extrahospitalières se réfère àl’expéri<strong>en</strong>ce d’une action inter-secteur développée par le docteur Bonnafé <strong>en</strong>tre Corbeil et Evry. Pr<strong>en</strong>antpour modèle cette expéri<strong>en</strong>ce mise <strong>en</strong> place dans le contexte d’une agglomération déjà très urbanisée etstructurée autour <strong>de</strong> la commune <strong>de</strong> Corbeil, le CERFI s’interroge sur les possibilités <strong>de</strong> transposition aucontexte <strong>de</strong> Marne-la-Vallée caractérisé par une gran<strong>de</strong> dispersion <strong>de</strong>s communes et par une abs<strong>en</strong>ced’interlocuteur c'est-à-dire quasim<strong>en</strong>t la page blanche. La question est <strong>de</strong> savoir comm<strong>en</strong>t occuper leterrain pour empêcher la reconduction du système traditionnel <strong>de</strong> psychiatrie hospitalière. Le débat sepolarise <strong>en</strong>tre les partisans pragmatiques d’une définition à priori d’une structure et d’un lieuextrahospitaliers à planifier, un «c<strong>en</strong>tre polyval<strong>en</strong>t <strong>de</strong> santé m<strong>en</strong>tale » qui puisse s’inscrire dans lalogique <strong>de</strong> planification <strong>de</strong>s administrations (Guattari) et les partisans <strong>de</strong> la mise <strong>en</strong> place avant toutd’équipes développant <strong>de</strong>s pratiques alternatives à l’<strong>en</strong>ferm<strong>en</strong>t hospitalier (Bonnafé et Fourquet) 96 . Laposition pragmatique déf<strong>en</strong>due par Guattari conduit le CERFI à collaborer avec l’EPEVRY et avecl’EPAMARNE pour la programmation <strong>de</strong> c<strong>en</strong>tres polyval<strong>en</strong>ts d’hygiène m<strong>en</strong>tale 97 .94 « L’équipe médico-sociale <strong>de</strong> secteur apparaît comme la cellule productive <strong>de</strong> soins autour <strong>de</strong> laquelle s’ordonnel’<strong>en</strong>semble du dispositif matériel et institutionnel <strong>de</strong> l’hygiène m<strong>en</strong>tale. Le travail <strong>de</strong> l’équipe au sein du milieu social réelprécè<strong>de</strong> la représ<strong>en</strong>tation <strong>de</strong> ce travail <strong>en</strong> terme <strong>de</strong> statuts et <strong>de</strong> tutelles, <strong>de</strong> délimitations administratives, <strong>de</strong>subordinations hiérarchiques, <strong>de</strong> compét<strong>en</strong>ces exclusives, etc. La population est sujet à la <strong>de</strong>man<strong>de</strong> thérapeutique, avantd’être objet <strong>de</strong> découpages administratifs et <strong>de</strong> partages <strong>de</strong> compét<strong>en</strong>ces. La gamme <strong>de</strong>s équipem<strong>en</strong>ts <strong>de</strong> secteurs ne peutpas correspondre à une représ<strong>en</strong>tation <strong>de</strong>s « besoins <strong>de</strong> la population, ne se définit pas par rapport à cette extérioritéabstraite. C’est autour <strong>de</strong> l’équipe, « équipem<strong>en</strong>t collectif » producteur <strong>de</strong> soins, que s’ag<strong>en</strong>ce le processus <strong>de</strong>programmation comme production d’institutions» CERFI, « Programme général provisoire <strong>de</strong>s équipem<strong>en</strong>ts d’hygiènem<strong>en</strong>tale <strong>de</strong> la <strong>ville</strong> <strong>nouvelle</strong> d’Evry », texte dactyl., février 1973. [AD Essonne 1523W630].95 « (…) est-il possible, grâce à cette instance administrative interministérielle qu’est l’établissem<strong>en</strong>t public, d’imaginer <strong>de</strong>séquipem<strong>en</strong>ts échappant au strict cloisonnem<strong>en</strong>t <strong>de</strong>s compét<strong>en</strong>ces ? Voilà le g<strong>en</strong>re <strong>de</strong> questions dont on pourrait discuter etqui d’ailleurs avait été déjà abordée : comm<strong>en</strong>t faire qu’il y ait le minimum <strong>de</strong> m² spécifiquem<strong>en</strong>t affectés à la santé m<strong>en</strong>tale ?Comm<strong>en</strong>t faire que ces m² thérapeutiques soi<strong>en</strong>t placés dans un CES, un foyer <strong>de</strong> jeunes travailleurs ou pourquoi pas dansun supermarché. J’imaginerai bi<strong>en</strong> qu’au lieu <strong>de</strong> r<strong>en</strong>contrer <strong>de</strong>s casseroles on tombe sur un infirmier ; <strong>en</strong>core faudrait-il, pourqu’existe un c<strong>en</strong>tre <strong>de</strong> santé m<strong>en</strong>tale dans un supermarché qu’on l’ait prévu dans la phase <strong>de</strong> programmation <strong>de</strong>séquipem<strong>en</strong>ts collectifs <strong>de</strong> la <strong>ville</strong> <strong>nouvelle</strong> ». M. Fourquet in « Programmation, <strong>ville</strong> <strong>nouvelle</strong> et hygiène m<strong>en</strong>tale », CR <strong>de</strong> laréunion t<strong>en</strong>ue le 01 mars 1972 [AD Essonne, 1523W630]96 « M. Guattari : Est-ce que tu ne crois pas tout <strong>de</strong> même qu’on <strong>de</strong>vrait pr<strong>en</strong>dre le risque <strong>de</strong> définir un c<strong>en</strong>tre polyval<strong>en</strong>t <strong>de</strong>santé m<strong>en</strong>tale par un certain nombre <strong>de</strong> caractéristiques : sa polyval<strong>en</strong>ce, sa taille qui ne <strong>de</strong>vra pas être trop gran<strong>de</strong>, sonmo<strong>de</strong> d’implantation et surtout un rapport <strong>en</strong>tre le nombre <strong>de</strong> c<strong>en</strong>tres et la population concernée (…)Docteur Bonnafé : Je mainti<strong>en</strong>s que si on se replie vers une version mo<strong>de</strong>rniste du thème « <strong>de</strong>s pierres avant <strong>de</strong>shommes », on sera refait. »CERFI, Programmation, <strong>ville</strong>s <strong>nouvelle</strong>s et hygiène m<strong>en</strong>tale, Compte-r<strong>en</strong>du <strong>de</strong> la réunion du mercredi 1 er mars 1972 t<strong>en</strong>ue àl’Hôpital H. Rousselle, salle Magnan, p11 [AD Essonne, 1523W630].97 « M. Guattari : Je voudrais qu’on arrive à définir un système <strong>de</strong> normes dans lequel <strong>en</strong>trerait aussi bi<strong>en</strong> la quantité <strong>de</strong>bureaux que <strong>de</strong> cantines ou <strong>de</strong> garages, et qu’à ce mom<strong>en</strong>t là on ait une <strong>en</strong>tité dont l’unicité soit <strong>en</strong> fin <strong>de</strong> compte l’équipequi se projette sur ces espaces. Si on ne définit pas cette <strong>en</strong>tité, on aura beau <strong>de</strong>man<strong>de</strong>r <strong>de</strong>s espaces on ne les aura pas,et si on les a, il n’y aura ri<strong>en</strong> <strong>de</strong>dans, aucune structure administrative par exemple (…) »CERFI, Programmation, <strong>ville</strong>s <strong>nouvelle</strong>s et hygiène m<strong>en</strong>tale, Compte-r<strong>en</strong>du <strong>de</strong> la réunion du mercredi 1 er mars 1972, op. cit.,p14.34
L’INTERACTION VILLE - EQUIPEMENT EN VILLE NOUVELLE - RECEPTION ET ADAPTATION DE LA FORMULE DE L’EQUIPEMENT SOCIO-CULTUREL INTEGRE Rapportdéfinitif - Février 2005CHAPITRE IICette position est formalisée par une proposition <strong>de</strong> « Programme Général <strong>de</strong>s équipem<strong>en</strong>ts d’hygiènem<strong>en</strong>tale <strong>de</strong> la <strong>ville</strong> <strong>nouvelle</strong> d’Evry » établie <strong>en</strong> 1972 98 .Le projet proposé à Lalan<strong>de</strong> <strong>en</strong> mars 1973 99 formalise les li<strong>en</strong>s <strong>en</strong>tre la doctrine <strong>de</strong> secteur et le conceptd’intégration <strong>de</strong>s équipem<strong>en</strong>ts :- principe <strong>de</strong> l’intégration <strong>de</strong>s soins dans le milieu urbain- nécessité <strong>de</strong> développem<strong>en</strong>t <strong>de</strong>s structures extra-hospitalières conduisant à « un réseaud’équipem<strong>en</strong>ts intégrés dans le tissu urbain »- principe d’ouverture sur la <strong>ville</strong> et donc d’interconnexion avec d’autres activités <strong>de</strong>s équipem<strong>en</strong>tsd’hygiène m<strong>en</strong>tale, l’idée étant que ces équipem<strong>en</strong>ts particip<strong>en</strong>t à l’animation urbaine: « leséquipem<strong>en</strong>ts d’hygiène m<strong>en</strong>tale s’intègr<strong>en</strong>t avec les autres équipem<strong>en</strong>ts collectifs ; les « m²d’hygiène m<strong>en</strong>tale » sont mêlés souv<strong>en</strong>t aux «m² sociaux » <strong>de</strong> toute nature : équipem<strong>en</strong>tsscolaires et universitaires, sanitaires, sociaux, culturels, etc… Ceci n’est qu’une t<strong>en</strong>dance, maiselle découle du principe <strong>de</strong> base qui refuse <strong>de</strong> rejeter la folie dans les murs <strong>de</strong> l’asile ou <strong>de</strong> sesmo<strong>de</strong>rnes avatars ».La prestation proposée par le CERFI pour la <strong>ville</strong> <strong>nouvelle</strong> d’Evry comporte trois volets, la mise au pointd’un programme général, une assistance technique auprès <strong>de</strong> l’EPA pour le suivi financier etadministratif <strong>de</strong>s dossiers et <strong>en</strong>fin la constitution d’un groupe <strong>de</strong> travail perman<strong>en</strong>t.Ce groupe <strong>de</strong> travail regroupant <strong>de</strong>s pratici<strong>en</strong>s <strong>de</strong> l’hygiène m<strong>en</strong>tale, <strong>de</strong>s financiers, <strong>de</strong>s collectivitéslocales, serait le promoteur institutionnel, instance transversale qui pr<strong>en</strong>drait la forme d’une associationloi 1901 et qui aurait à charge <strong>de</strong> définir le programme et aussi les conditions <strong>de</strong> financem<strong>en</strong>t et <strong>de</strong>gestion ultérieure <strong>de</strong>s équipem<strong>en</strong>ts.Cette démarche globale proposée par le CERFI n’aura pas <strong>de</strong> suite dans son intégralité. Elle va seheurter à l’opposition d’un certain nombre <strong>de</strong> mé<strong>de</strong>cins et à l’opposition <strong>de</strong> la DDASS quand à lacréation d’une <strong>nouvelle</strong> instance <strong>de</strong> concertation.Elle va déboucher néanmoins concrètem<strong>en</strong>t sur la programmation <strong>en</strong> 1972 d’un c<strong>en</strong>tre <strong>de</strong> jour pour<strong>en</strong>fants au sein <strong>de</strong> la « maison <strong>de</strong> la famille » qui correspond à la partie médico-sociale <strong>de</strong> l’AGORA 100 .Les interlocuteurs du CERFI à l’EPEVRY sont alors principalem<strong>en</strong>t Mlle <strong>de</strong> Clapier <strong>en</strong> charge <strong>de</strong> laprogrammation <strong>de</strong> la maison <strong>de</strong> la famille dans l’Agora, Mlle Demur, M. Raynaud et A. Darmagnac.Les t<strong>en</strong>tatives <strong>de</strong> généralisation <strong>de</strong> la métho<strong>de</strong>A la suite <strong>de</strong>s premières expéri<strong>en</strong>ces <strong>de</strong> programmation concertée dans le domaine <strong>de</strong> la santé m<strong>en</strong>tale(<strong>de</strong> 1970 à 1973), l’implication du CERFI <strong>en</strong> <strong>ville</strong> <strong>nouvelle</strong> t<strong>en</strong>d par la suite à s’élargir à une activité <strong>de</strong>programmation plus générale <strong>de</strong>s équipem<strong>en</strong>ts collectifs. Ce changem<strong>en</strong>t correspond aussi àl’implication d’autres acteurs au sein du CERFI. Aux acteurs initiaux dont la démarche est très attachéeau domaine <strong>de</strong> la psychiatrie et à l’<strong>en</strong>jeu théorique et politique (F. Guattari, F. Fourquet, H. Maury, A.Querri<strong>en</strong>), s’ajout<strong>en</strong>t <strong>de</strong> <strong>nouvelle</strong>s têtes telles que Ariane Cotl<strong>en</strong>ko et Gaétane Lamarche-Va<strong>de</strong>l, anci<strong>en</strong>smembres du GIP (Groupe Interv<strong>en</strong>tion Prison <strong>de</strong> M. Foucault) ou Georges Grass, psychologue à laclinique <strong>de</strong> La Bor<strong>de</strong> qui s’efforc<strong>en</strong>t <strong>de</strong> faire leur place au sein du CERFI <strong>en</strong> développant une démarcheplus opérationnelle.Cette <strong>de</strong>uxième génération d’interv<strong>en</strong>ants du CERFI se met <strong>en</strong> piste à l’occasion <strong>de</strong> la programmation <strong>de</strong>l’équipem<strong>en</strong>t intégré du C<strong>en</strong>tre <strong>de</strong> Vie Enfantine <strong>de</strong> l’Arche-Guédon. A cette occasion, elle r<strong>en</strong>contre lesarchitectes <strong>de</strong> l’Abac, Raoul Pastrana, Marina Pastrana, Dominique Girard et Daniel Bourdon lesquelsavai<strong>en</strong>t travaillé avec Françoise L<strong>en</strong>oble-Predine à la formalisation architecturale <strong>en</strong> 1972 d’unprogramme <strong>de</strong> C<strong>en</strong>tre <strong>de</strong> la Petite Enfance modèle.Deux ori<strong>en</strong>tations dans l’action <strong>de</strong> programmation sont alors t<strong>en</strong>tées par le CERFI <strong>en</strong> <strong>ville</strong> <strong>nouvelle</strong>.La première sur le thème concertation et animation met l’acc<strong>en</strong>t sur la nécessité <strong>de</strong> la mise <strong>en</strong> placed’une équipe d’animation à même d’<strong>en</strong>gager un processus « d’autoprogrammation » pour repr<strong>en</strong>dre leterme utilisé par A. Querri<strong>en</strong> dans son article publié <strong>en</strong> 1978 dans Technique et Architecture. Cettedémarche <strong>de</strong> mise <strong>en</strong> place d’un « collectif d’animation d’un équipem<strong>en</strong>t » proche finalem<strong>en</strong>t du principe98 CERFI, « Programme Général <strong>de</strong>s Equipem<strong>en</strong>ts d’Hygiène M<strong>en</strong>tale <strong>de</strong> la Ville Nouvelle d’Evry – Projet <strong>de</strong>contrat d’étu<strong>de</strong>s <strong>en</strong>tre l’Etablissem<strong>en</strong>t <strong>de</strong> la <strong>ville</strong> <strong>nouvelle</strong> d’Evry et le CERFI », texte dactyl. 2 mars 1972 [ADEssonne, 1523W630].99 CERFI, courrier à M. Lalan<strong>de</strong> le 09 mars 1973, [AD Essonne, 1523W630].100 CERFI (Lion Murard), « Projet d’une gestion intégrée pour les équipem<strong>en</strong>ts <strong>de</strong> l’<strong>en</strong>fance dans l’AGORA », texte dactyl.08/12/72 [AD Essonne 1523W630].35