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MDPH : Une adaptation continue. Synthèse des rapports 2012<br />

6. L’activité liée au traitement des demandes d’AEEH est dense et<br />

semble progresser<br />

èè<br />

MDPH des Yvelines<br />

Les décisions d’attribution d’AEEH et de compléments ont augmenté de 11 % en 2012.<br />

MDPH de la Vendée<br />

Avec plus de 2 300 décisions dont seulement 11 % de rejets, l’AEEH (allocation de base et compléments) connaît une<br />

croissance ininterrompue depuis sept ans et de 56 % depuis l’année scolaire 2009-2010.<br />

MDPH des Hautes-Pyrénées<br />

Par rapport à l’année 2011, on constate une augmentation du nombre des décisions d’AEEH de 14 % (passant de 360<br />

décisions en 2011 à 411 en 2012) et de 23 % pour les compléments.<br />

Cette sollicitation croissante de l’AEEH est liée pour certaines MDPH aux besoins de financement de soins non pris<br />

en charge par l’assurance maladie.<br />

èè<br />

MDPH de la Meuse<br />

On assiste en 2012 à un effondrement des taux d’accords concernant les premières demandes d’allocation d’éducation de<br />

l’enfant handicapé et de ses compléments. Les conditions d’attribution de ces allocations, mal connues des familles et des<br />

travailleurs sociaux en sont certainement une des explications : les familles demandent … pour voir. Un autre phénomène<br />

est assez nouveau : la sollicitation de l’AEEH et de ses compléments pour financer des séances chez des thérapeutes<br />

non pris en charge par l’assurance maladie (ergothérapeute, psychomotricien…) : le plus souvent, ces enfants, qualifiés<br />

« dys », ne remplissent pas la condition première d’attribution, à savoir justifier d’un taux d’incapacité au moins supérieur<br />

à 50 % et de soins ou d’éducation spéciale.<br />

MDPH du Jura<br />

Il existe en 2012 une augmentation assez importante des demandes de complément d’AEEH (de 257, nous passons à<br />

322, soit 25 %) pour une aide à un financement, notamment pour des professionnels non conventionnés par la CPAM<br />

(psychomotricien, ergothérapeute) et du coût des transports à ces séances. Rappelons que les frais en libéral ne sont pas<br />

pris en charge financièrement par la MDPH, sauf exception : si c’est la CDAPH qui préconise les soins dans l’attente d’une<br />

prise en charge globale par un service ou établissement médico-social par exemple.<br />

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