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MDPH : Une adaptation continue. Synthèse des rapports 2012<br />
èè<br />
MDPH de l’Indre<br />
Les décisions d’orientation en établissements et services médico-sociaux concernant les adultes handicapés sont en nette<br />
augmentation : + 41 % (avec 591 orientations pour 2012 et 417 pour 2011). Les décisions d’orientation en établissements<br />
et services médico-sociaux concernant les enfants handicapés sont en augmentation de + 23 % (avec 614 orientations<br />
pour 2012 et 501 pour 2011).<br />
MDPH d’Eure-et-Loir<br />
Les décisions d’orientation en établissements et services médico–sociaux concernant les adultes handicapés ont légèrement<br />
augmenté en 2012 (+ 0,43 %). La part des accords est respectivement de 92,46 % en 2012 contre 93,71 % en 2011.<br />
MDPH de la Vendée<br />
Le nombre de décisions d’orientations, qui avait fléchi légèrement en 2011 (- 4,1 %) retrouve son niveau de 2010. Du fait<br />
d’une stabilisation de l’offre, les variations sont liées aux renouvellements. Le taux de rejet ne bouge pas (9,4 %) […] Les<br />
orientations en foyer de vie et d’hébergement reculent au bénéfice des SAVS et des SAMSAH.<br />
MDPH de La Réunion<br />
Les orientations vers un établissement médico-social ont progressé pour les adultes handicapés de 8,4 % par an et pour<br />
les enfants handicapés (hors ITEP) de 3 % par an. Les orientations vers un service médico-social ont progressé pour les<br />
adultes de 88,6 % par an et pour les enfants de 15 % par an.<br />
2. L’effectivité des décisions d’orientation est très variable d’un<br />
département à l’autre<br />
a. Les rapports sont l’occasion de décrire les spécificités départementales en matière<br />
d’offre médico-sociale et les difficultés repérées<br />
èè<br />
MDPH du Jura<br />
Les membres de l’équipe pluridisciplinaire sont confrontés à certaines situations d’enfants ou d’adolescents accueillis en<br />
établissement médico-social, mais pour lesquels des périodes d’hospitalisation (quinze jours maximum) en service de<br />
pédopsychiatrie sont nécessaires et mises en place. Ces jeunes sont « à la limite » d’une prise en charge médico-sociale<br />
et d’une prise en charge sanitaire. Faute d’établissements spécifiques pour ces quelques jeunes, une prise en charge<br />
adaptée sur du long terme est difficile à mettre en place (manque de structures, manque de place en pédopsychiatrie –<br />
hospitalisation – et de moyens humains et financiers).<br />
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