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etude theorique et experimentale du transport electronique ... - Ief

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Chapitre II : Les différents niveaux de la modélisationτm( k) τ ( k)∫ hk× f ×B=∫ hk×Bm( f − f )Il est important de noter que 1/τ m est la fréquence d’interaction <strong>du</strong> moment pour une énergie donnée tandisque est la fréquence moyenne d’interaction <strong>du</strong> moment pondérée par la distribution liée à lavitesse. Avec c<strong>et</strong>te notation, aucune approximation sur le calcul de la fréquence d’interaction n’esteffectuée (pour l’instant). L’équation devient [4] :r∂Pt1 r+ 2div( W ) + nqE = − PII- 5∂tτSans génération ni recombinaison <strong>et</strong> en statique (dP/dt=0), la variation saptialle de l’énergie est égale à laforce appliquée au gaz plus la force de friction <strong>du</strong>e aux interactions. En écrivant l’énergie en terme d<strong>et</strong>empérature électronique <strong>et</strong> en multipliant par le temps de relaxation <strong>du</strong> moment, la mobilité <strong>et</strong> lecoefficient de diffusion apparaîssent pour obtenir l’équation Dérive-Diffusion. Elle perm<strong>et</strong> de calculer lalongueur de relaxation de la vitesse.2.1.4. Calcul au moment 2Avec la même méthode on obtient la conservation de l’énergie en définisssant le flux d’énergie par :F W =n <strong>et</strong> le temps de relaxation de l’énergie définie par :0d( k) τ ( k )3dkm3kII- 4∫ ε × f × w d kBτ w =II- 63∫ ε × ( f − f ) d kOn obtient alors l’équation de conservation de l’énergie [4] :t∂Wr r 1+ divrFW− JE = − W −W∂tτB0w3( )Sans génération ni recombinaison <strong>et</strong> en statique (dW/dt=0), la puissance apportée par le champ est égale àla puissance dissipée par les interactions avec les phonons intervallée plus la diffusion <strong>du</strong> flux d’énergie.0II- 72.1.5. Relation de ferm<strong>et</strong>ure <strong>et</strong> approximationsDe la même manière que précédemment la méthode peut continuer jusqu’aux moments 3 (flux d’énergie),4, 5. La résolution numérique en sera d’autant plus compliquée <strong>et</strong> longue. Si l’on souhaite s’arrêter aumoment 2, pour résoudre le système des équations de conservation {II- 3, II- 5, II- 7}, il est nécessaire d<strong>et</strong>ronquer le système. Celui-ci ayant une inconnue en plus, le flux d’énergie F W , il est nécessaire d’exprimerc<strong>et</strong>te grandeur à partir des grandeurs précédentes, densité, vitesse <strong>et</strong> énergie. Dans un cas général à néquations, la troncature exprime l’inconnue n+1 avec les grandeurs précédentes. Ces troncaturesperm<strong>et</strong>tent alors de r<strong>et</strong>rouver les modèles suivants : Lorsque la relation de ferm<strong>et</strong>ure <strong>du</strong> système est à l’ordre 2, le flux de chaleur est exprimé enfonction de l’énergie <strong>et</strong> de la température. On obtiendra alors le modèle de Bløtekjaer ou appeléaussi « Hydrodynamic Model » (HDM), car similaire dans la forme avec les équations del’analyse des fluides.- 48 -

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