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Congrès de - Free.fr

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Posterslèle, le premier entretien est enregistré en audio, transcrit <strong>de</strong>façon standardisée, puis coté quantitativement par un évaluateurexterne à l’ai<strong>de</strong> du DMRS et du P-DMRS.Résultats : Les données sont en cours <strong>de</strong> recueil et d’analyse.Les résultats préliminaires seront présentés.PO 437EFFETS COMPORTEMENTAUX DESÉLÉCTROCONVULSIVE STIMULATIONS SURLE MODÈLE ANIMAL DE LA SOURIS STOP-KODALL’IGNA G. (1), SUAUD-CHAGNY M.F. (2),HOLTZMANN J. (1), ANDRIEUX A. (3)(1) CHU Grenoble, LA TRONCHE, FRANCE(2) CH Le Vinatier, LYON, FRANCE(3) Institut <strong>de</strong>s Neurosciences <strong>de</strong> Grenoble, GRENOBLE,FRANCELa souris STOP-KO est générée par invalidation du gènecodant pour la protéine STOP, protéine associée aux microtubules.Ce modèle animal constitue un modèle chronique<strong>de</strong> pathologie psychiatrique validé. L’ECT est un traitementutilisé en pratique clinique ayant démontré son efficacité.Cependant ses modalités d’action thérapeutique sont encorepeu connues et leur exploration a conduit à l’élaboration <strong>de</strong>sECS reproduisant le mo<strong>de</strong> opératoire <strong>de</strong> l’ECT chezl’animal. Dans cette étu<strong>de</strong>, nous avons exploré l’effet <strong>de</strong>sECS sur le comportement <strong>de</strong>s souris STOP-KO en comparantun groupe <strong>de</strong> souris STOP-KO et un groupe <strong>de</strong> sourissauvages à l’issue d’un traitement chronique par ECS.Matériel et métho<strong>de</strong> : L’analyse comportementale a étémenée <strong>de</strong> manière dimensionnelle en explorant la dimensionthymique au travers du test <strong>de</strong> nage forcée et la dimensionnégative au travers d’un test d’interaction sociale. Les testscomportementaux ont été effectués à différentes échéancesaprès une administration répétée d’ECS comportant10 séances. Il s’agit <strong>de</strong> <strong>de</strong>ux tests comportementaux danslesquels <strong>de</strong>s déficits sont documentés chez les souris STOP-KO en comparaison <strong>de</strong>s souris sauvages.Résultats : L’exploration sociale <strong>de</strong> l’intrus <strong>de</strong>s souris STOP-KO et <strong>de</strong>s souris sauvages n’est pas différente pendant unedizaine <strong>de</strong> jours après la fin <strong>de</strong>s ECS. Une différence significativeapparaît à J21 et se confirme un mois après la fin <strong>de</strong>sECS. Immédiatement après la fin <strong>de</strong>s ECS, les souris STOP-KO effectuent autant <strong>de</strong> comportements <strong>de</strong> « climbing » etse montrent moins immobiles que les souris sauvages aucours du test <strong>de</strong> nage forcée.Conclusion et perspectives : Ces résultats sont en faveurd’effets bénéfiques <strong>de</strong>s ECS chez les souris STOP-KO surl’interaction sociale apparentée à la dimension négative et surla composante motivation/résignation apparentée à la dimensionthymique. Ces données permettent d’envisager unepoursuite <strong>de</strong> l’étu<strong>de</strong> <strong>de</strong>s effets <strong>de</strong>s ECS sur ce modèle animal<strong>de</strong> neuroplasticité altérée. À terme la mise en perspective <strong>de</strong>seffets comportementaux et neurobiologiques permettraitd’apporter <strong>de</strong>s éléments <strong>de</strong> compréhension plus fine concernantles modalités d’action <strong>de</strong> l’ECT sur un système préalablementaltéré.PO 438L’UTILISATION DES RÉSEAUX SOCIAUX PARLES JEUNES MINEURSROMO L. (1), COEFFEC A. (1), LEPILLIET N. (2), CHEZE N. (1)(1) Université <strong>de</strong> Paris Ouest Nanterre La Défense, NAN-TERRE, FRANCE(2) Cabinet privé sur Hendaye, HENDAYE, FRANCECes <strong>de</strong>rnières années, l’intérêt croissant <strong>de</strong>s plus jeunes pourles réseaux sociaux nous fait nous interroger sur l’utilisationqu’ils en ont. Face à <strong>de</strong>s jeunes gens qui n’ont pas toujoursconscience <strong>de</strong> l’impact <strong>de</strong> ce qu’ils mettent sur la toile, nousavons souhaité explorer comment les jeunes utilisent cettenouvelle forme <strong>de</strong> communication, ainsi que les caractéristiques<strong>de</strong> ces jeunes quant à leur symptomatologie dépressive,leur estime <strong>de</strong> soi et leur satisfaction <strong>de</strong> vie. 393 élèvesmineurs <strong>de</strong> 13 à 17 ans (dont 53,9 % <strong>de</strong> garçons) <strong>de</strong>s collègeset lycées du sud-ouest <strong>de</strong> la France ont renseigné unquestionnaire sur l’utilisation <strong>de</strong>s réseaux sociaux. Ce questionnaireélaboré en s’inspirant <strong>de</strong> celui <strong>de</strong> K. Young surl’addiction à Internet, comprend 20 items qui ont trait à l’utilisation<strong>de</strong>s réseaux sociaux et ses éventuelles répercussions.Nous avons effectué une analyse en composantesprincipales pour les 17 premiers items du questionnaire etnous avons retenu <strong>de</strong>ux facteurs expliquant 43 % <strong>de</strong> lavariance totale. On constate que tous les items apparaissentsur le premier axe en une seule dimension globale et sur le<strong>de</strong>uxième axe on trouve quatre sous-dimensions (sauf unitem isolé) composées respectivement <strong>de</strong> 3 items concernantles échanges amicaux, <strong>de</strong> 5 items concernant le retraitsocial, 4 items concernant le temps passé sur les réseauxsociaux et 4 items concernant les problèmes familiaux et scolairesque cela peut poser. Concernant les 3 <strong>de</strong>rniers itemsqui ont été analysés séparément car les modalités <strong>de</strong> réponsessont différentes, on constate que les temps moyenspassés par jour sur les réseaux sociaux sont dépassés dansplus <strong>de</strong> la moitié <strong>de</strong>s cas. Les jeunes ont également réponduà <strong>de</strong>s questionnaires portant sur la symptomatologiedépressive (Center for Epi<strong>de</strong>miologic Studies DepressionScale), la satisfaction <strong>de</strong> vie (<strong>de</strong> Diener) et l’estime <strong>de</strong> soi (<strong>de</strong>Rosenberg). Nos résultats montrent que 13,3 % <strong>de</strong>s jeunesrapportent une symptomatologie dépressive sévère au cours<strong>de</strong> la semaine écoulée, 34,5 % ont une faible satisfaction <strong>de</strong>vie et 63,5 % une faible estime <strong>de</strong> soi.PO 439EMPATHIE, NEURONES MIROIRS : QUAND L’AUTREDEVIENT MOIAIOUEZ K., BENATMANE T.CHU Mustapha, ALGER, ALGÉRIEDimension fondamentale <strong>de</strong> toute relation thérapeutique,l’empathie, est cette capacité à comprendre les émotions etles sentiments <strong>de</strong>s autres en relation avec soi. Elle est unaspect important <strong>de</strong> la cognition sociale, modulé par l’attentionet la motivation. Elle présente 2 composantes : unecognitive et l’autre émotionnelle, aux corrélats neurologiquesséparés.171

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