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Congrès de - Free.fr

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PostersLe niveau d’insight est meilleur chez les patients ayant bénéficié<strong>de</strong> la psycho-éducation sur toutes les dimensions <strong>de</strong> laconscience du trouble.Conclusion : De nombreuses étu<strong>de</strong>s ont démontré un intérêtthérapeutique majeur <strong>de</strong> la psycho-éducation sur <strong>de</strong> nombreusesdimensions cliniques <strong>de</strong> la schizophrénie, aussi bienpour les patients que pour leur famille.Il s’agit d’une pratique encore peu répandue : il reste à surmonterles réticences et à développer ces interventions encomplément <strong>de</strong>s dispositifs <strong>de</strong> soins existants.PO 128QUALITÉ DE VIE DES PATIENTS SCHIZOPHRÈNES :ÉTUDE COMPARATIVE ENTRE PATIENTSSOUS NEUROLEPTIQUES CLASSIQUESET ANTIPSYCHOTIQUESTARIQ N., KADIRI M., BELBACHIR S., SEKKAT F.Z.Hôpital Arrazi, SALÉ, MAROCIntroduction : Si les neuroleptiques puis les antipsychotiquessont une révolution thérapeutique dans le traitement <strong>de</strong>s psychosesdont ils ont diminué la mortalité, ces <strong>de</strong>rniers sontaussi pourvoyeurs <strong>de</strong> nombreux effets secondaires au premierrang <strong>de</strong>squels figurent les symptômes extrapyramidaux.Dans la littérature, une différence nette est opérée entre neuroleptiques<strong>de</strong> première génération et antipsychotiques atypiquesen termes <strong>de</strong> modalité <strong>de</strong> prescription et d’effetssecondaires. Les neuroleptiques et antipsychotiques possè<strong>de</strong>ntun profil pharmacologique distinct. Aussi bien neuroleptiquesque antipsychotiques présentent <strong>de</strong>s effets secondairesqui peuvent altérer d’une manière ou d’une autre la qualité<strong>de</strong> vie <strong>de</strong>s patients.Objectif : Notre objectif est d’évaluer la qualité <strong>de</strong> vie <strong>de</strong>spatients schizophrènes traités par neuroleptiques classiqueset antipsychotiques et les comparer dans un second temps.Métho<strong>de</strong> : C’est une étu<strong>de</strong> sous forme d’enquête auprès <strong>de</strong>200 mala<strong>de</strong>s diagnostiqués schizophrènes selon les critèresdu DSM IV traités en hospitalier mais également en ambulatoirequi sont divisés en <strong>de</strong>ux groupes : dans le premier lespatients sont traités exclusivement par neuroleptiques classiqueset le second par antipsychotiques. Les <strong>de</strong>ux groupesont les mêmes caractéristiques socio-démographiques et lamême forme <strong>de</strong> schizophrénie. Leur qualité <strong>de</strong> vie a été évaluéepar l’échelle SF-36.Résultats : Les résultats <strong>de</strong> cette enquête sont en cours.PO 129PERCEPTION PAR LA COMMUNAUTÉ DU DISCOURSDE PATIENTS ATTEINTS DE SCHIZOPHRÉNIECHAMPAGNE-LAVAU M. (1), LIENHART A.S. (2), GIRER J. (2),D’IMPERIO M. (2), WILQUIN H. (2)(1) CNRS UMR 6057, AIX-EN-PROVENCE, FRANCE(2) Aix-Marseille Université, AIX-EN-PROVENCE, FRANCELa cognition sociale joue un rôle critique dans notre capacitéà interagir et à communiquer avec les autres (Champagne-Lavau et al., 2006 ; 2009). Pour cette raison, <strong>de</strong>s troubles <strong>de</strong>cette capacité dans la schizophrénie entraînent souvent unedésinsertion sociale marquée et une rupture avec le systèmeéducatif et le mon<strong>de</strong> professionnel. De nombreuses étu<strong>de</strong>sont montré <strong>de</strong>s perturbations <strong>de</strong> la cognition sociale dans laschizophrénie, évaluant dans la majorité <strong>de</strong>s cas l’aspect perception/compréhensionplutôt que production (Couture et al.,2006). Pourtant, au niveau <strong>de</strong> la production, le contenu dudiscours mais aussi la prosodie reflètent <strong>de</strong>s informations surle locuteur.L’objectif <strong>de</strong> cette étu<strong>de</strong> est <strong>de</strong> déterminer si la parole et lecontenu du discours <strong>de</strong>s individus atteints <strong>de</strong> schizophréniecontribuent à l’impression sociale négative que les gens ont<strong>de</strong> la schizophrénie. Il s’agit dans un second temps <strong>de</strong> déterminerquels sont les critères (prosodie et/ou contenu du discours)susceptibles d’engendrer cette impression.Deux étapes ont été développées pour répondre à cet objectif.Dans une première étape, un groupe <strong>de</strong> 10 participantsatteints <strong>de</strong> schizophrénie et un groupe <strong>de</strong> 10 participants contrôlessains appariés en âge, en niveau d’éducation et engenre ont été enregistrés alors qu’ils racontaient une histoireà partir d’une image. Dans une <strong>de</strong>uxième étape, un groupe<strong>de</strong> 20 participants sains ignorant la provenance <strong>de</strong>s discours<strong>de</strong>vaient écouter et juger (sur une échelle <strong>de</strong> 1 à 7) les discoursproduits par les individus avec schizophrénie et sansschizophrénie selon <strong>de</strong>s critères <strong>de</strong> forme (impressions concernantle locuteur) et <strong>de</strong> contenu linguistique. Une analyseacoustique <strong>de</strong>s productions a aussi été réalisée.Les résultats <strong>de</strong> cette étu<strong>de</strong> montrent une différence <strong>de</strong> perceptionentre les <strong>de</strong>ux groupes <strong>de</strong> narrateurs. Cette différencetémoigne d’une impression plus négative à l’égard <strong>de</strong>snarrateurs atteints <strong>de</strong> schizophrénie et semble d’autant plusmarquée que l’évaluation porte sur la narration plutôt que surl’impression que l’on se fait du locuteur. Cependant, certainsaspects <strong>de</strong> la prosodie semblent pouvoir rendre compte <strong>de</strong>ces différences <strong>de</strong> perception.PO 130LES FACTEURS INFLUENCANT L’OBSERVANCETHÉRAPEUTIQUE DANS LA SCHIZOPHRÉNIEFEKIH-ROMDHANE F., BEN ASSI W., MAAMRI A.,HADJ-SALEM M., ELLOUMI H., CHEOUR M.Hôpital Razi, TUNIS, TUNISIEIntroduction : L’observance thérapeutique se définit commele suivi effectif et précis par le patient <strong>de</strong>s prescriptions médicales.Le défaut d’observance représente une problématiqueimportante dans la prise en charge <strong>de</strong>s maladies mentaleset, en particulier, dans la schizophrénie. Elle met en jeu <strong>de</strong>multiples déterminants : pharmacologiques, environnementaux,sociaux, psychologiques…Objectif : Nous sommes proposés à travers ce travail d’étudiercertaines composantes entrant en jeu dans la mauvaiseobservance.Matériel et métho<strong>de</strong>s : Il s’agit d’une étu<strong>de</strong> prospective transversalequi a concerné 36 patients <strong>de</strong> sexe masculin répondantaux critères <strong>de</strong> DSM IV <strong>de</strong> « schizophrénie ». Nousavons utilisé :61

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