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1er octobre 2012 - INESSS

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Principaux résultats concernant les exacerbations modérées et graves de l’analyse de<br />

Bateman (2011)<br />

Population<br />

Tous les sujets<br />

Sous-groupes<br />

Sujets recevant un BALA<br />

Sujets ne recevant pas de BALA<br />

Sujets ayant eu < 2 exacerbations<br />

au cours de l’année précédente<br />

Sujets ayant eu ≥ 2 exacerbations<br />

au cours de l’année précédente<br />

Groupes<br />

(n)<br />

Roflumilast<br />

(n = 1 537)<br />

Placebo<br />

(n = 1 554)<br />

Roflumilast<br />

(n = 749)<br />

Placebo<br />

(n = 793)<br />

Roflumilast<br />

(n = 788)<br />

Placebo<br />

(n = 761)<br />

Roflumilast<br />

(n = 1 124)<br />

Placebo<br />

(n = 1 137)<br />

Roflumilast<br />

(n = 413)<br />

Placebo<br />

(n = 417)<br />

Nombre<br />

moyen/patient/<br />

année<br />

Différence<br />

absolue<br />

% de réduction du<br />

risque c. placebo<br />

(valeur p)<br />

Veuillez prendre note que les informations caviardées sont des renseignements qui nous sont fournis par le fabricant<br />

et qui sont jugés confidentiels. Conséquemment, nous ne pouvons les publier en raison des restrictions prévues à la<br />

Loi sur l’accès aux documents des organismes publics et sur la protection des renseignements personnels (L.R.Q.,<br />

chapitre A-2.1).<br />

1,14<br />

1,37<br />

1,23<br />

1,55<br />

1,00<br />

1,17<br />

0,96<br />

1,15<br />

1,51<br />

0,23<br />

0,32<br />

0,17<br />

0,19<br />

0,43<br />

17 %<br />

(p = 0,0003)<br />

21 %<br />

(p = 0,001)<br />

15 %<br />

(p = 0,04)<br />

17 %<br />

(p = 0,006)<br />

22 %<br />

(p = 0,002)<br />

Cette analyse, effectuée à partir des données provenant d’études reconnues, possède une<br />

méthodologie acceptable. Les résultats démontrent que le roflumilast entraine une réduction<br />

plus importante des exacerbations modérées et graves chez les personnes traitées avec un<br />

BALA comparativement à celles qui n’en reçoivent pas. Ces données de sous-groupes,<br />

rapportées également dans la publication de Rabe, ont déjà été appréciées par l’<strong>INESSS</strong>;<br />

l’efficacité du roflumilast était jugée cliniquement modeste. Par ailleurs, les données montrent<br />

que le roflumilast procure un bénéfice clinique supérieur chez les patients qui présentent des<br />

poussées fréquentes d’exacerbations (≥ 2 exacerbations au cours de l’année précédente)<br />

comparativement à ceux qui en ont moins. Or, lors de l’évolution clinique de la MPOC, il est<br />

reconnu qu’un historique d’exacerbations est un facteur prédictif de la survenue d’éventuelles<br />

exacerbations (Hurst 2010). De l’avis d’experts, un sujet qui présente deux exacerbations ou<br />

plus par année est jugé comme quelqu’un qui subit fréquemment des exacerbations. Ainsi,<br />

cette dernière analyse de sous-groupes vient répondre à l’un des questionnements soulevés<br />

lors de l’évaluation précédente quant à l’effet du roflumilast selon la fréquence des<br />

exacerbations. Notons toutefois que ces résultats sont obtenus en absence de comparaison<br />

contre un corticostéroïde inhalé.<br />

En ce qui concerne le rapport non publié, celui-ci présente les résultats d’analyses effectuées<br />

chez différents sous-groupes de sujets qui s’ajoutent à ceux de l’analyse précédente. Les<br />

données d’efficacité, pour le roflumilast et le placebo, proviennent des études de la publication<br />

1,94<br />

123

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