23.06.2013 Views

Mgr Delassus – La Conjuration anti-chrétienne - Bibliothèque de ...

Mgr Delassus – La Conjuration anti-chrétienne - Bibliothèque de ...

Mgr Delassus – La Conjuration anti-chrétienne - Bibliothèque de ...

SHOW MORE
SHOW LESS

You also want an ePaper? Increase the reach of your titles

YUMPU automatically turns print PDFs into web optimized ePapers that Google loves.

Haute Maçonnerie internationale, Herz figurait au 1er mars 1881 dans la liste <strong>de</strong>s Inspecteurs généraux avec cette mention<br />

« Pour les relations générales d’Angleterre, France et Allemagne. »<br />

« Quant à leur action, et à leur influence dans le socialisme contemporain, dit encore Bernard <strong>La</strong>zare, elle fut et elle<br />

est, on le sait, fort gran<strong>de</strong> ». Bien qu’il ne nous apprenne rien, ce juif ne se fait pas faute <strong>de</strong> donner les preuves <strong>de</strong> son<br />

assertion, en montrant chez tous les peuples les partis socialistes, internationialistes, nihilistes, fondés par les juifs ou du<br />

moins soutenus par eux.<br />

Il vient <strong>de</strong> nous les faire voir dans les loges et les arrière-loges, il dit ailleurs : « Il est certain qu’il y eut <strong>de</strong>s juifs au<br />

berceau même <strong>de</strong> la Franc-Maçonnerie, <strong>de</strong>s juifs kabbalistes, ainsi que le prouvent certains rites conservés. Très probablement<br />

pendant les années qui précédèrent la Révolution française, ils entrèrent en plus grand nombre encore dans les<br />

conseils <strong>de</strong> cette société et fondèrent eux-mêmes <strong>de</strong>s socibtés secrètes. » C’est-à-dire <strong>de</strong>s arrière-loges, pour <strong>de</strong> là, dominer,<br />

inspirer et diriger toute la secte.<br />

Après cela nos lecteurs conviendront que l’Univers israélite n’a rien dit <strong>de</strong> trop dans son numéro du 26 juillet 1907 (p.<br />

585) : «On rencontre à presque tous les grands changements <strong>de</strong> la pensée une action juive, soit éclatante et visible, soit<br />

sour<strong>de</strong> et latente. Ainsi, l’histoire juive longe l’histoire universelle sur toute son étendue et la pénètre par mille trames.»<br />

Dans son livre : Le judaïsme et la judaïsation <strong>de</strong>s peuples chrétiens, M. Gougenot <strong>de</strong>s Moussaux raconte ce qui suit<br />

(Page 367).<br />

Un <strong>de</strong> nos amis, homme d’Etat, au service <strong>de</strong> la gran<strong>de</strong> puissance germanique, un <strong>de</strong> ces rares protestants qui sont<br />

restés fidèles à la dévotion du Christ, nous écrivait au mois <strong>de</strong> décembre 1865 :<br />

« Depuis la recru<strong>de</strong>scence révolutionnaire <strong>de</strong> 1848, je me suis trouvé en relations avec un juif, qui, par vanité, trahissait<br />

le secret <strong>de</strong>s sociétés secrètes auxquelles il était associé et qui m’avertissait huit à dix jours d’avance <strong>de</strong> toutes les<br />

révolutions qui allaient éclater sur un p oint quelconque <strong>de</strong> l ’Europe. Je lui dois l’inébranlable conviction que t ous ces<br />

grands mouvements « <strong>de</strong>s peuples opprimés » etc., etc., sont combinés par une <strong>de</strong>mi-douzaine d’individus qui donnent<br />

leurs ordres aux sociétés secrète <strong>de</strong> l’Europe entière :<br />

« Le sol est tout à fait miné sous nos pieds. »<br />

Il ne faut point plus <strong>de</strong> preuves que nous venons d’en donner, - et elles pourraient être multipliées -pour établir que<br />

<strong>de</strong>puis le commencement <strong>de</strong> l’ère <strong>chrétienne</strong>, le juif a été et est vraiment en toutes choses et sur tous les points le grand<br />

révolutionnaire et le grand hérésiarque. Il détruit pour détruire, par haine <strong>de</strong> ce qui existe, mais aussi dans l’espoir<br />

d’édifier sur ces ruines le Temple que nous avons dit la Jérusalem <strong>de</strong> nouvel ordre, assise entre l’Orient et l’Occi<strong>de</strong>nt<br />

pour se substituer à la double cité <strong>de</strong>s Césars et <strong>de</strong>s Papes, c’est-à-dire la République universelle et la Religion humanitaire<br />

dont il veut être le pontife et le souverain.<br />

CHAPITRE XLVIII - LES JUIFS : LE TERME DE LEUR AMBITION<br />

Pour annoncer le règne du Messie futur, les prophètes avaient employé <strong>de</strong>s expressions grandioses qui, à première<br />

vue, pouvaient éveiller l’idée d’une domination temporelle. A l’époque <strong>de</strong> Notre-Seigneur, ces prophéties recevaient généralement<br />

<strong>de</strong>s docteurs une interprétation conforme à cette idée le Messie doit être un roi temporel et sa royauté une<br />

domination terrestre. A sa venue, les puissances adverses doivent s’élever contre lui, et leur extermination doit se faire<br />

par les armes. On lit dans les Targums <strong>de</strong> Jonathan sur Isaïe : « Les peuples sont broyés par le Roi messie ». <strong>La</strong> conséquence<br />

<strong>de</strong> cette lutte victorieuse était, dans la pensée <strong>de</strong>s juifs <strong>de</strong> c e temps, l’établissement à J érusalem d’un grand<br />

royaume fondé par Dieu lui-même et qui <strong>de</strong>vait dominer le mon<strong>de</strong> entier. Saint Jérôme (In Joêl, III, 8) rappelle ces idées<br />

éncore en faveur parmi les Israélites <strong>de</strong> son époque.<br />

Ces idées sur le futur royaume palestinien entrèrent jusque dans le mon<strong>de</strong> païen et furent signalées par Tacite (Hist.<br />

V, 13) et Suétone (Vespas., 4).<br />

C’est ce qui explique comment à la suite <strong>de</strong> la multiplication <strong>de</strong>s pains, les Galiléens crurent avoir trouvé en Jésus le<br />

Messie temporel qu’ils attendaient et songèrent à s’emparer <strong>de</strong> Lui pour le faire roi (Joan. VI, 15). C’est ce qui explique<br />

également l’indignation <strong>de</strong>s juifs <strong>de</strong>vant la prétention <strong>de</strong> Jésus à être le Fils <strong>de</strong> Dieu, alors qu’il semblait à leur orgueil si<br />

méprisable et qu’ils ne voyaient en Lui aucune aptitu<strong>de</strong> à réaliser les aspirations nationales.<br />

<strong>La</strong> ruine <strong>de</strong> Jérusalem, leur dispersion dans le mon<strong>de</strong>, ne fit point perdre aux juifs leurs espérances.<br />

Saint Jérôme, qui connaissait à fond les doctrines judaïques, dans son commentaire sur la prophétie <strong>de</strong> Daniel qui<br />

montre la petite pierre se détachant du haut <strong>de</strong> la montagne pour briser la statue <strong>de</strong> Nabuchodonosor, écrit : « Les juifs<br />

tournent ce passage à leur avantage, et refusent <strong>de</strong> reconnaître le Christ dans cette pierre. Elle ne désigne pour eux que<br />

le peuple d’Israël <strong>de</strong>venu tout d’un coup assez fort pour renverser tous les royaumes <strong>de</strong> la terre et fon<strong>de</strong>r sur leurs ruines,<br />

son empire éternel. »<br />

Cette idée, cette espérance, cette conviction d’ètre la « première aristocratie du mon<strong>de</strong> » et <strong>de</strong> tirer <strong>de</strong> là, le droit à<br />

l’universelle domination est, a toujours été le centre <strong>de</strong> toutes leurs pensées. Saint Jérôme vient <strong>de</strong> nous dire ce qu’ils<br />

pensaient d’eux-mêmes au IVe siècle, au XVe, le docte rabbin Abrahanel, ministre <strong>de</strong>s finances, en Espagne et en Portugal,<br />

sous Ferdinand le catholique, annonçait dans ses commentaires sur Jérémie (chap. XXX) le prochain avènement<br />

et règne du Messie où s’accomplira l’extermination <strong>de</strong>s chrétiens et <strong>de</strong>s gentils. Et Reuchlin à la même époque, disait<br />

aussi : « Les juifs atten<strong>de</strong>nt avec impatience le bruit <strong>de</strong>s armes, les guerres et la ruine <strong>de</strong>s royaumes. Leur espoir est celui<br />

d’un triomphe semblable à celui <strong>de</strong> Moïse sur les Chananéens et qui serait le prélu<strong>de</strong> d’un glorieux retour à Jérusalem,<br />

rétablie dans son <strong>anti</strong>que splen<strong>de</strong>ur. Ces idées sont l’âme <strong>de</strong>s commentaires rabbiniques sur les prophètes. Elles ont été<br />

traditionnellement transmises et inculquées dans l’esprit <strong>de</strong> cette nation. Et ainsi, <strong>de</strong> tout temps, les Israélites se sont<br />

préparés à cet événement, terme suprême <strong>de</strong>s aspirations <strong>de</strong> la race juive. »<br />

De nos jours, Bernamd <strong>La</strong>zare a aussi dit <strong>de</strong> ceux nie sa race : « Peuple énergique, vivace, d’un orgueil infini, se considérant<br />

comme supérieur aux autres nations, le peuple juif voulut être une puissance. Il avait instinctivement le goût <strong>de</strong><br />

la domination, puisque par ses origines, par sa religion, prar sa qualité <strong>de</strong> race élue qu’il s’était <strong>de</strong> tout temps attribuée, il<br />

se croyait placé au-<strong>de</strong>ssus <strong>de</strong> tous. Pour exercer cette autorité, les juifs n’eurent pas le choix <strong>de</strong>s moyens. L’or leur don-<br />

161

Hooray! Your file is uploaded and ready to be published.

Saved successfully!

Ooh no, something went wrong!