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Mgr Delassus – La Conjuration anti-chrétienne - Bibliothèque de ...

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précautions. Quelques publicistes influents frappés <strong>de</strong> l ’excessive proportion <strong>de</strong> J uifs qui se trouve parmi, les multimillionnaires<br />

et surtout parmi les parlementaires et les directeurs <strong>de</strong> journaux ont commencé la campagne <strong>anti</strong>sémitique.<br />

En Allemagne, en Russie, les Juifs sont légalement exclus <strong>de</strong>s rangs <strong>de</strong>s officiers. En Autriche, en Espagne, en Italie<br />

même, la tradition, à défaut <strong>de</strong> loi, s’oppose le plus souvent à l’admission, parmi les officiers, <strong>de</strong>s membres <strong>de</strong> la race<br />

juive. On sait ce qu’il en coûte à la France pour n’avoir point tenu compte <strong>de</strong> cette sagesse <strong>de</strong>s nations.<br />

Les nations <strong>chrétienne</strong>s échapperont à la domination du juif dans in mesure où elles sortiront <strong>de</strong> la politique cosmopolite<br />

pour rentrer dans la politique nationale.<br />

Or, qui ne le voit ? <strong>La</strong> p olitique sérieusement nationale relègue les juifs au second plan. Les fils d’Israël forment,<br />

comme les francs-maçons leurs alliés ou leurs écuyers servants, une coterie secrète dans la gran<strong>de</strong> société nationale.<br />

Dès lors, ils ne peuvent être les organes <strong>de</strong> la vie <strong>de</strong> cette société nationale. Les fonctions publiques doivent être confiées<br />

en Angleterre, à <strong>de</strong>s Anglais, en Allemagne à <strong>de</strong>s Allemands, en France à <strong>de</strong>s Français. Il ne suffit point que les<br />

fonctionnaires publics appartiennent légalement à la nation par un artifice d’écritures; il faut qu’ils appartiennent à l’âme<br />

<strong>de</strong> la nation par les ancêtres, par les services rendus, par un patriotisme éprouvé.<br />

Car ce ne sont point seulement les intérêts privés qui sont en péril par la situation privilégiée faite aux Juifs <strong>de</strong> nos<br />

jours, les intérêts nationaux ne le sont pas moins.<br />

Disraëli que nous venons <strong>de</strong> nommer dans son livre Coningsby, (p. 183-184; traduction française, p. 148 et suiv.) a<br />

exposé, en 1844, avec une indicible complaisance la supériorité croissante que la race juive prend en Europe et comment<br />

elle prépare son règne universel.<br />

A la suite <strong>de</strong> luttes taille fois répétées..., le poids <strong>de</strong> quinze cents ans <strong>de</strong> servitu<strong>de</strong> surnaturelle s’est abattu sur nos<br />

têtes. Mais, loin d’être brisés sous ce far<strong>de</strong>au d’oppression et d’ignominies, nous nous sommes joués <strong>de</strong>s efforts <strong>de</strong><br />

l’invention humaine, qui s’épuisait vainement à nous perdre... Les juifs ! Les juifs ! Est-ce que jamais vous verrez se prononcer<br />

en Europe nu mouvement <strong>de</strong> quelque importance, sans que les juifs n’y figurent pour leur large part?<br />

... Cette diplomatie russe, si pleine <strong>de</strong> mystères; et <strong>de</strong>vant laquelle pâlit l’Europe occi<strong>de</strong>ntale tout entière, qui<br />

l’organise et la dirige ? Des juifs ! <strong>La</strong> puissante révolution qui se prépare et se brasse en Allemagne, où, <strong>de</strong> fait, elle sera<br />

bientôt une secon<strong>de</strong> réforme, plus considérable que la première, sous quels auspices prend-elle la plénitu<strong>de</strong> <strong>de</strong> son développement<br />

? Sous les auspices du juif. A qui dans l’Allemagne est échu le monopole presque complet <strong>de</strong> toutes les<br />

chaires professorales ? Néandre, le fondateur du catholicisme spirituel, et Régius, le professeur <strong>de</strong> théologie <strong>de</strong><br />

l’Université <strong>de</strong> Berlin, ne sont-ce pas <strong>de</strong>ux juifs ? Bénary, cette illustration <strong>de</strong> la même Université, c’est bien un juif, n’estce<br />

pas ? Et c’est un juif encore que Wehl, le professeur d’Hei<strong>de</strong>lherg... En un mot, quel est le nom <strong>de</strong>s professeurs allemands<br />

<strong>de</strong> race judaïque ? Ce nom, c’est légion !<br />

Lors <strong>de</strong> mon arrivée à Saint-Pétersbourg, j’eus une entrevue avec le ministre <strong>de</strong>s finnaces <strong>de</strong> Russie, le comte Cancrim;<br />

c’était le fils d’un juif <strong>de</strong> Lithuanie.<br />

En Espagne, j’avais obtenu du ministre Mendizabal une audience, Mendizabal est ce que je suis moi-même, le fils<br />

d’un juif, d’un converti <strong>de</strong> la province d’Aragon.<br />

A Paris, je voulus prendre avis du prési<strong>de</strong>nt du conseil, et j’eus <strong>de</strong>vant les yeux un héros, un maréchal <strong>de</strong> l’Empire,<br />

(celui qui faillit un jour s’asseoir sur le trône <strong>de</strong> Portugal), en un mot le fils d’un juif français, Soult. Eh quoi, Soult, un juif ?<br />

Oui, sans doute, ainsi que plusieurs autres maréchaux <strong>de</strong> l’empire, en tête <strong>de</strong>squels Masséna, qui chez nous se nomme<br />

Manasseh...<br />

Je quittai Paris pour Berlin, et le ministre que j’eus à visiter n’était autre qu’un juif prussien…Ce mon<strong>de</strong> est gouverné<br />

par <strong>de</strong> tout autres personnages que ne se le figurent ceux qui ne voient pas ce qui se passe <strong>de</strong>rrière les coulisses…<br />

Donc, en 1844, les ministères <strong>de</strong>s plus grands pays <strong>de</strong> l’Europe étaient dirigés non par leurs souverains, mais par <strong>de</strong>s<br />

juifs. C’est un premier ministre d’Angleterre qui nous l’affirme et le démontre.<br />

Depuis cette date, la puissance du juif n’a fait que croître.<br />

Ils tiennent enserrée, à l’heure qu’il est, comme dans un réseau, toute la société <strong>chrétienne</strong>, » écrivait en 1868 le Père<br />

Ratisbonne, juif <strong>de</strong> naissance.<br />

Un autre Anglais, M. Houston-Steward Chamberlain, fixé à Vienne, en Autriche, a publié récemment un livre : Les Assises<br />

<strong>de</strong> la civilisation, qui a obtenu en Allemagne un foudroyant succès. Guillaume II, après l’avoir dévoré, l’a lu à haute<br />

voix à sa famille et en a distribué à droite et à gauche plusieurs dizaines d’exemplaires.<br />

M. Chamberlain n’a pas plus <strong>de</strong> religion qu’il n’a <strong>de</strong> patrie. Il ne tient qu’à une chose, à sa qualité d’Européen. Il est<br />

<strong>anti</strong>sémite, sans qu’il soit fanatique <strong>de</strong> l’idée <strong>de</strong> race, parce que l’intelligence, les façons <strong>de</strong> penser du Juif lui ont paru<br />

ennemies <strong>de</strong>s siennes, et parce que l’organisation politique <strong>de</strong>s Juifs secon<strong>de</strong> dangereusement leurs attaqnes contre la<br />

culture et la civilisation occi<strong>de</strong>ntate.<br />

C’est l’étu<strong>de</strong>, la réflexion, l’observation qui ont conduit M. Chamberlin à ce point <strong>de</strong> vue.<br />

Un jour, est venu, dit-il, après bien <strong>de</strong>s années d’étu<strong>de</strong>s indépendantes et désintéressées, où j e me suis aperçu<br />

qu’une force, dans le mon<strong>de</strong> contemporain, travaille contre moi, s’applique à détruire tout ce qui m’est précieux, tout ce<br />

qui constitue une personne, tout ce que mes prédécesseurs m’ont légué et ce que je tiens à léguer aux miens. Ce jour-là,<br />

une gran<strong>de</strong> frayeur est tombée sur moi. »<br />

************************************************************<br />

XII. - LE COLLECTIVISME ET L’HÉGÉMONIE D’ISRAEL.<br />

L’écrivain juif Bernard <strong>La</strong>zare n écrit ce qui suit en parlant <strong>de</strong> ses coreligionnaires<br />

« Quant à leur action et à leur influence dans le socialisme contemporain, elle fut et elle est, ou le snit, fort gran<strong>de</strong>.<br />

C’est Marx 1 qui donna l’impulsion à l ’Internationale par le manifeste <strong>de</strong> 1 847, rédigé par lui et Engels; non qu’ on<br />

puisse dire qu’il « fonda » l’internationale, ainsi que l’ont affirmé ceux qui considèrent toujours l’Internationale comme une<br />

1 Bernard <strong>La</strong>zare dit ailleurs<br />

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