Mgr Delassus – La Conjuration anti-chrétienne - Bibliothèque de ...
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Quand la victoire sera définitive ; les peuples accepteront la foi juive, mais les chrétiens seuls ne participeront pas à<br />
cette grâce; ils seront au contraire entièrement exterminés, car ils <strong>de</strong>scen<strong>de</strong>nt du diable.<br />
Un juif est <strong>de</strong> la substance <strong>de</strong> Dieu; et un non-juif qui frappe un juif mérite la mort.<br />
8° Les juifs seuls sont <strong>de</strong>s hommes, les autres nations ne sont que <strong>de</strong>s variétés d’animaux. Le chien vaut mieux que<br />
le non-juif. Les non-juifs sont non seulement <strong>de</strong>s chiens, mais <strong>de</strong>s ânes. Les âmes <strong>de</strong>s non-juifs viennent <strong>de</strong> l’esprit impur,<br />
et les âmes d’Israël, viennent <strong>de</strong> l’esprit <strong>de</strong> Dieu.<br />
9° Les non-juifs n’ont été créés que pour servir les juifs nuit et jour, sans se détourner <strong>de</strong> leur service.<br />
10° Il est défendu au juif <strong>de</strong> louer la science ou la vertu d’un chrétien 1 .<br />
11° Il n’est pas juste d’user <strong>de</strong> miséricor<strong>de</strong> envers ses ennemis.<br />
12° L’homme (le juif) doit en tout temps être rusé.<br />
13° Le juif peut dire au non-juif qu’il l’aime s’il le juge nécessaire et s’il a peur.<br />
14° Le juif peut être hypocrite avec le non-juif.<br />
15° Les enfants d’Abraham sont les juifs; les enfants <strong>de</strong> Noé sont les non-juifs.<br />
16° Dieu donna toute puissance aux juifs sur les biens et le sang <strong>de</strong> tous les peuples.<br />
17° Un non-juif qui vole un juif. Serait-ce moins qu’une obole, doit être mis à mort. Par contre, il est permis à un juif <strong>de</strong><br />
faire du tort à un non-juif. Dépouiller un païen, est une chose permise.<br />
18° Si la vigne appartient à un étranger, apporte-moi le raisin; si elle est à un juif, n’y touche pas. L’argent du non-juif<br />
est un bien sans maître, en sorte que le juif a le droit d’en prendre possession. Le bien <strong>de</strong>s Chrétiens est pour le juif<br />
comme un bien abandonné, comme le sable <strong>de</strong> la mer; le premier qui s’en empare est le véritable possesseur.<br />
19° Tu peux tromper un étranger et exercer l’usure sur lui.<br />
20° Quand, dans un pays où les juifs gouvernent, un juif a un procès avec un non-juif, tu fais gagner ton frère et tu dis<br />
à l’étranger « Ainsi le veut notre loi. » Dans les pays où les lois <strong>de</strong>s peuples sont favorables aux juifs, tu fais encore gagner<br />
ton frère et tu dis à l’étranger « Ainsi le veut votre loi. » Si les juifs ne sont pas maîtres du pays ou s’ils n’ont pas la<br />
loi pour eux, alors il faut circonvenir les étrangers au moyen d’intrigues, jusqu’à ce que le gain reste au juif.<br />
21° Si quelqu’un rend à un chrétien ce qu’il a perdu, Dieu ne lui pardonnera pas. Il est défendu <strong>de</strong> rendre à un Goym<br />
ce qu’il a perdu. Celui qui rend au non-juif ce qu’il a perdu commet un péché. Celui qui aime un chrétien hait son propre<br />
créateur.<br />
22° Dieu nous n ordonné d’exercer l’usure envers le non-juif, <strong>de</strong> façon que nous ne lui prêtions pas assistance, mais<br />
qu’au contraire nous lui fassions du tort 2 .<br />
23° Extermine le meilleur d’entre les non-juifs. Ote la vie au plus honnête <strong>de</strong>s idolâtres.<br />
24° Si un païen tombe dans une fosse, on recouvre la fosse avec une pierre, et on doit rendre vains tous les moyens<br />
qu’il peut employer pour en sortir. Quand on le voit tomber dans une rivière ou en danger <strong>de</strong> mort, on ne doit pas le sauver.<br />
Maimoni<strong>de</strong>s enseigne <strong>de</strong> frapper <strong>de</strong> mort tout non-juif quand on en n le pouvoir. Il est juste d’exterminer <strong>de</strong> sa main<br />
tout hérétique; celui qui répand le sang <strong>de</strong>s impies offre un sacrifice à Dieu. (Sous le nom d’impies, on comprend Jésus et<br />
ses partisans). Ceux qui nient l’enseignement d’Israël, particulièrement les a<strong>de</strong>ptes du Nazaréen, doivent être mis à mort,<br />
et c’est toujours une bonne oeuvre que <strong>de</strong> les exécuter si on ne le peut pas, on doit tâcher d’occasionner leur mort. Mais<br />
celui qui tue une âme d’Israël sera jugé comme s’il avait tué le mon<strong>de</strong> entier. Si un juif peut tromper les non-juifs et leur<br />
faire croire qu’il est lui-même un non-juif, cela lui est permis, etc., etc 3 .<br />
Par respect pour nos lecteurs, nous nous abstenons <strong>de</strong> reproduire ce que le Talmud enseigne, conseille, prescrit aux<br />
juifs en ce qui regar<strong>de</strong> le sixième comman<strong>de</strong>ment <strong>de</strong> Dieu. Ceux qui désireraient connaître le Talmud <strong>de</strong> plus près peuvent<br />
lire dans l’ouvrage <strong>de</strong> Gougenot <strong>de</strong>s Mousseaux, le chapitre IV et le chapitre V avec ses cinq divisions.<br />
Un pareil co<strong>de</strong> fut et <strong>de</strong>vait être la source <strong>de</strong> la dégradation du peuple juif et aussi <strong>de</strong> la haine et du mépris dont les<br />
autres peuples l’ont accablé.<br />
L’homme agit en toutes choses d’après sa croyance. Ce qu’il croit avec sincérité passe, au jour le jour, et souvent à<br />
son insu, dans ses actes. <strong>La</strong> foi d’un croyant est la raison <strong>de</strong> ses moeurs et la source <strong>de</strong> sa morale. Chez les juifs où,<br />
pendant une longue suite <strong>de</strong> siècles la foi et la loi ne furent qu’une seule et même chose, chez ce peuple qui ne vivait<br />
que par sa religion, le Talmud fut le provocateur suprême <strong>de</strong>s moeurs les plus <strong>anti</strong>sociales.<br />
************************************************************<br />
II. - LETTRE DE SIMONINI A BARRUEL.<br />
Parmi les papiers laissés par Barruel se trouve la copie faite par lui d’une lettre à lui adressée <strong>de</strong> Florence le 5 août<br />
1806 et parvenue le 20 à Paris. L’original, comme on le verra, fut envoyé au Pape Pie VII. D’autres copies authentiques<br />
en furent faites et adressées à plusieurs évêques. Un correspondant <strong>de</strong> la Vérité trouva l’une d’elles, il y a une vingtaine<br />
d’années, dans les archives d’un évêché et en envoya copie à la rédaction le 2 octobre 1893.<br />
1<br />
Les juifs observent rigoureusement ce précepte du Talmud; jamais une plume tenue par un juif n’a loué que les paroles ou les écrits<br />
<strong>de</strong>s juifs.<br />
2<br />
Il faut lire tout le chapitre sur l’usure pour voir comment les Juifs dressent leurs enfants à l’usure.<br />
3<br />
Le docteur Rohling n offert 10.000 fr. à celui qui démontrerait que les thèses incriminées ne se trouvent pas dans le Talmud; jusque<br />
maintenant aucun Juif n’a accepté la gageure. Le journal Mercure <strong>de</strong> Westphalie, qui avait fait connaître ces doctrines dans une brochure<br />
intitulée : Le Miroir <strong>de</strong>s Juifs, fut acquitté par jugement du 10 décembre 1883. Divers autres journaux, poursuivis en Allemagne<br />
du chef d’attaques contre les Juifs, ont été acquittés. Dans un <strong>de</strong> ces procès, un rabbin juif a déclaré que la doctrine du Talmud liait<br />
tous les Juifs.<br />
En 1888, la vaillante feuille catholique, le Luxemburger Wort, rédigée par M. Welter, publia une série d’articles établissant que<br />
l’opposition que les Juifs ont rencontrée dans tous les pays et dans tous les temps vient surtout du Talmud. Le rabbin <strong>de</strong> Luxembourg,<br />
M. Blumenstem, adressa une plainte au procureur d’Etat et l’affaire fut poursuivie <strong>de</strong>vant le tribunal correctionnel <strong>de</strong> Luxembourg. Le<br />
défenseur fit observer que dans les <strong>de</strong>rnières années plus <strong>de</strong> trois cents ouvrages avaient été publiés sur la question juive, et que le<br />
résultat <strong>de</strong> cette discussion n’avait pas été favorable aux Juifs: que la plupart <strong>de</strong>s auteurs avaient déclaré que les griefs dirigés contre<br />
les Juifs avaient leur fon<strong>de</strong>ment dans le Talmud: et que l’on s’accordait à reconnaître que la morale du Talmud est dangereuse pour la<br />
société et qu’elle légitime la campagne <strong>anti</strong>sémitique.<br />
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