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Mgr Delassus – La Conjuration anti-chrétienne - Bibliothèque de ...

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société secrète dont les Juifs fureut les chefs, car bien <strong>de</strong>s causes amenèrent la constitution <strong>de</strong> l ’Internationale, mais<br />

Marx fut l’instigateur du meeting ouvrier tenu à Londres en 1864, et d’où sortit l’Association. Les Juifs y furent nombreux,<br />

et dans le Conseil général seulement on trouve Karl Marx, secrétaire pour l’Allemagne et pour la Russie, et James Cohen,<br />

secrétaire pour le Danemark. Outre Marx et Cohen, ou peut citer Neumayer, secrétaire du bureau <strong>de</strong> correspondance<br />

<strong>de</strong> l’Autriche, Fribourg, qui fut un <strong>de</strong>s directeurs <strong>de</strong> la Fédération parisienne <strong>de</strong> l’Internationale, dont firent partie<br />

aussi Loeb, Haltmayer, <strong>La</strong>zare et Armand Lévi. Léon Frankel, qui dirigea la Section alleman<strong>de</strong> à Paris; Cohen, qui fut délégué<br />

<strong>de</strong> l’Association <strong>de</strong>s cigariers <strong>de</strong> Londres au Congrès <strong>de</strong> l’Internationnle tenu à Bruxelles en 1868; Ph. Coenen qui<br />

fut, au m ême Congrès, le délégué <strong>de</strong> la Section anversoise <strong>de</strong> l’Internationale, jouèrent plus tard un rôle pendant la<br />

Commune, où ils retrouvèrent d’autres coreligionnaires.<br />

Quant à l’organisation du parti socialiste, les Juifs y contribuèrent puissamment. Marx et <strong>La</strong>ssalle en Allemagne; Aaron<br />

Libermann et Adler en Autriche ; Dobrojanu Ghéréa en Roumanie; Gompers, Kahn et <strong>de</strong> Lion aux Etats-Unis<br />

d’Amérique, en furent ou en sont encore les directeurs ou les initiateurs. Les Juifs russes doivent occuper une place à<br />

part dans ce bref résumé. Les jeunes étudiants, à peine échappés du ghetto, participèrent à l’agitation nihiliste; quelquesuns<br />

- parmi lesquels <strong>de</strong>s femmes - sacrifièrent leur vie à la cause émancipatrice, et, à côté <strong>de</strong> ces mé<strong>de</strong>cins et <strong>de</strong> ces<br />

avocats israélites, il faut placer la masse considérable <strong>de</strong>s réfugiés artisans qui ont fondé à Lond res et à N ew-York<br />

d’importantes agglomérations ouvrières, centres <strong>de</strong> propagan<strong>de</strong> socialiste et même communiste anarchiste. »<br />

Ce sont donc <strong>de</strong>s juifs qui <strong>de</strong> l’aven d’un juif, fondèrent les premières associations socialistes.<br />

Ce sont les hauts barons <strong>de</strong> la Finance Juive qui permirent ensuite au collectivisme <strong>de</strong> s’étendre et <strong>de</strong> prospérer en le<br />

subventionnant, en fondant les journaux par lesquels il propage sa doctrine dans les masses. <strong>La</strong> presse collectiviste est<br />

aux mains <strong>de</strong>s Juifs dans tons les pays du mon<strong>de</strong>, et l’on sait que chez nous l’Humanité, l’organe du citoyen Jaurès, fut<br />

fondée avec les capitaux fournis par douze Juifs - « un par chaque tribu » , disait Urbain Gohier dans la Terreur Juive.<br />

Le collectivisme est le terme auquel ten<strong>de</strong>nt les Juifs, le collectivisme qui, sous couleur <strong>de</strong> remettre tout à l’Etat, remettra<br />

tout dans leurs mains à eux qui se trouveront dissimulés <strong>de</strong>rrière la personnalité anonyme <strong>de</strong> l’Etat.<br />

L’Etat qui a opéré la centralisation au point <strong>de</strong> vue politiqne, travaille maintenant à centraliser entre ses mains toutes<br />

les forces économiques. Il avait déjà un certain nombre <strong>de</strong> monopoles. Il commença l’accaparement <strong>de</strong>s chemins <strong>de</strong> fer;<br />

il laisse voir ses intentions <strong>de</strong> monopoliser les assurances, l’alcool, etc.; il parle aussi <strong>de</strong> faire chaque jour <strong>de</strong> nouveaux<br />

pas vers la main-mise snr les successions par l’augmentation <strong>de</strong>s droits. Le collectivisme s’établira ainsi peu à peu sans<br />

violence, sans révolution par la prise <strong>de</strong> possession snccessive <strong>de</strong> toutes les manifestations économiqnes, industrielles<br />

ou commerciales <strong>de</strong> l’activité française.<br />

Un éminent sociologue, M. Louis Durand, le fondateur en France <strong>de</strong>s Caisses rurales et onvrières, nous fait toucher<br />

du doigt l’art et la ténacité, avec lesquels le but du Dieu-Etat est lentement, sournoisement, mais sûrement poursuivi. Voici<br />

un résumé <strong>de</strong> ses arguments :<br />

L’opinion publique - nous dit-il - s’inquiète parfois <strong>de</strong>s manifestations bruyautes et violentes du socialisme, grèves,<br />

émeutes, incendies d’usines, etc. Elle a raison <strong>de</strong> s’en préoccuper.<br />

Et cependant ces faits, quelque regrettables qn’ils soient, ne s ont que <strong>de</strong>s inci<strong>de</strong>nts locaux, qni n’ont presque pas<br />

d’importance eu comparaison <strong>de</strong>s mesures autrement graves et générales qui foat pénétrer le socialisme dans nos lois et<br />

dans nos moeurs, sous <strong>de</strong>s apparences bienfaisantes et pacifiques, et, trop souvent, avec l’approbation <strong>de</strong>s braves gens,<br />

trop confiants.<br />

Le socialisme intégral tend à la socialisation <strong>de</strong>s moyens <strong>de</strong> production et d’échange. L’Etat doit s’emparer <strong>de</strong>s capitaux<br />

pour régler à sa guise la production et la consommation. <strong>La</strong> réalisation <strong>de</strong> ce programme donnerait à l’Etat une puissance<br />

illimitée sur les individus dont le bien-être, et même la vie, seraient à la merci <strong>de</strong>s pouvoirs publics. On frémit à la<br />

pensée dn pouvoir dont jouirait l’Etat socialiste si jamais il parvenait à réaliser son programme.<br />

Pour dominer le commerce, l’industrie, l’agriculture, toute la production nalionale, il suffirait à l’Etat <strong>de</strong> s’emparer <strong>de</strong><br />

trois on quatre branches d’activité économique qui comman<strong>de</strong>nt et conditionnent toutes les autres. L’Etat sera maître <strong>de</strong><br />

tout quand il possé<strong>de</strong>ra exclusivement le crédit, les transports, les assurances et, au besoin, les mines (matières premières).<br />

Pour être maître dans une <strong>de</strong> ces branches, inutile qu’il s’en empare. Il lui suffit d’exercer cette industrie à perte, en<br />

comblant les déficits avec les ressources <strong>de</strong> l’impôt. Il est évi<strong>de</strong>nt que l’industrie privée ne pourrait soutenir une concurrence<br />

si disproportionnée. Or, c’est précisément ce que l’Etat tend à faire <strong>de</strong>puis plusieurs années.<br />

Voyez déjà son oeuvre pour le crédit:<br />

Il a commencé par organiser <strong>de</strong>s caisses régionales agricoles subventionnées par lui (plus <strong>de</strong> cent millions sont affectés<br />

à ce service). Ces caisses dépen<strong>de</strong>nt entièrement <strong>de</strong> l’Etat, car il se réserve le droit <strong>de</strong> leur retirer, à son gré, les subventions<br />

renouvelables à court terme.<br />

Naturellement les agriculteurs n’ont pas protesté contre cette première tentative. Peut-on taxer <strong>de</strong> socialisme une mesure<br />

dont ou bénéficie ?<br />

Second pas : crédit aux industries agricoles. - habile mesure <strong>de</strong> propitiation, puisque ce sont les classes agricoles qui<br />

sont les plus opposées au socialisme.<br />

Troisième pas : il ouvrira <strong>de</strong>s crédits pour la construction <strong>de</strong>s habitations à bon marché.<br />

Puis il s’est fait donner la mission <strong>de</strong> faire crédit aux marins.<br />

Puis, par <strong>de</strong>s projets <strong>de</strong> loi relatifs aux secours <strong>de</strong>s inondés, il se fait autoriser à prêter aux petits commerçants. C’est<br />

une mesure transitoire.., sans doute; mais ce crédit d’Etat cessera t-il <strong>de</strong> fonctionner quand les inondations ne seront plus<br />

qu’un souvenir ? ? ? ... Ce serait bieu mal connaître l’Etat. Déjà les journaux nous apprennent qu’une délégation a été re-<br />

Ce <strong>de</strong>scendant (Karl Marx, d’une lignée <strong>de</strong> rabbins et <strong>de</strong> docteurs hérita <strong>de</strong> toute la force logique <strong>de</strong> ses ancêtres; il fut UN TALMU-<br />

DISTE LUCIDE ET CLAIR, que n’embarrassèrent pas les minuties niaises <strong>de</strong> la pratique, un talmudiste qui fit <strong>de</strong> la sociologie et appliqua<br />

ses qualités natives d’exégète à la critique <strong>de</strong> l’économie politique (V. L’Antisémitisme, p. 342).<br />

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