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directives, possessives et peu démonstratives.
Les attitudes attribuées aux femmes de milieux populaires sont moins nombreuses et
majoritairement négatives (23 sur 38). Les attitudes le plus souvent mentionnées
sont: la dépendance, la méfiance, le défaitisme, le peu d'estime de soi, la frustation
et la peur d'être jugées. Leurs attitudes posivites sont: le sens de la créativité et la
fierté.
Les mains
Les réseaux sociaux
Les relations sociales des intervenantes sont, disent-elles, plus choisies et
s'établissent surtout avec les amis-es, les compagnons et compagnes de travail et
aussi avec la famille. Les femmes de milieux populaires sont vues comme vivant
beaucoup d'isolement. Leurs relations sociales se limitent au voisinage et à leur
famille. Dans aucun cas, les intervenantes ne mentionnent l'appartenance à des
associations, des clubs sportifs, des clubs sociaux, des groupes religieux, des
organisations syndicales, communautaires ou politiques.
Les habitudes de vie
En général, les intervenantes disent avoir des habitudes de vie saines, plus
équilibrées et variées que celles des femmes de milieux populaires. Elles ont une
bonne alimentation et en abondance. Elles pratiquent l'activité physique et les
sports. Elles prennent moins d'alcool et de tabac que les femmes de milieux
populaires.
Pourtant, qui prend des apéritifs, des vins de tables et des digestifs ? Pour ce qui est
de l'usage du tabac, par ailleurs, il est vrai que parmi les participantes aux sessions,
la très grande majorité était non-fumeuse.