Liefde kent geen grenzen - Federaal Wetenschapsbeleid
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image de toi-même. Pour acheter des clubs sportifs, ou acheter des palais ou je ne<br />
sais pas, des villes quelque part à l’océan, c’est comme ça. Et les filles qui voient que<br />
«ah, il y a de vrais homme qui peuvent présenter pour sa femme des belle Mercedes<br />
juste pour son anniversaire. Et mon mari ne peut pas même acheter un bon gsm de<br />
50 euro pour moi ou quelque chose. C’est vraiment exceptionnel que après je peux<br />
raconter à tous mes copines que « regarde mon mari m’a présenté…» parce que les<br />
gens peuvent être exceptionnel, mais par des choses vraiment stupides. Pas pour ta<br />
personnalité exceptionnel, pas pour quelque chose que tu avais fait pour les autres<br />
vraiment important, mais juste pour des choses matérielles… je trouve ça pas<br />
normal.<br />
I: Donc les filles sont un peu … «blind» pour les choses matérielles. C’est ça?<br />
E: C’est paradoxe de Russie parce que notre enfance c’est passé dans le temps quand<br />
les choses privées étaient interdites. Tu n’as pas ta propre maison, tu n’s pas tes<br />
propre choses…<br />
I: Il n’y a pas beaucoup de différence entre les gens.<br />
E: Oui. Et par exemple un grand parent était mort et tu ne peux pas… «erven?»<br />
rien, parce qu’il n’avait pas rien. Donc, maintenant c’est comme contraste de ça.<br />
Tu veux avoir quelque chose pour móntrer à les autres, qu’ils voient cette chose. Et<br />
ça, ça fait quelques problèmes mentales et pour les filles plus graves parce que<br />
maintenant c’est entre deux cultures quand elles viennent ici, ça casse des relations<br />
de familles avec les hommes qui étaient choisi pour avoir bonne vie ici. C’est une<br />
autre mentalité. Ces femmes pensent que c’est plus simple demander tous ce<br />
qu’elles veulent ici, parce que ici c’est partout. (I38; RUS; 43 jaar; HO; 1-5jaar)<br />
Een bijkomende sociale crisis na de implosie van de Sovjet Unie was het enorme<br />
huizentekort. De gemeenschappelijke flats onder het communisme waarbij<br />
verschillende huurders eenzelfde keuken en badkamer deelden, de zogenaamde<br />
kommunalki, werden stelselmatig als aparte appartementen op de private markt<br />
gebracht. De woekerprijzen van deze fel begeerde appartementen maakt hen<br />
onbereikbaar voor het gros van de bevolking. De moeilijke economische<br />
omstandigheden, de socio-economische instabiliteit en de huizencrisis maken het<br />
vandaag ook nog dikwijls noodzakelijk om samen met de ganse familie te wonen<br />
(Sakwa, 2002; Stetsenko, 2002). Zelfs na het huwelijk woont men dikwijls in bij de<br />
familie. Onze respondenten geven aan dat dit verplichte samenwonen met de<br />
behoefte aan onafhankelijkheid van jonge vrouwen botst. Een huwelijk met een<br />
buitenlandse partner stelt hen in staat om zich te onttrekken aan de “controle” van<br />
de familie.<br />
R: Ja, wij hebben een groot huis, en als ik studeerde ik woonde met mijn ouders,<br />
toen ik werkte ik woonde met mijn ouders, en ik vind dat met de salaris van<br />
leerkrachten dat is wel moeilijk, om alleen te wonen, en na een conversatie ik heb