03 carlos castaneda le voyage a Ixtlan

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« Tu as stoppé-le-monde, tout simplement », com- menta-t-il. Alors après un long silence il me fit remarquer que je devais remercier dont Genaro de son aide. Il semblait manifester plus de joie à mon succès que jamais auparavant. A plusieurs reprises il me tapota dans le dos tout en riant discrètement. « Mais comment concevoir un coyote qui parle ? C'est impossible, dis-je. – Ce n’était pas parler, répondit-il. – Alors, qu'était-ce ? – Pour la première fois ton corps a compris. Cependant tu n’as pas réussi à reconnaître du premier 323
coup qu'il ne s’agissait pas d’un coyote et qu'en aucun cas il ne parlait comme toi et moi nous parlons. – Mais don Juan, le coyote a parlé réellement ! – Regarde-le maintenant qui parle comme un imbécile ! Après toutes ces années passées à apprendre tu devrais en savoir plus que cela. Hier tu as stoppé-le- monde et tu l’as peut-être même vu. Un être magique t'a dit quelque chose et parce que le monde s'était effondré ton corps a été à même de comprendre. – Le monde était tel qu’il est aujourd’hui. – Non, aujourd’hui les coyotes ne te diront rien et tu ne peux pas voir les lignes du monde. Hier tu as fait tout cela tout simplement parce que quelque chose s’est arrêté en toi. – Qu'est-ce qui s’est arrêté en moi ? – Ce qui s'est arrêté en toi, c'est ce que le monde est d'après ce que les gens t'ont dit. Vois-tu, dès notre naissance, les gens nous racontent que le monde est comme ceci et comme cela, et il est évident que nous n'avons pas d’autre choix que de voir le monde comme les gens nous ont dit qu’il était, » Nous nous regardâmes. « Hier le monde est devenu tel que les sorciers racontent qu'il est. Dans ce monde les coyotes parlent, les cerfs aussi, et d’ailleurs, comme je te l’ai dit, il en est de même des serpents à sonnettes, des arbres et de tous les êtres vivants. Mais ce que je veux que tu apprennes c'est voir. Peut-être sais-tu maintenant que voir ne survient que lorsqu'on se glisse entre deux mondes, le monde des gens ordinaires et le monde des sorciers. Tu es maintenant coincé à mi-chemin entre les deux. Hier tu as cru que le coyote te parlait. N'importe quel sorcier qui ne voit pas cuit cela, mais celui qui voit sait que croire cela revient à être coincé dans le royaume des sorciers. Du même coup, ne pas croire que les coyotes parlent c’est être coincé dans le royaume des hommes ordinaires. 324 – Don Juan, voulez-vous dire que ni le monde des hommes ni celui des sorciers ne sont réels ? – Ce sont des mondes réels. Ils peuvent t’influen- cer. Par exemple tu aurais pu questionner ce coyote
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INTRODUCTION Le samedi 22 mai 1971
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c’est-à-dire le monde tel que no
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- Comment pourrait-il laisser quelq
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dure. Avec moins d'entêtement il e
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1 Réassertions venues du monde qui
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sentis confus et surtout vexé. San
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Néanmoins j'insistai en avançant
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priai de devenir mon informateur. I
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fumer ou de boire ? - Certainement
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2 Effacer sa propre-histoire Jeudi
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ils étaient clairs et perçants.
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n'y aurait pas une seule explicatio
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me confia-t-il à voix basse. Perso
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Mon humeur, au lieu de le rendre s
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« Reviens, dit-il en descendant de
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oire à ma gourde, mais il m'arrêt
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- Présages de quoi ? - Une indicat
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etour. Il fallait que je reste en s
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ien puisque j’avais réussi à do
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« Merci. » Il fut secoué d’un
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tant que je ne me sentirais pas à
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Il pouffa de rire à la manière d
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épéta la même chose, comme s'il
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qu’une seule fois. L'ayant poursu
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voir, en un éclair, quelque chose
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aison de cette errance, elle import
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Une fois de plus j'eus l'impression
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- Mais rien de ce que vous m'avez d
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En toute sincérité, je déclarai
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« Pourquoi tout cela ? intervins-j
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- Je ne comprends pas. - Tu aurais
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pit son récit et à plusieurs repr
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et responsable, il aurait pris cett
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terre dans tous les sens, je remarq
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ans et consistait à forcer graduel
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pus m'empêcher de rire. Le spectac
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J’aurais voulu qu’il précise s
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J'avais l'impression que don Juan p
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cela, je ne pouvais rien changer, p
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comprends pas. Pourquoi le monde se
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A ma grande surprise et ainsi qu'il
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comme un nuage ou un tourbillon qui
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Sans perdre mon calme je lui expliq
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appris le secret de savoir devenir
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voir ainsi tâtonner dans le noir,
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le dos. « Un chasseur sait qu'il a
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Don Juan me regardait sans cacher s
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- Tout Ce que tu fais est routine.
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l'heure de leur repos, de l'endroit
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prendrait sans aucun doute ses jamb
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9 La dernière bataille sur terre L
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- Non, je n'en crois rien. Tu ne fa
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changer. Pourtant je n'aimais pas m
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ment attentifs à la nature de leur
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- Avec un fusil, pas de mes mains.
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Achète-toi un sac à dos. » J’
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premier ignore pratiquement tout si
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- Je nomme ça manger, dit-il en re
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allé voir aux alentours parce qu
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J'éclatai de rire. Il venait de pa
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guident t'ont dirigé vers moi. et
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t-il ? » Je parlai d’un chien.
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l'illusion d'un animal vivant. J’
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11 Le tempérament du guerrier J'ar
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connaissance il y a encore plus de
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nels restait sans importance aussi
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comme une feuille dans le vent. «
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Je lui confiai que j’avais pris n
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Il leva les yeux au ciel pendant un
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oseaux, ramassa une masse de plante
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d’une vache, mais plus prolongé
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chats ? - Non. Pas le moins du mond
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dans les actes de ses compagnons au
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plateau, puis il m'aida à le rejoi
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si je regardais sans concentrer mon
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efusaient de faire un pas et malgr
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Alors il se mit à pleuvoir. Je me
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prendre les gourdes et de le rejoin
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les instructions que je t'ai fourni
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Il s'allongea sur le dos les mains
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13 La dernière résistance du guer
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dans ce cas je serai libre de tout
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Dix à quinze minutes plus tard il
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assurait que l’effet de cette pla
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« Une fois que tu auras mangé, tu
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alentour. Vers l'ouest la vue sur u
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pourquoi ne peux-tu pas en prendre
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de chaleur me submergea. Ce fut une
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« C'est là que tu vas mourir »,
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- Don Juan, devrai-je aussi danser
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cet événement s’est produit, je
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croyais toute cette peine inutile,
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mais il semblait inépuisable. Il n
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donna de ne porter attention qu'à
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savais que dire. J’avais envie de
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Je l’observai bouche bée. Consci
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excellente habitude après avoir do
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pouvoir personnel, qu'il soit insig
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appelait un coureur à pied faisant
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me félicita. Puis il déclara qu
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J'entendis un nouveau hululement qu
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pensées, ce qui ne m'échappa pas.
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autour de nous, tout le temps. Mais
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Il sembla lire dans mes pensées et
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esoin de la frayeur, il aime ça. T
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15 Ne-pas-faire Mercredi 11 avril 1
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« C'est vrai, fit don Juan. Tu ne
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Jeudi 12 avril 1962 Tard dans l’a
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un sombre. Entre les rochers et dan
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« Ce rocher, là-bas, est un roche
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détails, les trous et les dépress
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Ses déclarations m'irritaient. Je
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- Certainement. - Peut-on les voir,
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d’ailleurs, me confia-t-il, être
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focalisais chaque petit trou du roc
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longtemps qu’il s’efforce d’a
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16 L'anneau de pouvoir Samedi 14 av
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eprises je clignai des yeux puis le
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nous étions au pied des montagnes
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apide coup d’oeil vers don Juan m
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obligé de me lever et de sautiller
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Page 283 and 284: « Ce petit Carlos exagère toujour
Page 285 and 286: Don Genaro arqua ses sourcils et é
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Page 291 and 292: Don Genaro se mit à retourner des
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Page 297 and 298: mon estomac. J'éprouvai un subit m
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