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Phylogénie Et Evolution Du Comportement Social Chez Les Blattes ...

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Ev o l u t i o n d u c o m p o r t e m e n t s o c i a lEspèce 1 = outgroupInd. a Ind. b Ind. c Ind. d Ind. e Ind. fBABCBCCDCAADEspèce 2Ind. a Ind. b Ind. c Ind. d Ind. e Ind. fBBACBACCDACDRIABCDRIABCDA0120A0210B0000B0000C1210C2110D1010D0020CaractèreIRSp. 1Sp. 2Sp. 3Sp. 41 2 3 4 5 6 7 8 9A A B B B C C C DC D A C D A C D A1 1 1 11 0 1 10 1 0 00 1 0 10 1 1 10 1 1 11 1 0 11 1 1 100103. Matrice phylogénétique10DC0011Espèce 3Ind. a Ind. b Ind. c Ind. d Ind. e Ind. fBBDDBDCCDAADEspèce 4Ind. a Ind. b Ind. c Ind. d Ind. e Ind. fBBDCBCCCDAADIR ABC DA 0 0 0 1B 0 0 0 3C 1 0 0 1D 1 0 2 0IR A B C DA 0 0 0 1B 0 0 2 1C 2 0 1 1D 0 0 1 0Espèce 12Espèce 21 > 04 7 91 3 5 10Espèce 31 > 0 1 > 0 0 > 11 > 0 1 > 0 0 > 1 0 > 1 Espèce 44. Arbre phylogénétique1. Séquences comportementales2. Matrices de transitionscomportementalesFigure 2.15 : Principes de l’event-pairing successif : de l’observation des séquences comportementales jusqu’à la matrice phylogénétique.Dans cet exemple théorique, quatre espèces dotées du même répertoire comportemental (actes A, B, C, D) sont étudiées et troisséquences comportementales sont observées (1). Ces séquences sont utilisées pour construire des matrices de transition (2). Pourla construction de ces matrices, les individus sont alternativement initiateur (I) puis receveur (R). <strong>Les</strong> occurrences des transitions sontensuite utilisées pour caractériser chaque espèce dans la matrice phylogénétique (3). Cette matrice phylogénétique est alors analyséepour reconstruire un arbre phylogénétique (4).Heijden, 1987) pour étudier comment les actes sont organisés en différents types de séquenceset pour les comparer entre espèces. Pour adapter cette procédure à la méthode de l’eventpairingsuccessif, il suffit simplement de considérer que les cellules des matrices de transitionspeuvent être utilisées comme caractères phylogénétiques (Figure 2.15). Ceci se justifie grâceaux critères classiques d’homologie appliqués à l’éthologie comparative et phylogénétique(Wenzel, 1992). En effet, l’homologie fondée sur les cellules de la matrice de transitions suitle critère de position puisqu’elle définit une succession particulière entre deux actes, spécifiantainsi la position d’un acte par rapport à un autre acte. Dans ce contexte, les évènements Aapparaissant après un évènement B ou après un évènement C ne sont pas considérés homologues82

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