Projet de recherche sur le paiement forfaitaire compensatoire : le ...

Remerciements
Le sous-titre du rapport, « Le cercle se referme », montre que tout est lié dans le temps et, également, que
les deux côtés des frontières sont interreliés lorsqu’il s’agit de s’occuper des répercussions des paiements
forfaitaires sur les Survivants, sur leur famille et sur leur collectivité.
Nous avons bien entendu le message collectif des 117 personnes que nous avons interrogées et nous le
considérons désormais comme un rappel des efforts et de l’engagement nécessaires pour produire un
document comme celui-ci. Nous nous émerveillons devant les personnes qui, non contentes de partager
leurs histoires, leurs expériences et les enseignements qu’elles ont tirés de paiements forfaitaires précédents,
nous ont accueillis dans leur foyer, dans leur collectivité et dans leur vie. Nous ne pourrons jamais assez les
remercier d’avoir accepté chacun d’entre nous comme l’un des leurs et d’avoir contribué aussi largement et
rapidement à ce rapport.
Nous souhaiterions également remercier tout spécialement les dirigeants qui ont fait le succès de nos visites
de sites : le chef Bryan McNabb (Première nation Gordon), le chef Adrian Stimson Sr. (Siksika Nation),
le chef Fred Robbins (Première nation Esketemc), Norman Yakeleya (député, Sahtu) et Nellie Cournoyea
(PDG, Inuvialuit Regional Corporation). Nous aimerions aussi applaudir et remercier des champions de
la cause des Survivants qui nous ont aidés à nous repérer dans les collectivités que nous avons visitées : Ed
Bitternose, Carla Waterchief, Douglas Dillon, Ruth Majoras, William Blackwater, Harold Cook, Violet
Doolittle, Mitzi Bob et Yvonne Rigsby-Jones. Les employés de la GRC avec qui nous avons discuté ont fait
un effort supplémentaire pour nous rencontrer et nous leur en sommes reconnaissants. Mais, au bout du
compte, les Survivants sont les vrais héros.
Enfin, nous voudrions témoigner notre profonde gratitude à la Fondation autochtone de guérison (FADG)
pour nous avoir donné l’occasion de travailler avec nos âmes sœurs au sein et en dehors de l’organisme. Le
présent rapport repose entièrement sur le soutien professionnel et patient que nous avons reçu des employés
de la FADG : Jackie Brennan, Janice Horn et Flora Kallies. Par-dessus tout, nous souhaiterions saluer
Gail Valaskakis, directrice de recherche à la FADG, pour son soutien inébranlable, tourné vers l’avenir et
stimulant tout au long du projet.
Les séquelles des pensionnats revêtiront un sens nouveau lorsque tout le monde sera pris en compte, lorsque
tous les efforts seront faits, et que le cercle se refermera une fois de plus. C’est pourquoi nous soumettons
notre modeste travail.
vii