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CÉPHACJHM
4) Arthritique. — Se distingue par sa véhémence. La douleur
commence le matin, devient insupportable vers midi et
diminue ou se perd le soir.
Acétate de zinc, remèdes employés contre la céphalée rhumatismale,
liqueur de Hoffmann et liqueur ammoniacale succinée
âa q. s.
5) Syphilitique. — On la reconnaît par les antécédents et les
symptômes concomitants. Affecte les os et le périoste, les douleurs
sont exaspérées la nuit.
Sublimé corrosif, protoiodure de mercure, iodure de potassium,
iodhydrargyrate d'iodure de potassium, décoction de
Zittmann.
6) Organique. — Hypérémie,inflammation, tubercules, atrophie
des méninges du cerveau, granulations des glandes de
Pachioni.
Signes des tubercules. — a) Prodromes : sentiment de roideur
dans une main ou dans toute l'extrémité, perte de connaissance
passagère ou sopor, disparition insensible de la douleur à
mesure que la paralysie et la perte de l'intelligence se font.
b) Maladie déclarée : hémiplégie avec irritation, contracture
des membres paralysés, accès de convulsions de forme éclamptique.
CÉPHALÉE SYMPTOMATIQUE, CONSENSUELLE,
DEUTÉRO.PATHIQUE. — 1) Par suite d'une altération
de sang.
a) Pléthore. — Déplétions sanguines, purgatifs, révulsifs.
6) Anémie.—La douleur est plus forte à jeun; dans la position
horizon taie,il y a chlorose, flueurs blanches; l'onanie a souvent
précédé; siège principalement au sommet de la tête, survient
à la suite des hémorrhagies.
Quinquina, fer, pulsatille, brome, arsenic, stramoine, carbonate
de chaux.
2) Par suite d'une irritation ou d'une altération organique :
a) Du cerveau. — Voir supra.
b) De la moelle épinière, surtout à la suite de l'onanie.
Arsenic, phosphore, huile de térébenthine.
c) De l'estomac.
la) récente : vomitifs, purgatifs, alcalins amers.
28) ancienne : tartre stibié, chlorhydrate d'ammoniaque,
carbonate-de chaux, chlorure de calcium, teinture d'iode, iodure
de potassium, charbon végétal, charbon animal, ciguë,
chlorure d'or.
d) Du foie, surtout calculs biliaires.