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aiîi PARALYSIE.
Trusteur. — if iodure de potassium 2-6.00 parjour s'il s'agit
d'obtenir une action résolutive hâtive.
Trastonr. — Vf iode 1.00, iodure de potassium 4.00, eau
250.00. M. S. 2-4 cuillerées à café parjour dans un peu devin
rouge ou de l'eau, si l'on veut agir insensiblement sur la nutrition
et provoquer la résorption dans un organe atteint
d'inflammation chronique.
Schoenlein, Romberg, prescrivent l'iodure de fer sucré ; de
même le protoiodure de mercure à 25 milligr. 3 fois parjour.
Mercure. — Son emploi devra se borner aux cas d'affluence
trop grande du sang vers la moelle et les méninges, surtout
dans la paralysie syphilitique, où l'iodure de potassium est
encore préférable.
Roeser. — if poudre de Plummer 30 centigr. parjour.
Sandras. — Vf protoiodure de mercure 5 centigr., extrait
d'opium 3 centigr. M. Faites une pilule. S. Une pilule par jour
dans les paralysies syphilitiques, continuer ainsi 2-3 mois.
Chenopodium ambrosioides. — Lentin recommande la
teinture et la tisane de cette plante dans les cas de faiblesse
paralytique soit commençante, soit terminale.
Phosphore. — Les résultats obtenus par cet agent ne sont
pas des plus favorables.
Cantharides. — Ont donné en général des résultats négatifs
ou plutôt contraires, excepté dans quelques cas de myélite
chronique. L'usage extérieur est très-répandu.
Watson et Seymour les considèrent comme un bon diurétique
et résolutif.
Soufre. — A été prescrit avec avantage dans les paraplégies
à action réflexe, et dans celles où tout symptôme d'irritation
manquait.
Fer. — Sandras a recours au persulfure de fer dans les paralysies
saturnines à la dose de deux cuillerées par jour.
Lavements purgatifs, bains savonneux.
Romberg. — if carbonate de fer 50 centigr. 3 fois par jour
dans la paralysie dite « agi tans ».
En général le fer convient dans les paralysies anémiques
avec absence de fièvre et de symptômes d'irritation.
Trousseau. —On rencontre des cas dans lesquels la paraplégie
dépend d'une sorte d'usure de ce que Brown appelait
l'incitabilité. Ainsi, de même que nos organes cessent, après un
certain temps de veille, d'être excités par les stimulants de
toute espèce qui nous entourent, de même il est des états
morbides et des abus de fonction, qui épuisent cette faculté