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CHOLÉRA.
Boerhaave. - % carbonate de potasse 4.00, suc de citron ré­
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cent 15.00, vin rouge 30.00. M.
\) % bicarbonate de potasse 2.00, eau 60.00 M.
U)if acide citrique 2.00, eau 60.00. On môle ensemble une
cuillerée de chacune de ces potions et on boit immedia-
^Tcârbonate de potasse 2.50, sucre blanc 4.00, eau 120 00,
eau de cannelle simple 60.00. S. Chaque demi-heure 3 cuillerée*
avec une cuillerée de jus de citron.
Carbonate de soude. - Récamier. - % carbonate de
soude 8.00, eau de laurier-cerise 8.00, morphine 1.00, eau de
laitue 250.00, sirop de limon 15.00. M.
Neumann.— Vf carbonate de soude acidulé 60 centigr.,
opium 5 centigr., noix muscade 30 centigr., sucre blanc 3.00.
M. Divisez en quatre poudres égales.
Muriate de soude, sel culinaire. — Fournier, Moissenet.
— Vf chlorure de sodium 12.00, eau de menthe 125.00, sirop
diacode 30.00.
Oulmont. — Vf sel marin 12.00, eau gommeuse 120.00. S.
Potion antivomitive.
ATaUt _ if Sel marin 50.00, potion gommeuse 120.00. M. S.
par cuillerées dans les cas les plus graves de collapsus.
'Guy'sHospital. —Dansla période algide,une solution composée
de carbonate de soude et de sel commun qu'on rend effervescente
en y joignantdujus de citron, a paru produire reflet
le plus favorable.
Van den Corput. — Le chlorure de sodium résultant de la
désoxygénation de l'hypochlorite à travers l'économie animaient
qui existe à l'état physiologique dans le sérum du
sang, est l'un des plus puissants dissolvants de la fibrine, et
partant l'un des moyens les mieux indiqués pour prévenir ou
combattre la coagulation du sang et la formation dans le cœur
droit du caillot, que Graux a signalé, avec tant de raison,
comme la cause la plus ordinaire de la mort cholérique.
Liqueur d*oxymuriate de soude. — Liqueur Labarraque,
hypochlorite de soude. — if liqueur d'oxymuriate de soude
4.00 à 10.00, eau de mélisse 100.00, sirop d'éther 50.00. M.
Van den Corput a constamment obtenu les meilleurs résul
tats de la formule ci-dessus, à laquelle, selon les indications, il
ajoute soit le laudanum deSydenham,soit la teinture de valériane
ammoniacale, tout en appliquant la caloriflcation artificielle
et les frictions stimulantes. C'est à titre d'agents oxygénifères,
d'artérialisants énergiques qu'il s'est adressé aux