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226 COQUELUCHE.
cantharides 25 milligr. avec opium, camphre, quinquina.
Graves, Beatty. — Vf teinture de cantharides, teinture d'opium
camphrée âa 15.00, teinture de quinquina composée 150.00.
M. S. 3 fois par jour 4 grammes dans une décoction d'orge.
Burton. — Vf cantharides, camphre âa 1.00, extrait de quinquina
12.00. S. toutes les 3-4 heures 40 centigr.
Cochenille. —Germain, Sèe. — Si la belladone a échoué,on
donnera eau de laitue 425.00, sirop de pivoine 30.00, ammoniaque
liquide gtt. 2, cochenille 50 centigr., carbonate de
potasse 50 centigr., eau bouillante 10.00. M. S. 3 cuillerées à
café par jour.
Vf cochenille et ipécacuanha.
Vf cochenille et vin stibié.
Niemeyer. — Vide suprà.
Astringents. — Nitrate d'argent. —Hôpital de Leipzig.
— Vf nitrate d'argent 4-17 milligr. avec du sucre et du chocolat
3 fois par jour.
Tannin. — Oppolzer. — Le tannin ne peut rien pour arrêter
ou diminuer les accès convulsifs. Il trouve d'autant plus son
indication quand dans la troisième période il s'agit de modérer
l'hypersécrétion de la muqueuse.
Sèe. — Vf tannin 2-5 centigr. seul ou avec acide benzoïque
10-30 centigr. dans du sirop de guimauve.
Vf tannin 9 milligr., acide benzoïque, extrait de belladone
âa 4 1/2 milligr., rhubarbe 10 centigr., poudre gommeuse
12.00. M. Divisez en 12 parties égales. S. toutes les 2 heures
une poudre. On suppose que les voies digestives sont en ordre;
dans Je cas contraire on donnera un vomitif avant.
Vf tannin et sulfate de quinine 5-10 centigr. quand la maladie
a un caractère d'intermittence.
Acides. — Acide hydrochlorique. — Barez. — L'acide
hydrochlorique fait cesser les vomissements; il n'a pas d'influence
sur la coqueluche elle-même, quoique le docteur Thiel
prétende que l'acide chlorhydrique guérit aussi bien la coqueluche
que le quinquina la fièvre intermittente.
Acides nitrique, pomique. — Geigel. — Dans son Traité
sur le génie épidémique Geigel nous dit que déjà depuis 4 ans
il emploie contre la coqueluche l'acide nitrique d^ns les premières
périodes de la maladie avec une décoction de tamarindes;
plus tard il prescrit le tannin avec l'acide benzoïque.
Geigel. — Un de mes amis m'a fait connaître les heureux
résultats qu'il a obtenus sur ses propres enfants par une
méthode qui, dit-il, mérite d'autant plus d'être employée, que