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ÉPHÉLIDES* 311
Compression, mouchetures, ventouses. — Dupuy. —
Dans un cas d'emphysème externe du cou,- la guérison a
eu lieu par des applications d'eau froide au moyen de compresses.
ENTORSE. — Tiraillement plus ou moins violent des ligaments
et des parties molles qui entourent une articulation,
très-souvent avec déchirures et épanchement de liquides.
L'entorse est simple, c.-à-d. sans rupture de la synoviale, sans
épanchement dans l'articulation, les os sont étrangers à la lésion.
L'ENTORSE EST RÉCENTE. —Royer.— L'articulation affectée sera
plongée tout de suite dans l'eau froide, elle y restera 4-6 heures,
même une journée, condition essentielle de réussite.
La douleur, qui s'accroît la première heure, s'apaisera et cessera
complètement.
Bonnet. — On a vu de bons résultats des pulpes de pommes
de terre crues, que l'on renouvelle dès qu'elles s'échauffent.
Irrigations froides si les bains locaux ne sont pas supportés.
Frictions avec du laudanum et cataplasmes froids souvent
répétés.
Compression.
Bandage amidonné.
Jobert de Lamballe. — Vf eau de roses, eau de plantain ââ
90.00, sulfate de zinc 1.00, alcool camphré 2.00. M.
Lis franc. — Saignée.
Dupuylren. — Appareil à fracture.
Massage.
IL Y A DÉJÀ INFLAMMATION, GONFLEMENT. Les réfrigérants, les
répercussifs, la compression seront abandonnés pour avoir recours
aux sangsues, aux cataplasmes émollients, à une position
élevée du membre.
L'INFLAMMATION A CÉDÉ. — Astringents, p. e. compresses trempées
dans une solution d'acétate de plomb, d'hydrochlorate
d'ammoniaque à laquelle on peut ajouter 250 grammes d'alcool
camphré par pinte.
L'ENTORSE EST CHRONIQUE. — Jobert. — Vf esprit de baies de
genièvre, eau de mélisse, baume de Fioravanti q. s. pour
frictions.
Douches, bains de Barèges, massage, emploi bien combiné
de mouvements artificiels.
ÉPHÉLIDES. — Hardy. — Il est un moyen local qui s'adresse
directement à l'altération pigmentaire; c'est la solution