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ANÉVRVSME. 39
mr la partie malade au moyen d'un instrument particulier.
Richet remplace l'instrument de Hardy par un soufflet à
'aide duquel on dirige un courant d'air sur du coton imbibé
le chloroforme et déposé suèdes tissus dont on veut obtenir
'insensibilité.
Piedagnel. — If pâte devienne p. iij, muriate de morphine
p. i, alcool q. s. pour en faire une pâte.
Autenrieth. — Eau de savon avec de l'alun.
Fournie. — On tient dans la main un flacon rempli à demi de
chloroforme et d'acide acétique et on dirige les vapeurs sur la
partie malade.
On laisse tomber du sulfure de carbone goutte à goutte sur
la peau en activant l'évaporation à l'aide d'un soufflet ordinaire.
ANÉVRYSME. — On distingue :
I
I. Spontané ou par cause interne. II. Traumatique , faux ou par
cause externe.
Rupture de toutes les membranes
par suite de blessure et
épanchement de sang dans le
tissu cellulaire.
I
I I
1° Vrai ; dilatation 2° Mixte ; rupture
de toutes les tu- d'une , de pluniques
des vais- sieurs ou de touseaux.
tes les membranes
a ) Interne ;
destruction
de la tunique
externe
et prolapsus
de la tunique
interne.
6) Externe ;
destruction
des tuniques
interne
et moyenne ,
et conservation
de
l'externe.
Trois méthodes de guérison :
1° Diffus primitif,
suite d'un
épanchem. de
sang dans le
tissu cellulaire
qui environne
l'artère
et dans les diverses
parties
du membre :
produit immédiatement
après la blessure
d'une artère.
3° Variqueux ,
par transfu
sion (varix aneurymaticns).
Résulte d'une
communication
d'une artère
avec une veine
par
suite de traumatisme,
mais
aussi spontanément.
2° Consécutif, circonscrit, formé
par le sang qui s'épanche peu
à peu dans un kyste placé sur
le côté du vaisseau et plus ou
moins longtemps après la blessure
artérielle,