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680 s^Ryjcuuï.
Vf calomel 25-50 milligr., soufre doré d'antimoine 7-9 milligr.
M. S. Toutes les 2-3 heures une poudre pareille.
Most. — Je préfère la méthode de Stieglitz à toutes les autres.
Dès le début un vomitif et, quelques heures après, sulfate
de magnésie 8.00, oxymel simple 60.00, eau 250.00. M. S. Chaque
heure une cuillerée. Les enfants supportent très-bien la
purgation pendant 3 jours. Si après 4 jours la fièvre a toujours
le caractère sthénique, on donnera le sel ammoniac, la potion
de Rivière, des lavements. Les symptômes augmentent-ils encore
d'intensité, on prescrira l'acide sulfurique dilué et 5 centigr.
de calomel à prendre matin et soir. Sinapismes aux
extrémités.
Marcus. — Vf crème de tartre avec nitre.
Hufeland. — Vf tartre tartarisé avec vin stibié jusqu'à production
de deux selles liquides.
Trousseau. — On devra éviter les purgatifs trop énergiques.
Les minoratifs, les mercuriaux, les sels neutres donnés dans
une juste mesure, sont d'une réelle utilité s'il y a état saburral
des premières voies, des signes de cacochylie.
Hildenbrand. — La diarrhée ne nous paraît jamais salutaire
et encore moins nécessaire pour la guérison. 11 suffit que le
ventre soit libre, et cela est toujours utile.
Rillietet Barthez. — Nous n'oserons pas recommander la méthode
évacuante par les purgatifs comme méthode exclusive,
les jeunes enfants étant déjà par eux-mêmes sujets à des
diarrhées interminables. Nous préférons cependant qu'ils
aient le ventre libre au lieu d'être constipés, et à cette fin
nous ordonnons des lavements purgatifs, quelques doses de
calomel et jalap, un verre d'eau de Sedlitz.
Girtanner. — Gardez-vous des purgatifs !
Méthode diaphorétique. — Stark. — Une condition principale,
c'est que l'urine parte abondamment, et dans le cas négatif
on devra favoriser cette excrétion par des médicaments
diaphorétiques et diurétiques, tels que tisanes d'ononis spinosa,
douce-amère, sureau, arnica. On donnera en outre l'esprit
de Mindérérus, l'oxymel scillitique, etc.
Wendt. — J'évite les diaphorétiques dans les premiers stades
de la maladie, ce n'est que dans les périodes postérieures
qu'ils conviennent.
Rilliet et Barthez. — Les diaphorétiques peuvent être utiles
pour rappeler l'exanthème qui a disparu, notamment s'il y a
lieu de craindre des accidents fâcheux du côté de la tête ou