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(i-26 PNEUMONIE CROUPALE. •*
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marche vers l'hépatisation grise ou que celle-ci est déjà sur-.
venue. Mais aussi dans la deuxième période même elle don-\
nera les meilleurs résultats : 1) dans la pneumonie typhique.;
2) si les personnes atteintes sont cachectiques, déjà âgées ;
3 chez les buveurs; 4) chez les personnes affectées de catarrhe
bronchial chronique ; 5) si la pneumonie est née d'unebronchite*
capillaire ou que celle-ci l'accompagne; 6) si le pouls donne
100 pulsations à la minute, s'il est faible, mou, mais non petit
et facilement dépressible. Prescription :
Vf huile de térébenthine éthérée 15.0'», jaune d'œuf n° i,
eau distillée, miel âa 60.00. M. S. Toutes les 1-2 heures une
cuillerée à café.
Vf huile de térébenthine éthérée 15.00, jaune d'œuf n° i,
mucilage dégomme arabique U0.00, eau distillée 30.00. M. S.
Toutes les 1-2 heures une cuillerée à café.
Vf huile de térébenthine éthérée alternant avec hydrargyr.
crétacé ou calomel, si la pneumonie est d'une grande
étendue.
Vf huile de térébenthine éthérée avec eau de laurier-cerise
(gtt. 12-15 par dose), s'il survient des vomissements.
Vf huile de térébenthine éthérée avec vin d'ipécacuanha
(gtt. 6-8 par dose), s'il survient de la diarrhée.
Vf huile de térébenthine éthérée, alternant avec le camphre,
s'il y a adynamie.
Vf huile de térébenthine éthérée, alternant avec le sulfate
de quinine, si le danger principal vient de l'épuisement.
Toniques. — Quinquina. — Béhier. — Pour contrebalancer
les effets dépressifs du tartre stibié, l'auteur alterne l'emploi
du dernier avec celui du quinquina.
Niemeyer. — Dès que l'adynamie, l'asthénie se déclarent, il
faut recourir au quinquina et au fer, les excitants n'ayant
qu'un effet passager.
Niemeyer. — Dans les cas où le danger vient exclusivement
ou principalement de la température élevée du corps, j'ai eu,
dans ces derniers temps, recours avec succès à la quinine,
soit à la dose de 10 centigr. toutes les 2 heures, soit, et mieux
encore, à la dose de 5o centigr., 2-3 fois de suite en déans
quelques heures.
Lebert. — Dans les pneumonies qui, dès le début, présentent
le caractère typhique, je prescris un vomitif, des émissions
sanguines locales au moyen de ventouses et de grands
vésicatoires. Après le premier vomitif, je donne le tartre stibié
à haute dose, mais combiné avec 4.00 d'extrait de quin-