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APUONIE. 55
Quinquina. — Jobert. — If vin de quinquina 250.00, sousirbonate
de fer 2.00. M. S. 2 cuillerées par jour.
% teinture de quinquina 10.00, teinture de columbo 20.00,
inture d'écorce d'orange 4.00, eau distillée 90.00, acide
îlorhydrique 2.00. M. S. 2 cuillerées par jour.
% vin de quinquina 60.00, élixir d'écorce d'orange composé
00, acide chlorhydrique 1.00, sirop diacode 30. M.
% décoction de quinquina 250.00, esprit de sel ammoniac
00. M. S. à employer chez les personnes qui sentent la faim
un si haut degré, qu'elle dégénère en vomiturition et en déoût
à l'aspect des mets qu'on leur présente.
Fer. — If tartrate de protoxyde de fer 1.00, acide tartaique
1.00, vin blanc Ifc ij. M.
Richter • — ^f écorces du Pérou, d'orange, de gentiane âa
5.00, de cannelle 8.00, limaille de fer porphyrisée 60.00, vin
lanc ffi i ; digérez pendant 24 heures, filtrez. S. deux verres à
queur par jour.
Vin ferré de Londres. — If limaille de fer 120.00, cannelle,
îacis âa 15.00, vin blanc ïfc iv, digérez pendant un mois enter
dans un lieu à température basse, agitez souvent et déantez.
Sirop de quinquina ferrugineux. — ^ sirop de quinquina
u malaga ïfeij, pyrophosphate de fer citro-ammoniacal 10.00,
au distillée 20.00. M.
?f infusion de calamus aromaticus 180.00, teinture d'acétate
le fer de Radem. 30.00.
APEPSIE DES BUVEURS. — Romberg. — If infusion
le digitale et extrait de ményanthe.
APEPSIE DES PERSONNES FAIBLES. —Lavements
îneux avec un jaune d'œuf pour les personnes débiles dont
'estomac ne supporte rien.
APHONIE. — Robertson. — Dans l'aphonie catarrhale nous
commençons, si faire se peut, par un vomitif ex. vin d'ipéca-
•uanha 34.00, oxymel scillitique 12,00 en y ajoutant tartre
.tibié 2 1/2-5 centigr. si le malade est d'une constitution ro-
>uste. Nous répétons ce vomitif tous les 4-5 jours et le faisons
suivre de potions salines émollientes, expectorantes, en
nême temps que nous appliquons un vésicatoire sur la partie
supérieure du cou.
L'aphonie comme précurseur ou suite de l'apoplexie exige
les émissions sanguines. Dans le dernier cas nous nous con-
:entons de déplétions locales, telles que ventouses entre les
épaules, sangsues aux tempes,