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Édition du groupe « Ebooks libres
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I Jeanne, ayant fini ses malles, s
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une chair d’aristocrate à peine
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La baronne atteignit, en soufflant
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s’éparpillèrent dans la calèch
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et elle refermait les yeux, se sent
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Un jeune seigneur et une jeune dame
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Elle croyait se sentir encore secou
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L’amour ! Il l’emplissait depui
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Et lentement, crevant les nuées é
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estaient, de place en place, des é
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II Une vie charmante et libre comme
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que, par chaque bord, traîne jusqu
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À mesure que sa taille s’était
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tombant sur la soutane rebondie au
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Et il rentra prendre congé des dam
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La barbe drue, luisante et fine, ca
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détails. Trois familles seulement
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grande ombre à son pied, et des pe
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sur un rideau de mousseline, que be
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Le monde ! elle aurait bien voulu l
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Les derniers souffles de vent tomb
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Le vicomte de Lamare parut. Son pan
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front même, et celle du cou, sembl
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Elle lui demanda : « Quel est donc
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Vers six heures, comme elle était
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tendresse indifférente, d’une co
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Adélaïde ? » Et petite mère, to
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Et ils revinrent. Lorsqu’ils pén
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semble changé autour de nous ; les
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Mais ils se trouvèrent soudain sur
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Le maire qui battait la mesure avec
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gênés tous les trois qu’aucune
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Il couvrit son poignet de baisers m
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Que se passa-t-il ensuite ? Elle n
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V Quatre jours plus tard arriva la
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qui décrivait une courbe, puis ell
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Et le capitaine, ôtant son chapeau
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Elle s’empourpra, honteuse, balbu
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forêts de châtaigniers immenses a
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Hauts jusqu’à trois cents mètre
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Et, comme elle savourait la fraîch
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« Alors Mathieu abaissa son fusil,
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les paysages, ni les gens, ni les l
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Enfin elle prononça en hésitant :
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d’amour se trouvait tout de suite
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Alors l’humide et dur paysage qui
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Mais son œil soudain tomba sur sa
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Ses relations avec Julien avaient c
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On le fit entrer dans la salle et o
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Enfin, pour se procurer des chevaux
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n’auraient pu parler d’autre ch
- Page 105 and 106: un peu. » Mais Jeanne s’était l
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- Page 109 and 110: froide, avec son éternelle et gron
- Page 111 and 112: VII Les cartes entrèrent alors dan
- Page 113 and 114: Julien, chaussé de hautes bottes,
- Page 115 and 116: Jeanne, toute tremblante, descendit
- Page 117 and 118: Alors Julien éclata : « Et nous a
- Page 119 and 120: Mais Jeanne l’embrassait malgré
- Page 121 and 122: Jeanne attendait anxieusement le re
- Page 123 and 124: Surprise, elle se dit : « Comment
- Page 125 and 126: Puis des visions anciennes passère
- Page 127 and 128: Le gros homme dit : « Tenez, la co
- Page 129 and 130: - Non, ma chérie. - C’est parce
- Page 131 and 132: Quand Jeanne connut la réponse de
- Page 133 and 134: Le baron, que la colère gagnait, l
- Page 135 and 136: L’enfant de sa bonne avait le mê
- Page 137 and 138: Le baron ne remuait plus, boulevers
- Page 139 and 140: Elle ne répondait point, broyée,
- Page 141 and 142: VIII Rosalie avait quitté la maiso
- Page 143 and 144: Tout à coup Julien entra. Jeanne s
- Page 145 and 146: moments où elle nous effleure de s
- Page 147 and 148: entra dans l’âme, dans le cœur,
- Page 149 and 150: Dans les premiers jours de septembr
- Page 151 and 152: qui la prend en mariage, c’est un
- Page 153 and 154: Le paysan s’assit aussitôt en mu
- Page 155: Alors la peur du concurrent affola
- Page 159 and 160: joyeux dès la porte. Alors le comt
- Page 161 and 162: dans une grande pièce imposante. T
- Page 163 and 164: souvent, riaient parfois par éclat
- Page 165 and 166: Il disait, un soir, à Jeanne : «
- Page 167 and 168: Tout à coup, en traversant une lon
- Page 169 and 170: Elle les attendit avec une impatien
- Page 171 and 172: semblait éteint ; et elle ne remua
- Page 173 and 174: La saison était magnifique. Les nu
- Page 175 and 176: Joseph Couillard partit à franc é
- Page 177 and 178: qu’il s’adressait à elle. Il r
- Page 179 and 180: Celle couchée là, - maman - petit
- Page 181 and 182: Jeanne crut sentir un souffle l’e
- Page 183 and 184: Rien de plus ; pas de nom. Elle ret
- Page 185 and 186: chérirait-elle de la même affecti
- Page 187 and 188: X Les jours furent bien tristes qui
- Page 189 and 190: Elle arriva comme il lisait son br
- Page 191 and 192: votre… votre veuvage vous pèse.
- Page 193 and 194: être, mais moins complètes. Il la
- Page 195 and 196: Puis il ajouta, comme pour s’abso
- Page 197 and 198: Le nouveau curé faisait des gestes
- Page 199 and 200: se sentant petite et faible devant
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Mais Jeanne avait ramassé les sept
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aperçut soudain le comte de Fourvi
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Il ne bougeait plus ; il semblait a
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La femme qui avait déjà parlé cr
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Elle ne vit rien de l’enterrement
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éminiscences et ses douleurs ; et
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d’Iniquité, l’Esprit de Corrup
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Lise, un matin, vint trouver Jeanne
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Les paysans aussi la blâmaient ent
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- Tu veux rester ici, n’est-ce pa
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montèrent dedans tous trois et s
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le perron, après déjeuner, en fum
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Il hésitait, craignant une ruse. I
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Elle reçut une lettre de l’abbé
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sentit qu’entre cette femme et el
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la richesse. Et je ne risque rien.
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Certes elle avait vu ce visage ! É
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pas toujours ce qu’on veut. Tu es
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Mais Rosalie hocha la tête : « Fa
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Mais Rosalie se fâcha : « Vous, m
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n’étais pas revenue ! » Et Jean
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à tout instant sur sa décision, b
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Restée seule, Jeanne se mit à err
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Pendant plus d’une heure, elle de
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XIII La voiture s’arrêta deux he
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Et elle cria, les poings sur les ha
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L’hiver s’avançait ; et Jeanne
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Il répondit quelques jours plus ta
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chez le notaire, maître Roussel, q
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Elle regardait passer les campagnes
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Rosalie. Il faisait beau ; l’air
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Elle se remit à marcher sans s’i
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ien qu’elle ne l’eût pas recon
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XIV Alors elle ne sortit plus, elle
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Mais, peu à peu, elle s’habitua
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Elle piqua contre les murs, sur la
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comme d’autres ? Pourquoi n’ava
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des armes avec sa canne contre la c
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Quand elle perdit de vue, à traver
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onflant, devant Jeanne qui guettait
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Table des matières I .............