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Édition du groupe « Ebooks libres
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I Jeanne, ayant fini ses malles, s
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une chair d’aristocrate à peine
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La baronne atteignit, en soufflant
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s’éparpillèrent dans la calèch
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- Page 15 and 16: Elle croyait se sentir encore secou
- Page 17 and 18: L’amour ! Il l’emplissait depui
- Page 19 and 20: Et lentement, crevant les nuées é
- Page 21 and 22: estaient, de place en place, des é
- Page 23 and 24: II Une vie charmante et libre comme
- Page 25 and 26: que, par chaque bord, traîne jusqu
- Page 27 and 28: À mesure que sa taille s’était
- Page 29 and 30: tombant sur la soutane rebondie au
- Page 31 and 32: Et il rentra prendre congé des dam
- Page 33 and 34: La barbe drue, luisante et fine, ca
- Page 35 and 36: détails. Trois familles seulement
- Page 37 and 38: grande ombre à son pied, et des pe
- Page 39 and 40: sur un rideau de mousseline, que be
- Page 41 and 42: Le monde ! elle aurait bien voulu l
- Page 43 and 44: Les derniers souffles de vent tomb
- Page 45 and 46: Le vicomte de Lamare parut. Son pan
- Page 47 and 48: front même, et celle du cou, sembl
- Page 49 and 50: Elle lui demanda : « Quel est donc
- Page 51 and 52: Vers six heures, comme elle était
- Page 53 and 54: tendresse indifférente, d’une co
- Page 55 and 56: Adélaïde ? » Et petite mère, to
- Page 57 and 58: Et ils revinrent. Lorsqu’ils pén
- Page 59 and 60: semble changé autour de nous ; les
- Page 61: Mais ils se trouvèrent soudain sur
- Page 65 and 66: gênés tous les trois qu’aucune
- Page 67 and 68: Il couvrit son poignet de baisers m
- Page 69 and 70: Que se passa-t-il ensuite ? Elle n
- Page 71 and 72: V Quatre jours plus tard arriva la
- Page 73 and 74: qui décrivait une courbe, puis ell
- Page 75 and 76: Et le capitaine, ôtant son chapeau
- Page 77 and 78: Elle s’empourpra, honteuse, balbu
- Page 79 and 80: forêts de châtaigniers immenses a
- Page 81 and 82: Hauts jusqu’à trois cents mètre
- Page 83 and 84: Et, comme elle savourait la fraîch
- Page 85 and 86: « Alors Mathieu abaissa son fusil,
- Page 87 and 88: les paysages, ni les gens, ni les l
- Page 89 and 90: Enfin elle prononça en hésitant :
- Page 91 and 92: d’amour se trouvait tout de suite
- Page 93 and 94: Alors l’humide et dur paysage qui
- Page 95 and 96: Mais son œil soudain tomba sur sa
- Page 97 and 98: Ses relations avec Julien avaient c
- Page 99 and 100: On le fit entrer dans la salle et o
- Page 101 and 102: Enfin, pour se procurer des chevaux
- Page 103 and 104: n’auraient pu parler d’autre ch
- Page 105 and 106: un peu. » Mais Jeanne s’était l
- Page 107 and 108: son maître, le maintenant d’une
- Page 109 and 110: froide, avec son éternelle et gron
- Page 111 and 112: VII Les cartes entrèrent alors dan
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Julien, chaussé de hautes bottes,
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Jeanne, toute tremblante, descendit
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Alors Julien éclata : « Et nous a
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Mais Jeanne l’embrassait malgré
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Jeanne attendait anxieusement le re
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Surprise, elle se dit : « Comment
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Puis des visions anciennes passère
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Le gros homme dit : « Tenez, la co
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- Non, ma chérie. - C’est parce
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Quand Jeanne connut la réponse de
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Le baron, que la colère gagnait, l
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L’enfant de sa bonne avait le mê
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Le baron ne remuait plus, boulevers
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Elle ne répondait point, broyée,
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VIII Rosalie avait quitté la maiso
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Tout à coup Julien entra. Jeanne s
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moments où elle nous effleure de s
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entra dans l’âme, dans le cœur,
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Dans les premiers jours de septembr
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qui la prend en mariage, c’est un
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Le paysan s’assit aussitôt en mu
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Alors la peur du concurrent affola
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Julien expliquait à Jeanne toutes
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joyeux dès la porte. Alors le comt
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dans une grande pièce imposante. T
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souvent, riaient parfois par éclat
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Il disait, un soir, à Jeanne : «
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Tout à coup, en traversant une lon
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Elle les attendit avec une impatien
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semblait éteint ; et elle ne remua
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La saison était magnifique. Les nu
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Joseph Couillard partit à franc é
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qu’il s’adressait à elle. Il r
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Celle couchée là, - maman - petit
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Jeanne crut sentir un souffle l’e
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Rien de plus ; pas de nom. Elle ret
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chérirait-elle de la même affecti
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X Les jours furent bien tristes qui
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Elle arriva comme il lisait son br
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votre… votre veuvage vous pèse.
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être, mais moins complètes. Il la
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Puis il ajouta, comme pour s’abso
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Le nouveau curé faisait des gestes
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se sentant petite et faible devant
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Il allait maintenant presque chaque
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Elle ne comprit pas et voulut savoi
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Alors, il leva la main comme pour l
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Mais Jeanne avait ramassé les sept
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aperçut soudain le comte de Fourvi
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Il ne bougeait plus ; il semblait a
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La femme qui avait déjà parlé cr
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Elle ne vit rien de l’enterrement
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éminiscences et ses douleurs ; et
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d’Iniquité, l’Esprit de Corrup
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Lise, un matin, vint trouver Jeanne
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Les paysans aussi la blâmaient ent
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- Tu veux rester ici, n’est-ce pa
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montèrent dedans tous trois et s
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le perron, après déjeuner, en fum
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Il hésitait, craignant une ruse. I
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Elle reçut une lettre de l’abbé
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sentit qu’entre cette femme et el
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la richesse. Et je ne risque rien.
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Certes elle avait vu ce visage ! É
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pas toujours ce qu’on veut. Tu es
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Mais Rosalie hocha la tête : « Fa
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Mais Rosalie se fâcha : « Vous, m
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n’étais pas revenue ! » Et Jean
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à tout instant sur sa décision, b
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Restée seule, Jeanne se mit à err
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Pendant plus d’une heure, elle de
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XIII La voiture s’arrêta deux he
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Et elle cria, les poings sur les ha
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L’hiver s’avançait ; et Jeanne
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Il répondit quelques jours plus ta
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chez le notaire, maître Roussel, q
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Elle regardait passer les campagnes
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Rosalie. Il faisait beau ; l’air
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Elle se remit à marcher sans s’i
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ien qu’elle ne l’eût pas recon
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XIV Alors elle ne sortit plus, elle
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Mais, peu à peu, elle s’habitua
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Elle piqua contre les murs, sur la
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comme d’autres ? Pourquoi n’ava
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des armes avec sa canne contre la c
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Quand elle perdit de vue, à traver
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onflant, devant Jeanne qui guettait
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Table des matières I .............