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symetries et physique nucleaire - Cenbg - IN2P3

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qui induisent les transitionsk' ,<strong>et</strong> - . La constante GV@) a été mesurée dans la désintégration de 1'140 <strong>et</strong> on aLes combinaisons V'L 4 ~ ' donnent les opérateurs t+ <strong>et</strong>trouveGv~jw 4 . (En fait =o. 33 , mais la différence avec 1 provient de l'angleGyp! <strong>et</strong>de ~abibbo'O que l'on peut inclure dans la constante G). C<strong>et</strong>te coincidence entreG,@l était a priori plutôt surprenante puisque Gvca) concerne Ilinteraction électromagnétique.L'interprétation de ce résultat est contenue dans l'hypothèse isotripl<strong>et</strong> : "Le courantélectromagnétique isovectoriel <strong>et</strong> le courant faible sont les trois composantes d'un tripl<strong>et</strong>d'isospin. On passe d'une composante à l'autre par la relation (111.13)".Insistons sur le fait que c<strong>et</strong>te hypothèse est très forte car elle porte sur l'opérateurcourant <strong>et</strong> non pas sur l'élément de matrice particulier qui l'a suggérée. Elle a donc desconséquences toutes les fois-que le courant vectoriel est en jeu. En particulier elle impose :G,*, : G,c4 = 4. z- tce qui a été vérifié expérimentalement1'. Un autre exemple est la désintégration faible du k :- +IC - 3 + e+ rVdont le taux peut être calculé grâce à l'hypothèse isotripl<strong>et</strong> à partir du courantélectromagnétique du pion. La théorie prédit 0.39 sec-' à comparer à la valeur expérimentale 110.38 f 0.04 sec-'. Une fois que l'on a admis c<strong>et</strong>te hypothèse il est normal de noter V: lapartie isovectorielle du courant électromagnétique. Evidemment la conservation de ce dernierentraine celle de ses partenaires, c'est-à-dire :ar vY* =(x.~s)C'est pourquoi, de façon assez trompeuse, l'hypothèse isotripl<strong>et</strong> est aussi appelée hypothèseC.V.C. (Conserved Vector Current).Comme le courant est conservé, on peut définir des charges q*Ct\ :Q'a = is ~'(5:k) (iU.56)qui sont en fait indépendantes de t (il suffit d'appliquer le théorème de Green) <strong>et</strong> donccomnutent avec le Hamiltonien des interactions fortes. On peut se delander ce que représententces opérateurs. Si on considère le cas particulier du nucléon, on a :

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