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symetries et physique nucleaire - Cenbg - IN2P3

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Les expressions des autres observables peuvent être trouvées dans les ré£. 10) <strong>et</strong> 11). Nous mon-trons dans la table 1 les résultats obtenus par ANW qui ont choisi de reproduire % <strong>et</strong> MP(cf. eqs.18,19,35,46 <strong>et</strong> 47) en ajustant e <strong>et</strong> f Nous comparons leurs prédictions aux valeurs expérimenta-=' 4les <strong>et</strong> aux résultats du modèle du sac de MIT .Les rayons carré électriques <strong>et</strong> magnétiques ieovectoriele sont infinis comme attendusdans la limite chirale (Mg= O). L'introduction d'un terme de masse du pion dans le lagrangien(brisure de la symétrie chirale) perm<strong>et</strong> de calculer ces quantités21. La valeur de g entre paren-Athèses correspond à la valeur obtenue en introduisant de possibles corrections dues a la valeurfinie de ~ ~ ~ peut ~ égalementz3 . 0 n utiliser la valeur expérimentale de tT <strong>et</strong> ajuster e de façonà reproduire la différence de masse M M . La valeur prédite pour gA est beaucoup plus procheA Nde la valeur expérimentale, mais la maeae du nucléon est trop grande (ml,& GeV). les prédictionsANW du modèle de Skyrme sont environ à 30% des valeurs expérfmentales. Ceci pourrait âtre améliorési on introduisait par exemple les autres mésons <strong>et</strong> interactions (voir section IV) présents dansla limite N-rm de QCD. Un autre champ d'application où l'on peut tester le modèle est l'étudede l'interaction Baryon-Baryon ce que nous allons considérer dans le chapitre suivant.III) L' INTERACTION BARYON-BARYON A PARTIR DE L'INTERACTION SOLITON-SOLITONa) fnferaçfio2-soil'on-soLiLo2'IConsidérons deux salitons 1 <strong>et</strong> 2 dont les positionssont définies comme sur la fig. 2 :-.-+r, : r .t R/.t(55)Y<strong>et</strong>Fig. 2 : Représentation graphiquedes vecteurs donnant la positiondes solitons 1 <strong>et</strong> 2.Ils sont respectivement décrits par les champs 1 1 ~ ( ~ ~ ) où U (r) correspond à0 2 O<strong>et</strong> U (7)l'ansatz statique de Skyrme (éq. 16). On peut, suivant la méthode dérivée par ANW"-L<strong>et</strong> exposeedans la section II d), exécuter des rotations dans SU(2) en introduisant des coordonnées collecti--.ves pour obtenir de bons états de spin <strong>et</strong> dlisospin <strong>et</strong> quantifier. Le champ UO(rl) est transforméen

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