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symetries et physique nucleaire - Cenbg - IN2P3

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noyaux qui nous intéressent ici, des états 3- très collectifs. Nous noussommes également restreints aux noyaux pair-pair : qu'en est-il desnoyaux impairs ?Il y a également le comportement radial des fonctions d'gndesnucléaires qui a été totalement ignoré. Ce point fera l'obj<strong>et</strong> de laseconde partie de ce cours.Nous allons voir que, pour un certain nombre de cas le modèleadm<strong>et</strong> des extensions simples. Le but n'est pas ici de faire une étudeexhaustive de toutes ces extensions ni même d'en décrire certaines dansle détail mais de montrer que IBM, ou tout du moins l'approche de lathéorie des groupes, est un formalisme très souple.1" Introduction de bosons supplémentaires.Pour reproduire des niveaux impairs la première idée qui vient àl'esprit consiste à introduire un boson f (un boson p ne corresponderaitqu'à un déplacement du centre de masse). Mais l'ensemble formé par lesbosons s, d <strong>et</strong> f n'offre plus la possibilité d'un traitement algébriqueanalogue à celui d'IBM-1 car le système ainsi formé ne présente pas desymétries dynamiques. On n'écrit alors un Hamiltonien général dont onajuste les paramètres sur les données expérimentales. Très récemment J.Engel a mis en évidencele fait que l'introduction d'un boson pperm<strong>et</strong>tait d'avoir à nouveau des symétries dynamiques dans le système <strong>et</strong>donc d'écrire 1'Hamiltonien très simplement en fonction d'opérateurs deCasimir. Ce quatrième boson n'avait, à l'origine, pas d'autrejustification que celle de la structure mathématique de la base d<strong>et</strong>ravail mais déjà certains théoriciens, T. Otsuka par exemple, luiconfèrent une réalité microscopique. C<strong>et</strong>te évolution n'est pas sansrappeler celle du boson S.D'autre part, même en se limitant aux niveaux de parité positiveon peut se demander si un boson g ne devient pas indispensable aussitatqu'il s'agit de reproduire de hautes rnultipolarités ou des énergiesd'excitation élevées. En fait, pour un certain nombre de noyaux il estindispensable d'introduire un tel boson, non pas en général pourreproduire les spectres d'excitation, mais pour reproduire les densitésde charge de transition. Ce point sera également développé dans leseconde partie de ce cours.2" Couplage de degrés de liberté fermioniques aux degrés de libertébosoniquesPour calculer des noyaux pair-impair on peut considérer le noyaupair-pair le plus proche (que l'on peut traiter dans le cadre de IBM) <strong>et</strong>

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