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symetries et physique nucleaire - Cenbg - IN2P3

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- 291 -rlle terme de Born donne la contribution suivante à 1 : (Voir Réf. 5, Appendice 8 )[ Ü8*) f(ifkL)f 7" * y' (- c k,) 1' cd Uq)7.tptR) - M-+ uy) f(-i&)f r* 4 ( i f~(p-%')- M7 1 (x.8)Si on définit les amplitudes symétrique Tt <strong>et</strong> antisymétrique T-par :7'-alors on obtient, au seuil :T-(B-) = --IN GL21; 4H'- flr'tandis que la contribution de donne simplement :<strong>et</strong> donc au seuil :( = - (f\ 1" €d,NMeN-4L'7*"(.< ?t; -igr) UOn voit en comparant (V.10), (V.11) <strong>et</strong> (V.13) que le terme dominant lorsque m, - 0(Y .42,(Y.43)estT-(h8) . Les termes de Born s'annulent par rapport à ce dernier. Ceci est évidement dû aucouplage pseudo-vectoriel qui lui-même est imposé par la symétrie chirale. Le fait que Tt/ T-.tende vers zéro dans la limite chirale est connu sous le nom de relation de consistanced'~dler~~ <strong>et</strong> provient directement de la conservation du courant axial. C'est une contrainte quedoit respecter n'importe quel calcul consistant avec la symétrie chirale. Par exemple si onutilisait un couplage pseudo-scalaire pour calculer les termes de Born la relation de consis-tance d'Adler ne serait pas satisfaite. Ceci se comprend très facilement si on r<strong>et</strong>ourne aupoint de départ du modèle, éq. (IV.19) : le couplage pseudo-scalaire est accompagné d'uncouplage au champ '? qui est indispensable pour maintenir la symétrie (voir éq. (IV.18)) <strong>et</strong> la

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