1894 - Diocèse de Quimper et du Léon

Archives diocésaines de Quimper et Léon
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mille francs »; et pour l'entretenir, baucoup de ressources rh.
année. Des hapnseuses ou catéchistes-infirmières som nt *
également, pour allerdansleshôpilauxeldrmslesmaisnnT^ 83 ^
visiter el soigner les malades, les instruire et les SÏÏÏÏffe
chacune, .1 faut trois cents francs par an, outre les tSSmOS
tnbuer aux plus nécessiteux. ^"ui* a ^
• Lecteur, je recommande a votre charité nos nauvm* hamalades
ou moribonds. Celui quia promis de récoZp2r l ?
verre d eau vous rendra ce que vous aurez fait pour enn "
miséricordes, qitotiiam ipsi misericordmm ronscouentur • iw
reux les miséricordieux, car il leur sera fait miséricorde rÏÏJÏ
m agonta factum, mvmerj morientium .- eteardeJésnsi^m
ayez pitié des mou ra n ls. Solus infimwrum, Consolatrix I S
om pro nobis : Marie, Salut des infirmes et ConsofflK
affligés priez pour nous, priez pour les païens malade, ou m ?
tonds Amen
' ' J-M. CORRE, Afe. aJ m '
Au centre de l'Afrique (suite). \
Tant qu'il n'y eut que la foudre à gronder au-dessus ft rm
tétes, nous dormîmes assez tranquillement sur nos liis de feuil
age ; mais bientôt une pluie torrentielle se déchaîna sur nous el
a violence des vents, emportant notre tente, la jeta tonte mourilée
sur nos figures. Tableau r Se ramasser, courir aux cordes et
aux piqueis de notre maison volaille fut ('affaire d'un iastooiniais
quand la Unie fui relevée et que lont fut rentré dans le calme'
ii fallut songer à sécher nos habits. Les pillards protestants né
nous en avaient pas laissé de rechange. La nuit se passa et méme
une bonne partie de la uiaiim-e, et nos habits étaient à peine