1894 - Diocèse de Quimper et du Léon

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après Pâques, solennité du Patronage de ce saint pourvu UUP
£?'" u «-"-*-•--, "s se confessent el qu'ils "Kiewde li
S?» ?K e et visi, ? nt ,eur é «--*- Paroissiale o . q S santnatre
public, entre les premières vêpres et le coucher da S
Sout „^S S 0 ?, ,empS Pieusemenl aU!t KH
plénièreï M?; H.?? D ' lls peuvem pa! ner : uDe
? '-° indulgence
Fe saint nnilHJI? 6 Ia m ° r ' po , urvu 1--.-ontrils, ils invoquem
des lèvres ' ° BK " ns de cœur > s ' ils ne P euvenl le «-ire
II. INDULGENCES PARTIELLES : 1- Les indulgences des Salior.
de Rome (v. décrel dn 9 Juin 1777), moyennant la visita i¥M\ «
paro.ss.ale ouà un oratoire public : 2° 100 jours d'indgen eïe
fois par jour, en récitant Pater «oster, Ave « J f f i Z
avec I oraison jaculatoire S. Jo^h, prie, pour Z*. '"'
loire
CM ,ndulgences son, applicables aux âmes du purga-
NOUVELLES DU MONDE CATHOLIQUE
Sf d « P ?J? Sé mme d '-PPareaceqXne l'esfd&naire"
68 ans, et semblani ne promettre qu'un règne bien court
Deptns, se,ze ans se sont écoulés . Léon XIIIZC atori*.-ment
regnant, a fourni, au milieu des situai ons lesnhis éiïmZl'
ïïrî" P ° nUfiCatS l6S mieU * rem P |is -' '« W KB»TV^
C'est vraiment ici, ou jamais, qu'on peut voir la main rt.» n.»,eli
tous les catholiques se feront'un dev^r de remercié" le Trés'
f^J 6 fi' 6 P rolecli0 »- vi ^-'e accordée au che de son Echse en
Lecriant de conserver longtemps encore Ia lumière du monde!
Le 2 Mars, à l'occasion de l'anniversaire de la naissance et Ao
te v^Tu C S?X m ' ' e SaiDt A Père a ^"têfhomn^ge
ctdTnSnat RfeÏÏ^' eXf>r ' méS par ,e D ^ n ' * E '-
mai L r e ed P rnèe?r°aoa Un dte00B d ° n ' TOici »-»•»" -"--
«j-.n.iir c ^ mD1e DC an - "«e nouvelle année de ponlilicat a dit Sa
Sainteté, Nous Nous sentons fortifié par l'assistanceT divin,- »t
encouragé par la charité qui unit les membres dTl'Egiise '
< Au milieu des bouleversement et de la confusion nui it
blent la notion méme de l'honnêteté, de V juste, deJS&,
Archives diocésaines de Quimper et Léon
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de la liberté, de la civilisation, du progrès, des droits et des devoirs
sociaux, l'Eglise maintient el rappelle les enseignements de la foi
el les principes de la morale.
•i Elle signale les erreurs, vraies causes des maux dont on souffre-
elle démasque les intentions des sectes, elle met les institutions
en harmonie avec la vérité et la justice, elle éiahlit ia vie
chrétienne dans les familles, elle unil par l'équité el la charue les
diverses classes sociales, elle.inspire la rectitude aux gouvernais,
la soumission aux gouvernés.
« L'Eglise ramène aussi les études aux règles de la sagesse
chrétienne. Puisque le trésor de celte sagesse est surtout renfermé
dans les Saintes Ecritures, l'Eglise ne pouvait s'abstenir de reven-.
diquer l'autorité intégrale du livre divinement inspiré, de donner
les movens de mieux la défenrtie el d>n retirer des fruits plus
abondants, au milieu de l'agUalion causée par certaines études.
« Louanges soient à Pieu et à l'Eglise pour toutes les œuvres
qui ont pu être accomplies durant Notre pontifical! Prions pour
que les geimes jetés en ierre lèveni abondamment. »
Le lendemain, le Souverain Pontife a tenu chapelle, à l'occasion
de l'anniversaire du couronnement. -
Le corps diplomatique, toute la com et de nombreux étrangers
remplissaient la Sixtine. , . .
Le Pape, qui avait pris place sur la Sedia gestatona, a été vivement
acclamé à son passage dans les salles royale el ducale, ou se
trouvait une foule nombreuse qui n'avait pu trouver place dans ia
chapelle Sixtine. Léon Xlii paraissait en excellente santé.
La loi sur les Fabriques. - D'après les^derniers renseignements,
les négociations engagées entre le Saint-Siège el e
gouvernement français afin de résoudre par voie diplomate te
conflit suscité par la loi des Fabriques, porteraient sur les points
Nomination d'une commission mixte d'évêques el de jurisconsultes
pour examiner la question ; Jfi„„,:„„ a„
Ou revision de la loi de 1892 ou tout au moins modification du
décrel de 1893 sur les conseils de Fabrique. .
Tant que dureront les négociations, tes autorités ecclésiastiques
éviteraient les protestations publiques,loul en usant do rtroi ,dans
S m'ire tA efte le jugeiaU. opportun, ftMr toçMg
leurs réclamalions m fouvoir cmMans le sens et a I appui de*
négociations ouvertes avec le Saint-siège. ..n.tnx PMhny,_
Nous devons ajouter que, pottr ptasieors Jonrnaoi «n»Uques,
ces soi-disant négociations ne sont qu nn leurre pou. nous
duper encore une lois el faire cesser les P ro, ^n a,, n 0 't d ^r^Xs
«•t dp-. (îdèles Cependant, a première version nou» parait plus
oîblî: elle accorde Mt dn 3 * ^ & g & g *
samedi » Mar-. à la tribune, par le Ministre des Culle--. « A nne
?*&?«f nivelle, a dit Moulier, il faut apporter un esprit