1894 - Diocèse de Quimper et du Léon

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payer des acomptes. Ces époques sont herminées û$*F?
dates où l'emprunteur réalise ses principaleS«r'fWn?>
de ses produits et. dans un vill.- ni, .£, )'Z*"J7\r r * a TCDI -
résuliais, ,uVo de ses'apô^' ^eVn'^ « f ' _
libres, indépendants honorables, vivan de eurt revalf «S?? 6 '
, ri %L ia Cai - Sse rura,e ^sserre Ies liens d'amitié IWrh ^
Archives diocésaines de Quimper et Léon
« Ajoutons que — c'esl un fait d'exnériencA iim,iff w
3&â f . il perdre un cermme « • -RSatt «
ruf w^swy- a«s s. se»
lon M peut qu'applaudir au «éte'de ceux quiL prenTnU'i'nil
Puisse ce. exempleivoir^uco^M'im^eurs ns n hl°nau
noier'°. n .. rePr0Che ' U ° n Sa0S S*" SSSflHîRB
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trouvé S f ifiSSÏS2 é ' aien !, d t jà écri,es ' I-' 1 "' 1 -» avons
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picunure gerDeuans I abondante moisson > annoncée.
TJ,- D - anS i e -*'- ust ! re . Ies Cai«es rurales doivent à M l'abbé
Jars r^n eCle A r f U p.'^d-^rainarre ,1e Quimper, el à M O s
tors de Kéranroué, |e dévoué Président du Svnd cat aario le de
Morlaix, d'avo.r trouvé un aussi bienveillant aSI AlfîSStî
COMTÉS de Landerneau qui a été suivie par ï s déi 300> Srétw
V T \t? u ? P°? s,ble P»ur la recevoir. II ue reste DÏn* rm'â n-Kw
de la ihtene à la pra.ique. M. l'abbé T r £ ^ £ V ^ S ^
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pant une chaire de théologie, est encore ie Directeur éclairé des
œuvres diocésaine? ne manquera pas de pousser à une organisation
qui présente d aussi importants avantages. Déjà M Des Jard
de Kéranroué, bien avant la conférence qui fut faite sur le sujet
de Landerneau, avait fan connaitre les caisses RailTeisen • d'autres
hommes d œuvres parmi lesquels nous pouvons nommer M. dû
Çlenziou, MM, les Vivres de Saînt-PoI-de-Léon, de Douarnenez
de Morlaix, le comité ouvrier catholique de Brest, etc., sont prêts
à meure fe pied dans Peiner, ll y a dans le Finistère une abondante
moisson qui se prépare ; avant peu de temps, nous pourrons
admirer les premières gerbes, i
H
Nos Missionnaires. - On veut bien nous communiquer
la lettre suivante du R. B. Moullec. Elle sera lue avec le môme
intérêt que celles qui l'ont précédée.
« Notre-Daipe des Victoires, Buddu-Sud, le 24 Juillet 1894.
• Mon bien cher Cousin,
i Ta bonne letlredu 16 Janvier 1804 m'est parvenue le !6 Juin de
la môme année Comment te remercier de lon aimable souvenir ?
Quoi quon ail du,le Missionnaire n'est pas un homme sans pairie
et sans affection ; on Ie sent surtout lorsque les bons amis de
France viennent, de temps à autre, nous rappeler le fascinant souvenir
de la patrie absente:
< Merci donc, mon cher ami ; mille fois merci, pour tes naees
si pleines de charmes.
F *
- Je ne veux pas manquer de te donner un mot de réponse
Mais que dire? Comme le pays où je vis est pour tous tes Européens
une terre de souffrance, parlons d'abord de ma santé. Grâce
a Dieu, je ne porte pas mal mes dix années d'Afrique J'ai pavé
mon tribut an climat de l'Equateur, dans les premiers mois de ma
vie de Missionnaire en activité; mais aujourd'hui, en dépit du tra-
Jî ï JJ! c< ? b l 1 ? m < e me donne la conduite d'un district de
7oouo habitants, ma santé semble devenir de plus en nius
robuste.
« Je passe ma vie à batailler, pour devancer le mensonge de
hérésie, tuer la perfidie païenne et guérir les faiblesses du cœur
humain.
* Oui, mon pauvre ami, de nos jours comme de lout temps, il
se trouve des hommes qui. semblables aux Pharisiens hypocrites
ferment aux pauvres noirs le ro vau me des Cieux, Us n'y entrent
pas el ils empêchent les autres d'v entrer I Ils parcourent la terre
et Ia mer pour conquérir un prosélyte, et quand ils l'ont conquis,
us le rendent digne de Penfer, deux fois plus qu'eux ! • Vxvobis
quia ctreuitis mare et aridam... ! *
i /J? les minislres anglicans, au lieu de travestir la Bible et de
ia déshonorer, voulaient tant soil peu rélléchir à ces terribles
menaces du Sauveur, ils aimeraient mieux rester employés de
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