1894 - Diocèse de Quimper et du Léon

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Archives diocésaines de Quimper et Léon
de Morlau a condamné, dans les mèmelÏÏESiiSSFSl
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nantes de celte ville. Én divers he.fx «n ?f' deux -° mr --religieux
et des religieuses qTse«ft.Cni ?ï? **£*>** te
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d'accroissement, oa meme ceux ie fKÀSft rf
communauté poursuivie. C'est ce mii -T» 3 * u - b,l --'' s de la
Frères de Marie, Congrégalhn ^ l n ,eu . P our les fc-ll*
est i Sain.-Genis-La va I Rhônèf PcÎÏVÏL? »**--H-*«
insiituieurs du peu ole à a rn.i ii„1L . ' * ma }M ces mode.,^
Ieur réclamait, P l'ES regi C n ïvaK V3**
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jugement du i. Mai dernier IPin n hi I f. J . ai! "!'> en vei1 » d'un
à Guillonnay (Isère)"" â'jStnïmw iN«H?V' eleu / 3 k'-*
l'indignalion soulevée par « i f f i ï S Ù ' M -' 1 . *»arrêter
les poursniles
m e»-ie-, le Gouvernement a fait
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dit fon BSÏK*?* de Ct6n ' Calisn, -« l6 ---—i - Mta.
Cour n'é.ail pas intend | aura gffiftïïÊ Si l ' a , ri - t *> la
Goavernement lui-même a« t dSlïiïïl^i 86 ^ nile ioi 1- e 'ava.ent
déjà fté laites dans ce sens ,n i!T 6- P es P TO P°-' non - e -'-elle è des itqni-
Alon, .ant mieux'l'.VouTne pouvo^ i T " ^ de P**»»»- ?
^ejaut-i, encore at.endre! ^ M ^ C Ï Ç J ;
w ' p ur ea moa -* de nouveau l'incroyable
iniquité.
Aram les lois dites dW f*«, Ies ^ ^ . ^ payaiefl[
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l'impôt comme tout le monde, peut-être môme plus que les autres
contribuables.
Comme tous propriétaires et ciloyens français, elles acquittent
[impôt foncier sur te sot et les propriétés bâties, la cote personnelle
et mobilière, l'impôt des portes et fenêtres, l'impôt des patentes,
enim les prestations. Elles paient tous les impôts de droits communs.
, .,
De plus, en compensation pour le fisc de la perte qu'il subit par
suite de l'immobilisation des biens de mainmorte, les congrégations
religieuses autorisées paient une contribution spéciale, appelée
taxe de mainmorte, qui * st censée représenter les droits de transmission
entre vifs et par décès. (1)
Enfin, elles paient un impôt sur le retenu, bien plus considérable
que celui exigé des sociétés industrielles ou commerciales
auxquelles on prétendait les assimiler.
*
Quant aux prétendues richesses des congrégations religieuses,
en France, voici quelques chiffres et quelques réllexions que nous
empruntons à l'excellente Semaine religieuse de Cambrai, et qui
n'Ont pas besoin de commentaires :
< Il y a en France 200.000 religieux. Ils possèdent 600 millions,
ce qui fait 2,500 francs par tète.
Ces biens se composent d'hôpitaux, d'orphelinats, d'écoles
libres : c'est dire qu'ils sont au service du peuple et des.pauvres.
Rothschild, à lui seul, possède trois milliards— trente fois cent
millions; — trois milliards gagnés en France, par une famille
d'étrangers, en moins d'un siècle.
Un religieux, avec 2,300 francs, comparé à Rothschild avec ses
trois milliards, est moins qu'une taupinière à colé du Mont-Blanc.
Les députés francs-maçons ont fait un droit d'accroissement. —
Contre qui? Contre Rothschild ? Oh non !
C'est contre les religieux qu'ils ont fait cel impôt extraordinaire,
par conséquent contre le peuple, contre les pauvres.
Dans vingt ans, Rothschild aura plus de six milliards, ll continue
d'accaparer mines, indusiries, forêts, terres. Il posséde déjà
à lui seul plus de deux cent mille hectares! Ajoutez les fortunes
accaparées, pour ne pas dire volées, par tant d'autres Juifs. — Que
resiera-bil aux chrétiens dans vingt ans?.,,
La fra ne-maçonner ie nous veut esclaves, écrasés sous le poids
des montagnes d'or accumulées par les Juifs. L'Eglise, au contraire.
crée, sans cesse, de nouvelles œuvres pour secourir les pauvres. »
- r
1 D'une statistique oflicielle, que vieDt de publier Vad mi p is tra tions des
conirit m i ious indirectes, îl résulte que, sur 71,651* établissements propriétaires
ae biens de mainmorte, il f a juste 1,883 coagréRa tions et 188 séminaires.